Biblioteca Isc ordinata per nome autore, D2

“D’HARCOURT Robert”,”L’ Allemagne et l’Europe. Allemagne européenne.”,”D’HARCOURT Robert (Academie Francaise)”,”GERV-001″
“D’HAUSSONVILLE Othenin”,”La vie et les salaires a Paris. In ‘Revue des Deux Mondes. LIII Annee. Troisieme periode.'”,”La ‘Revue des Deux Mondes’ era un periodico francese fondato nel 1829 da MAUROY e SEGUR-DUPEYRON. Tra i suoi collaboratori: BALZAC, VIGNY, SAINTE-BEUVE, G. SAND ecc. Fu la più importante rivista culturale francese del XIX secolo. Dopo diverse vicende riprese il suo titolo originario nel 1982.”,”MFRx-122″
“D’HEROUVILLE Hubert”,”L’ economie mondiale.”,”””E’ essenziale, infine, notare che, negli ambienti internazionali, si diffonde l’ idea che tra il concetto antico e restrittivo del nazionalismo autartico e l’ ideale integrale attuale, che si vorrebbe applicare all’ insieme del mondo, c’è posto per la formula intermedia dei grandi spazi economici. Questa nozione è stata in passato già oggetto di studi teorici condotti, in particolare da parte dei geopolitici tedeschi come Walter Gravell (W. Gravell, Die Statistik im Grosswirtschatsraum, ndr) che sono giunti piuttosto a rendere il problema più oscuro…”” (pag 131)”,”ECOI-098″
“D’HOLBACH Paul Thiry, a cura di Vincenzo BARBA”,”Elementi di morale universale o catechismo della natura.”,”Paul Thiry d’Holbach nacque da modesti borghesi a Edesheim, una cittadina del Palatinato, qualche giorno prima dell’8 dicembre 1723 (data del battesimo). Il nome di battesimo Paul era seguito da un secondo nome, Henri, che dovette darsi egli stesso senza ufficializzarlo. Il cognome Thiry (o Dietrich, ma la prima forma è prevalsa sulla seconda) gli derivò dal padre Johann Jacob, il cognome Holbach dalla madre, ma gli fu propriamente trasmesso dallo zio materno. Franz Adam, insieme alla particella nobiliare. Ad occuparsi della sua educazione fu lo zio, che lo condusse a Parigi all’età di 12 anni e lo mandò poi a studiare all’Università di Leida (1744-1748). Si spense il 21 gennaio 1789, all’età di 66 anni, nella sua abitazione di rue Saint-Roch, pochi mesi prima dello scoppio della Rivoluzione.”,”FILx-166-FL”
“D’HONDT Jacques RACINARO Roberto a cura; saggi di Guy PLANTY-BONJOUR Guy BESSE Pierre METHAIS Michele JALLEY Jacques D’HONDT Roberto RACINARO Vitaly KOUZNETSOV Marie-Jeanne KÖNIGSON”,”Hegel e l’illuminismo.”,”””In realtà Hegel; che su questi temi – che trovano un’insuperabile condensazione nelle pagine della ‘Fenomenologia’ sulla libertà assoluta e il Terrore – andava riflettendo da parecchio tempo, doveva avere la sotterranea (ma neanche tanto) convinzione che Rousseau avesse fatto scuola in Germania, non solo presso Kant, ma anche presso i suoi discepoli. Che lasciavano intravedere come o la libertà accettava di darsi delle mediazioni (e delle distinzioni), oppure il risultato finiva con l’essere il contrario di quello che ci si attendeva: una libertà che diveniva uno ‘Stato di polizia’. In particolare, è con il primato della legge – in sé e per sé ineccepibile – che bisogna stare attenti. Perché c’è il rischio di andare a parare in uno Stato dell’intelletto (come lo chiama Hegel), che sottoponendo tutto alla legge espropria tutti gli ambiti di vita delle libertà che loro legittimamente spetterebbero”” (pag 229)”,”HEGx-011″
“D’HONDT Jacques”,”Hegel en son temps (Berlin, 1818-1831).”,”D’HONDT Jacques Giudizi di Marx e Engels su Hegel. (pag 291-292) (Marx e Engels criticano Karl Liebknecht per una errata interpretazione di questi di un giudizio di Engels su Hegel) “”L’opinion d’Engels sur la portée politique de la doctrine de Hegel ne varia pas fondamentalement lorsqu’il devint communiste. En 1851-1852 il fit publier sous le nom de Marx une étude qui resta attribuée à ce dernier jusqu’à une époque très récente: ‘Revolution et contre-révolution en Allemagne’. Les deux amis travaillaient en étroite collaboration et se souciaient peu de distinguer leurs oeuvres respectives. Marx approuvait évidemment le contenu de cette étude. L’auteur, reprenant l’histoire du mouvement politique en Allemagne, y situe Hegel de la manière suivante: “”Et enfin, la philosophie allemande, ce thermomètre le plus compliqué, mais aussi le plus sür, du développement de l’esprit allemand, s’était prononcée pour la bourgeoisie à l’heure où Hegel, dans sa ‘Philosophie du droit’ proclamait la monarchie constitutionelle la plus haute et plus parfaite forme de gouvernement. En d’autre termes il proclamait l’avènement prochain de la bourgeoisie du pays au pouvoir politique”” (1). [Jacques D’Hondt, Hegel en son temps (Berlin, 1818-1831), 1968] [(1) Trad. Bottigelli in Engels: ‘La Révolution démocratique bourgeoise en Allemagne, Paris, 1952, p. 213] (pag 266)”,”HEGx-019″
“D’HONDT Jacques BRUAIRE Claude MERCIER-JOSA Solange PLANTY-BONJOUR Solange ORSONI Claude RICCI François METHAIS Pierre”,”Hegel & Marx: la Politique et le Réel.”,” Contiene il saggio di Pierre METHIAS ‘Remarques sur L’idéologie allemande’ et le point de vue “”empirique”” (pag 95-120) Contiene il saggio di Jacques D’HONDT ‘L’histoire et les utopistes selon Hegel et Marx’ (pag 95-120) “”Le sens historique entraîne la reconnaissance des mérites de la totalité de l’histoire, et donc aussi de chacune de ses étapes. Engels polémise avec ceux qui n’aperçoivent pas ce qu’il y a eu de positif dans les périodes historiques anciennes, et à propos de la Grèce, pour laquelle il éprouve un amour aussi grand que celui de Hegel et de Marx, il s’exclame ironiquement: “”Les Grecs anciens ont certes fait certaines choses, mais ils ne connaissaient pas d’analyse spectrale, pas de chimie, pas de calcul différentiel, pas de machines à vapeur, pas de grandes routes, pas de télégraphie sans fil et de chemin de fer. Pourquoi donc s’arrêter encore longuement aux productions de ces gens de second ordre?”” (46). Engels savait lui aussi “”reconnaître la rose dans la croix de la souffrance présente”” – ou passée -, découvrir le positif dans le négatif et se réconcilier avec le réel. Comme Hegel, quoique pour des motifs naturellement différents, il se réconcilie même avec l’esclavage: “”Sans esclavage, pas d’Etat grec, pas d’art et de science grecs; sans esclavage, pas d’Empire romain. Or, sans la base de l’hellénisme et de l’Empire romain, pas non plus d’Europe moderne. Nous ne devrions jamais oublier que toute notre évolution économique, politique et intellectuelle a pour condition préalable une situation dans laquelle l’esclavage était tout aussi nécessaire que généralement admis. Dans ce sens, nous avons le droit de dire: sans esclavage antique, pas de socialisme moderne (…). L’introduction de l’esclavage dans les circonstances d’alors était un progrès”” (47)”””” [Jacques D’Hondt, ‘L’histoire et les utopistes selon Hegel et Marx’] [(in) AA.VV., Hegel & Marx: la Politique et le Réel, 1970] (pag 116) [(46) Anti-Dühring, p. 383; (47) Ibid.]”,”HEGx-020″
“D’HONDT Jacques LI-VIGNI Fiorinda”,”Hegel et Marx: une double réhabilitation. Entretien.”,”L’intervista della Li-Vigni a D’Hondt è stata realizzata a Parigi il 22 e 23 maggio 1999. E’ stata pubblicata in italinao nel volume: ‘D’Hondt e il percorso della ragione Hegeliana’, La Città del Sole, Napoli, 2001. J. D’Hondt è stato Presidente della “”Società Francese di Filosofia”” dal 1982 al 1995. “”Hegel ha sviluppato una teoria dello Stato liberale sotto una forma monarchica”” (pag 32) “”E’ certo che lo Stato hegeliano non ha alcuna connotazione di “”nazionalismo etnico”” (pag 33) “”non si può negare una parentela tra il pensiero di Marx e quello di Hegel”” (pag 44) “”Marx rinnova completamente il significato della praxis. La previsione – impossibile per Hegel – segna in Marx l’intervento attivo del soggetto, trasformato da questo stesso intervento”” (pag 45) “”Hegel diceva che la libertà è la necessità ben compresa – nozione evidentemente a presa a prestito da Spinoza, ma ripresa quasi testualmente da Marx”” (pag 49) “”Negli anni Sessanta, Settanta, è (…) il Marx d’Althusser che era di moda a Parigi. La gente passeggiava sul boulevard Saint-Michel con ‘Il Capitale’ sotto braccio, ma in realtà non lo leggeva molto. Leggevano il commentario di Althusser”” (pag 58) “”Et puis ensuite, dites vous, j’ai poursuivi mes recherches ce sujet quand Marx était désormais à la mode. Mais là vous parlez de Marx théorique, de Marx théoricien, de Marx auteur du ‘Capital’ ou de ‘L’idéologie allemande””. Mais l”Idéologie allemande’, je crois qu’elle n’a été publieé en France qu’après la guerre et en Allemagne elle a dû être éditée vers 1938. Donc le Marx qui pouvait être à la mode – si vraiment cela avait été le cas – n’aurait pas du tout été Marx que nous connaissons maintenant. En France, la ‘Correspondance’ de Marx et d’Engels, qui est si importante, n’a paru que dans les dernières années (je crois que d’ailleurs son éditions n’est pas achevée, et elle risque fort de ne s’achever que dans des temps très éloignés de nous). Les principaux ouvrages de Marx n’étaient pas édités, ou étaient édités d’une façon très précaire. En particulier se pose pour nous en France, et certainement aussi dans d’autre pays, le problème de la traduction. Les traductions dont on disposait jusqu’à une époque très récente étaient tout à fait fautives, tendancieuses ou même falsificatrices, elles ne nous permettaient pas d’accéder à la pensée théorique profonde de l’auteur. Dans les années Soixante, Soixante Dix, c’était – pour dire les choses un peu sommairement, avec les risques que cette abréviation comporte – , le Marx d’Althusser qui était à la mode à Paris. Le gens se promenaient sur le boulevard Saint-Michel avec ‘Le Capital’ sous le bras, mais ne réalité ils ne le lisaient pas beaucoup. Ils lisaient le commentaire d’Althusser, qui était d’ailleurs fort intéressant. C’est un problème que de savoir si Marx a jamais été à la mode .- je veux dire, en France, le vrai Marx”” (pag 57-58) [Jacques D’Hondt, a cura di Fiorinda Li Vigni, Hegel et Marx: une double réhabilitation. Entretien, Napoli, 2002]”,”HEGx-030″
“D’HONDT Jacques, a cura, scritti di André DOZ Eugène FLEISCHMANN John O’NEILL François RICCI Michel VADÉE”,”La logique de Marx.”,”””L’opposition n’est donc pas entre le rôle de la valeur d’usage comme contenu et son rôle comme matière, mais entre son rôle comme contenu et son rôle come soutien, support. Dans son premier rôle elle se suffit à elle-même, est immédiatement richesse: il ne reste qu’à la consommer. Dans son second rôle elle est moyen au service de la valeur d’échange, ne “”vaut”” que par sa médiation. Mais la valeur d’échange, inversement, ‘n’existe’ que par la médiation de la valuer d’usage dont Marx a pris soin; dans les deux cas, de souligner le caractère matériel, ‘stöfflich’. Le niveau matérialiste. Est-il besoin de rappeler que ce terme: “”matériel””, ne saurait avoir sour la plume de Marx aucun sens dépréciatif? Que la valuer d’usage soit l’utilité d’une chose, que cette utilité n’ait “”rien de vague ni d’indécis”” (schwebt nicht in der Luft (1), “”ne flotte pas dans l’air””, dit avec plus d’énergie le texte original) cela n’implique pas, pour un matérialiste, son rejet dans les ténèbres extérieures de l’empirique! Cette insistance de Marx sur la matérialité de la valeur d’usage permet de saisir en quoi sa logique se distingue de celle d’Aristote, de celle de Hegel aussi. Jusqu’à présent la valeur d’usage nous est apparue, dans son rapport à la valeur d’échange, comme l’universel dans son rapport avec le particulier. Mais la valeur d’usage n’a nul besoin pour être une réalité matérielle de cette détermination supplémentaire qui ne la rend pas – bien loin de là – plus concrète. Nous ne sommes donc pas en présence d’une classification de type aristotélicien pour laquelle le genre – bien que “”matériel”” en un sens abstrait de ce terme – ne se réalise que dans ses espèces (aucun animal n’est purement et simplement mammifere sans être en même temps chien ou chat ou cheval, etc.). S’il est vrai que dans toute société doit régner un mode de production ou un autre, rien n’empêche que des valeurs d’usage, quelle qu’en soit l’origine, demeurent simples valeurs d’usage jusqu’à leur consommation: n’était-ce pas le cas dans la communauté primitive? N’est-ce pas ce que Marx prévoit pour la société communiste? Même dans une société où règne le mode de production capitaliste, on rencontre d’ailleurs des valeurs d’usage qui ne deviennent jamais marchandises, ne servent jamais de support à une valeur d’échange. C’est même sur ce rappel (“”une chose peut être une valeur d’usage sans être une valeur””, etc. (2)) que s’achèvera notre texte. Ainsi se confirme l’universalité matérielle de la valeur d’usage et, pour la logique de Marx, l’existence (c’est bien le mot) d’une matérialité de l’universel”” (pag 111-112) [François Ricci, ‘Structure logique du paragraphe I du “”Capital””‘] [(in) Jacques D’Hondt, a cura, La logique de Marx, Paris, 1974] [(1) Marx-Engels, Werke, Berlin, Dietz, 1970, t. 23, p. 50; (2) ‘Le Capital’, op. cit., p. 56]”,”MADS-688″
“D’HONDT Jacques”,”De Hegel a Marx.”,”””Les éloges fervents dont Marx et Lénine gratifient Hegel marquent un grand courage intellectuel, en des temps où le philosophe allemand se voyait presque unanimement dédaigné, méprisé, réprouvé. Mais ils n’empêchent évidemment pas les marxistes de distinguer nettement leur propre doctrine. Le marxisme n’est pas l’hégélianisme. Autrement, le mot marxisme perdrait toute signification. Marx critique avec la plus grande rigueur et la plus grande vigueur ce qu’il appelle la «base idéaliste» de la dialectique hégélienne, et ceci dès ses premiers écrits. Il ouvre une voie théorique originale. Mais il ne préconise pas pour autant une «révolution culturelle», au sens où certains de nos contemporains l’entendent. Il recueille, après inventaire, l’héritage d’une culture. Il récupère, en particulier, la dialectique hégélienne, mais il la remodèle. Il la lance sur une autre piste, il allège sa course, il lui confère un style inèdit. Il ne saurait être question de dissimuler ou de déprécier les modifications dont Marx la fait bénéficier. Mais il est incontestable que, à son avis, c’est bien ‘la dialectique hégélienne’ qui profite de ces enrichissements. Impossible de réduire la méthode marxiste à ce qui la distingue de la la méthode hégélienne! Sa différence spécifique ne suffit pas à la définir. Cette différence affecte un genre et un acquis. Marx n’éprouve pas le sentiment théologique d’être un commencement absolu. Quelle mutation provoque-t-il? Elle est complexe, l’oeuvre de toute une vie, mais il en a souvent exposé le principe: «Ma méthode dialectique est, par sa base (‘der Grundlage nach’), non seulement différente de la méthode hégélienne, mais même son contraire direct. Pour Hegel, le processus de la pensée, qu’il transforme même, sous le nom d’Idée, en un sujet indépendant, est le dérmiurge de la réalité, qui ne constitue plus que son apparence extérieure. Pour moi, inversement (‘umgekehrt’), l’idéal n’est rien d’autre que le matériel traduit et transposé dans la tête humaine» (1). Cette substitution d’une «base matérialiste» à une «base idéaliste», Marx l’a expliquée en particulier dans sa Préface à la ‘Critique de l’économie politique’ (2)”” (pag 211-212) [‘””Gli elogi ferventi con cui Marx e Lenin gratificavano Hegel indicano un grande coraggio intellettuale in un momento in cui il filosofo tedesco si vedeva quasi universalmente disdegnato, disprezzato, reietto. Ma, ovviamente, non impediscono ai marxisti di distinguere chiaramente la propria dottrina. Il il marxismo non è hegelismo. Altrimenti la parola marxismo perderebbe ogni significato. Marx ha criticato con il massimo rigore e la più grande forza ciò che egli chiama la “”base idealistica”” della dialettica hegeliana, e lo ha fatto dai suoi primi scritti. Non preconizza perciò una “”rivoluzione culturale”” nel senso inteso da alcuni nostri contemporanei. Egli raccoglie, dopo un’inventario, l’eredità di una cultura. In particolare recupera la dialettica hegeliana, ma la rimodella. Egli la lancia su un altro percorso, alleggerisce i suoi tratti, gli conferisce uno stile inedito. Non si tratta di dissimulare o deprezzare le modificazioni operate da Marx. Ma è innegabile che, a suo parere, è la “”dialettica hegeliana”” che beneficia di questi arricchimenti. È impossibile ridurre il metodo marxista a ciò che lo distingue dal metodo hegeliano! La sua differenza specifica non è sufficiente per definirlo. Questa differenza riguarda un genere e una risorsa. Marx non prova il sentimento teologico di essere ad un inizio assoluto. Quale mutamento provoca? È complesso, è l’opera di una vita, ma ne ha spesso affermato il principio: “”Il mio metodo dialettico è, alla sua base (‘der Grundlage nach’), non solo diverso dal metodo hegeliano, ma anche il suo diretto opposto. Per Hegel, il processo di pensiero, che egli pure trasforma, con il nome di Idea, in un soggetto indipendente, è il demiurgo della realtà, che non costituisce altro che il suo aspetto esteriore. Per me, inversamente (‘umgekehrt’), l’ideale non è altro che il materiale tradotto e trasposto nella testa umana “”(1). Questa sostituzione di una “”base materialista”” a una “”base idealista””, Marx l’ha spiegata in particolare nella sua Prefazione alla “”Critica dell’economia politica”” (2) “”(pag 211-212)] [(1) Préface à la 2e éd. du ‘Capital’, in Werke, t. XXIII, Berlin, 1968, p. 27; (2) Ibid., p. 25] Dedica autografa dell’autore al Prof. Erhard Albrecht Erhard Albrecht Da Wikipedia, l’enciclopedia libera. Jump to navigationJump to search Erhard Siegfried Albrecht (Kirchscheidungen, 8 ottobre 1925) è un filosofo tedesco che ha insegnato a Greifswald. Vita. Dopo aver frequentato un istituto tecnico venne arruolato dalla Wehrmacht nel 1943. A causa di una ferita di guerra lasciò il fronte e tra il 1944 e il 1949 studiò filosofia all´università di Rostock. Dopo la guerra si iscrisse al partito comunista tedesco (fino al 1946 KPD e poi SED), frequentandone anche la scuola di formazione fino al 1950. Nel 1952 divenne professore di dialettica materialistica e materialismo storico all´università di Greifswald, insegnando tuttavia anche a Jena e Rostock. Divenne professore emerito nel 1990. Bibliografia parziale Darstellung u. Kritik der erkenntnistheoret. Grundlagen, der Kausalitätsauffassung u. der Ethik des Neopositivismus, 1949 (tesi di dottorato) Die Wurzeln der vormarxschen Erkenntnistheorie, ihre sozialökon. bedingte Erkenntnisschranke u. deren Durchbrechung durch die marxist. Philos., 1951 (tesi di abilitazione per diventare professore universitario) Die Beziehung von Erkenntnistheorie, Logik u. Sprache. Halle (Saale) 1956 Beiträge zur Erkenntnistheorie und das Verhältnis von Sprache und Denken. Halle 1959 Sprache und Erkenntnis. Berlin: DWV, 1967 Sprache und Philosophie. Berlin 1975 N. I. Kondakow: Wörterbuch der Logik. Hrsg. der deutschen Ausgabe Erhard Albrecht, Günter Asser. verlag das europäische Buch, Westberlin 1978 ISBN 3-920303-80-6 (Verlag Enzyklopädie, Leipzig 1978) Weltanschauung und Erkenntnistheorie in der klassischen bürgerlichen Philosophie.. Deutscher Verlag der Wissenschaften, Berlin 1981 Sprachphilosophie. Berlin 1991“,”HEGx-038”
“D’HONDT Jacques a cura; saggi di Jacques DERRIDA Louis ALTHUSSER Dominique DUBARLE Dominique JANICAUD Marcel REGNIER Jacques D’HONDT”,”Hegel et la pensée moderne. Séminaire sur Hegel dirigé par Jean Hyppolite au Collège de France (1967-1968).”,”Contiene, tra gli altri, i saggi di Louis Althusser ‘Sur le rapport de Marx à Hegel (pag 85-112) e quello di Dominque Janicaud ‘Dialectique et substantialité. Sur la réfutation hégélienne du spinozisme’ (pag 161-192) Marx e la scienza della storia “”Marx a fondé une science nouvelle: ‘la science de l’histoire’ des formations sociales, ou science de l’histoire. La fondation de la science de l’histoire par Marx est le plus grand événement théorique de l’histoire contemporaine”” (L. Althusser, p. 88) La dialettica di Marx non è più quella di Hegel (Althusser) “”Marx fait donc travailler Hegel sur Ricardo: il fait travailler une transformation de la dialectique hégélienne sur Ricardo. Il faut en effet dire que la dialectique hégélienne a été ‘transformée’ dans le travail théorique qu’elle a effectué sur Ricardo. L’instrument de travail théorique qui transforme la matière première théorique est lui-même transformé par son travail de transformation”” (Althusser, p. 96)”,”HEGx-044″
“DHONDT Jan OUKHOW C.”,”La première internationale en Belgique.”,”Jan Dhondt C. Oukhow Gand”,”MOIx-046-E”
“DHONDT Jan”,”Rapport de synthese. [Histoire de la Première Internationale]”,”Jan Dhondt Gand Conclusioni [Compte rendu analytique des conclusions du Colloque tirées par Jan DHONDT à la séance de travai présidéee par Madame E. Stepanova, H. Gerth e E. Labrousse] [Interventions ayant suivi l’exposé de J. Dhondt; Séance de cloture, présidée par F. Stepanova (Compte rendu analytique du discours prononcé par le professeur Ernest Labrousse)]”,”MOIx-046-S”
“DHONDY Farrukh”,”C.L.R. James. A Life.”,”Cyril Lionel Robert James (1901-1989) was born in Trinidad in 1901. He came to England in 1932, bringing with him his first political writing – a pioneer work arguing the case for West Indian self-government – and rapidly became an active participant in British politics ans society, as a member of the Independent Labour Party. At this time he was also one of the few people who not only foresaw but worked for the independence of Africa, and in subsequent years he maintined and strengthened his links with the Pan-Africanist movement. For fifteen years, during and after the second world war, he lived in the United States of America where his work concerned him both with trotskyism and with the black movement. He returned to Trinidad in 1958. In recent years James has continued to teach and write prolifically, and he is currently Professor of Humanities at Federal City College, Washington, dividing the rest of his time between England and the West Indies. Farrukh Dhondy is Commissioning Editor for Multicultural Programs for the BBC. Born in India, he received a B.A. in English from Cambridge University.”,”BIOx-031-FL”
“DHOUQUOIS Georges; TEXTIER Jacques; HERZOG Philippe; GALLISSOT René; GRUET Pierre; LABICA Georges; GLUCKSMANN Christine”,”Modo di produzione e formazione economico-sociale (Dhouquois); «Modo di produzione» «formazione economica» «formazione sociale» (Textier); I concetti di modo di produzione e formazione economico-sociale per l’analisi dell’imperialismo (Herzog); Formazione «economica» «economico-sociale» «sociale» «socio-politica» (Gallissot); Economia e formazione sociale (Gruet); Quattro osservazioni (Labica); Modo di produzione formazione economico-sociale teoria della transizione (Glucksmann).”,”Espressione tedesca: ‘ökonomische Gesellschaftsformation’ traducibile letteralmente con “”formazione economica della società”” (pag 91) Nei loro saggi, J. Texier e Philippe Herzog e altri dibattono a proposito dell’articolo di Emilio Sereni ‘Da Marx a Lenin: la categoria di ‘formazione economica-sociale’ in Critica marxista- Quaderni n. 4 pp. 29-79 René Gallissot opera delle distinzioni tra i concetti di formazione economica e formazione socio-economica, tra formazioni sociali e formazioni socio-politiche “”«Noi non consideriamo affatto – scrive Lenin nel 1899 – la dottrina di Marx come qualcosa di definitivo ed intangibile; siamo convinti, al contrario, che essa ha posto soltanto le pietre angolari della scienza che i socialisti ‘devono’ far progredire in tutte le direzioni, se non vogliono lasciarsi distanziare dalla vita. Noi pensiamo che per i socialisti russi sia particolarmente necessaria un’elaborazione ‘indipendente’ della teoria di Marx, poiché questa teoria di dà soltanto i principi ‘direttivi’ generali, che si applicano ‘in particolare’ all’Inghilterra in modo diverso che alla Francia, alla Francia in modo diverso che alla Germania, alla Germania in modo diverso che alla Russia» (1). ‘Lo sviluppo del capitalismo in Russia’ è quindi l’opera teorica più importante, dopo ‘il Capitale’ dal punto di vista del materialismo storico, perché rappresenta la messa in opera dei concetti prodotti da Marx in un dominio specifico: la Russia. Eravamo partiti dalla questione del rapporto tra ‘Modo di produzione’ (Mp) e ‘Formazione economica-sociale’ (Fes). Un primo elemento di risposta che si può dare è che il Mp è l’essenza (ovvero la ragione) del concetto di Fes, che a sua volta si riferisce a determinate società (quella inglese, francese, russa, ecc.). Bisogna però liberare il concetto di Fes dall’accusa di essere un concetto empirico, che a volte può venire formulata. Si può, a tal fine, ricorrere a due “”esempi”” tratti da Lenin. Il primo riguarda l’impresa teorica – che culmina ne ‘Lo sviluppo del capitalismo in Russia’ – mediante cui Lenin dimostra che i rapporti capitalistici si sono già stabiliti in Russia e vi svolgono un ruolo determinante; penetrazione nelle campagne e trasformazione della loro configurazione sociale; legame di questa “”teoria”” con la pratica politica diretta; confutazione dell’economicismo e del populismo, di cui viene esposta la base sociale (attraverso la denuncia dei due momenti storici e delle due diverse funzioni sociali del populismo); necessità della costituzione del partito socialdemocratico (e specificazione dei livelli del suo intervento – i “”periodi”” del ‘Che fare?’ – in funzione del rapporto di forze e delle modificazioni della struttura); lotta per la transizione verso la democrazia; dottrina dell’alleanza tra proletariato e contadini. Il concetto di ‘Fes’ viene così investito di una funzione precisa: la fondazione della necessità e delle vie della rivoluzione democratica; la spiegazione teorica è già trasformazione della storia reale; come principio di un’azione astratto-concreta (cioè: né empirica, né accidentale) che non trascura nessuna delle diverse istanze – economica, politica, ideologica, teorica – del ‘Fes’. Vent’anni dopo, maggio del 1918, si ha un procedimento analogo: la ‘Fes’ russa viene nuovamente interrogata sulle possibilità di una forma nuova di transizione che porta in seno e che – conviene osservare – non consiste più nel rendere il potere adeguato allo stato dello sviluppo economico – come a cavallo tra il secolo XIX e XX -, ma ad assicurare la sostituzione di un modo di produzione (il capitalismo) con un altro superiore (il socialismo). Ed ecco come Lenin formula il punto nodale di questo interrogativo: «Ma che cosa significa dunque la parola transizione? Non significa, quando la si applichi all’economia, che in quel determinato regime, vi sono elementi, particelle, frammenti ‘e di capitalismo e di socialismo’? Chiunque deve ammettere che è così. Ma non tutti, pur ammettendolo, si domandano sempre quali siano precisamente gli elementi che rappresentano i diversi tipi economico-sociali che sono presenti in Russia. Ma è appunto qui che è il nodo della questione. Enumeriamo questi elementi: 1. L’economia patriarcale, cioè in larga misura naturale, contadina; 2. La piccola produzione mercantile (che comprende la maggioranza dei contadini che vendono il grano); 3. Il capitalismo privato; 4) Il capitalismo di Stato; 5) Il socialismo. La Russia è così grande e così varia, che tutti questi differenti tipi economico-sociali vi si intrecciano strettamente. E proprio in ciò sta il carattere originale della nostra situazione. Ma, ci si domanda, quali sono gli elementi che predominano?» (2)”” [(1) Lenin, “”Il nostro programma’, in Opere, Roma, Editori Riuniti, 1957, v. 4, pp. 212-213; (2) Lenin, “”Sull’infantilismo di sinistra e sullo spirito piccolo-borghese’, in Opere, Roma, Editori Riuniti, 1967, v. 27, p. 305] (pag 121-122) [dal saggio di Georges Labica, ‘Quattro osservazioni’]”,”TEOC-006-FB”
“D’HUART Suzanne”,”Brissot. La Gironde au pouvoir.”,”Propaganda per la rivoluzione universale. “”Brissot non aveva rinunciato alla sua lotta contro la schiavitù nelle terre lontane e aveva trovato un uomo che poteva aiutarlo in questa crociata umanitaria e mettere a ragione “”questi Bianchi così turbolenti””, il generale Miranda, un sudamericano proscritto. Egli voleva farlo nominare governatore generale di Santo Domingo, come “”il solo uomo in grado di effettuare la Rivoluzione nell’ America spagnola””. (…) La Convenzione, come Danton e Lebrun, non era d’accordo con lui e Dumouriez non voleva separarsi dal generale Miranda che gli era necessario nella campagna del Belgio. Questa politica bellicosa e la propaganda attiva che la sosteneva erano ispirati in parte da Brissot e dai Girondini, e uno di loro, Larevellière-Lépeaux, fu l’ autore del famoso decreto del 19 novembre, con il quale la Convenzione nazionale dichiarava, a nome della nazione francese, che essa avrebbe accordato fraternità e soccorso a tutti i popoli che volevano recuperare la loro libertà. (…) Brissot, che sognava sempre di portare la Rivoluzione in America del Sud e fino al Pacifico, non accettava alcun limite, e si occupava attivamente dell’ annessione della Savoia che provoca il 27 ottobre la caduta del re Vittorio-Amedeo, e quella del Belgio.”” (pag 182-183) (I girondini, ndr) inviano ardenti rivoluzionari nelle grandi città. A Roma, Hugon de Basville paga con la vita le sue manovre negli Stati municipali, fu assassinato dalla popolazione il 13 gennaio 1793 (1). E’ un amico di Brissot, Genêt; che fu inviato nel gennaio 1793 negli Stati Uniti. (…) (pag 183-184) Nota (1) (da Internet): Giuseppe Flajani, (1739-1808), medico chirurgo, scienziato, nato nel 1739 in Ancarano (TE). Riformatore delle cure praticate agli alienati nei manicomi e organizzatore del Museo Anatomico e Patologico nell’Ospedale di Santo Spirito in Sassia, in Roma (1771), autore di dotte pubblicazioni sulla pratica della chirurgia nonché di commenti ad opere di altri autori, anche stranieri. Fu Archiatra del Papa Pio VI (Braschi) dal 1775. La su fama è soprattutto affidata aghli stuti ed alle osservazioni sul “”morbo”” che oggi è detto Flaiani-Basedow. Fu lui che, la sera del 13 gennaio 1793, fu chiamato per le cure da praticare ad Ugo Basville (Nicola, Giuseppe degli Hugon di Abbeville) dopo che questi era stato assalito e pugnalato sul portone dell’abitazione del Console Francese presso il Papa. Praticate le prime cure, fece ampia rerlazione sul caso e la pubblicò. Morì a Roma nel 1808 e fu sepolto nella Chiesa di Santa Maria in Via Lata, dove però nulla esiste che lo ricordi. Ugo Basville repubblicano francese fu trucidato dalla plebe romana nel 1793 (sull’ episodio furono composte numerose satire, oltre al noto poemetto di Vincenzo Monti ‘In morte di Ugo Bass-ville)”,”FRAR-336″
“D’HUART Suzanne, inventario a cura”,”Les archives Daru aux Archives Nationales.”,”Pierre Daru, nominato nel 1806 consigliere di Stato, conte dell’Impero (1809), intendente della Casa dell’Imperatore (1809), Ministro segretario di Stato nell’aprile 1811, succede al duca di Bassano e diventa collaboratore stretto di Napoleone. Daru viene nomimanto ministro direttore dell’amministrazione della Guerra nel novembre 1813 fino a marzo 1814, e il 13 dicembre 1814 mantiene il grado di Intendente generale dell’esercito. Durante i Cento Giorni diventa ministro di Stato presso il ministero dell’interno. Napoléon Daru nasce a Parigi nel giugno 1807 secondo di otto figli di Pierre Daru e d’Alexandrine- Thérèse Nardot.”,”FRAN-106-FSL”
“DI MEO Antonio”,”Storia della chimica.”,”DI MEO è professore a contratto di storia della scienza e della tecnica all’ Università di Macerata.”,”SCIx-140″
“DI NOLFO Ennio”,”Dagli imperi militari agli imperi tecnologici. La politica internazionale nel XX secolo.”,”Ennio DI-NOLFO, professore ordinario di storia delle relazioni internazionali è professore per le Relazioni internazionali dell’ Università di Firenze. Ha pubblicato vari libri (v. retrocopertina). “”Invece proprio la crisi mediorientale mise in una luce più cruda il divario creatosi fra gli interessi americani e quelli dell’ Europa occidentale. Questo divario era influenzato dai riflessi della questione energetica, ma era fondato su motivi alquanto più complessi, che avevano origine nei recenti dissapori finanziari creatisi tra le due sponde dell’ Atlantico. (pag 331)”,”RAIx-131″
“DI MARCO Paolo a cura”,”L’ automazione. Il testo di Louis Salleron e i confronti antologici da S. Butler, K. Marx, N. Cacace, W. Leontief, P. Di Marco.”,”SALLERON nato nel 1905 a Sevres (Parigi) studioso di economia politica e sociale ha dedicato ricerche all’ organizzazione produttiva. Ha insegnato per vent’anni economia politica. “”Guardando al passato, si può vedere che il 1910 segnò il punto di svolta nello sviluppo economico e sociale di questo paese (Stati Uniti, ndr). Quello fu anche l’anno in cui la nostra popolazione rurale cominciò a diminuire in termini assoluti”” (pag 170)”,”CONx-100″
“DI COMITE Luigi MORETTI Eros”,”Demografia e flussi migratori nel Bacino mediterraneo.”,”Luigi Di Comite professore ordinario di demografia nell’Università di Bari, Eros Moretti è professore associato di Demografia presso la facoltà di economia e commercio dell’Università di Ancona. “”A pagare il conto di questa evoluzione è stata la famiglia numerosa. Come ricorda Monnier (1990), con il passaggio dalle generazioni nate negli anni Trenta a quelle nate dopo il secondo conflitto mondiale, nei paesi dell’Europa occidentale si ha un netto incremento nella proporzione di donne con due figli a scapito di quelle con tre o più; in Francia, ad esempio (tab: 3.8), quelle con due figli sono salite dal 25% al 40%, mentre quelle con tre o più sono scese dal 44% a meno del 30%.”””,”DEMx-061″
“DI FIORE Gigi”,”Controstoria dell’unità d’Italia. Fatti e misfatti del Risorgimento.”,”Gigi Di Fiore già redattore al ‘Giornale’ di Montanelli, è inviato del ‘Mattino’ di Napoli. Studioso di storia delle Due Sicilie e del brigantaggio. Repressione del piemontese Cadorna in Sicilia, centinaia di fucilazioni, fosse comuni ecc. (pag 330-331) Irregolarità nel plebiscito seguito alla presa di Porta Pia. “”In ogni quartiere fu allestito un seggio. In tutto erano dodici, il più importante era stato predisposto al Campidoglio. Pirma di votare bisognava mostrare un “”biglietto di elettore””, una specie di certificato elettorale. Ma nessuno pensava a ritirarlo e chiunque poteva votare più volte in diversi seggi. Cosa che avvenne puntualmente. Un giovane scultore belga dichiarò di aver votato ben ventidue volte.”” (pag 360-361)”,”ITAB-319″
“DI NUCCI Loreto GALLI DELLA LOGGIA Ernesto a cura, saggi di Luciano CAFAGNA, Giovanni BELARDELLI Paolo MACRY Giorgio RUMI Giovanni SABBATUCCI Massimo L. SALVADORI Roberto PERTICI Raffaele ROMANELLI”,”Due nazioni. Legittimazione e delegittimazione nella storia dell’Italia contemporanea.”,”Giovanni Belardelli insegna Storia del pensiero politico contemporaneo all’Università di Perugia. Luciano Cafagna, dopo aver insegnato Storia contemporanea all’Università di Pisa, è stato commissario dell’Autorità garante per il mercato e la concorrenza. Ernesto Galli della Loggia insegna Storia dei movimenti e dei partiti politici all’Università di Perugia. Editorialista del Corriere della Sera, dirige per il Mulino la collana L’identità italiana, che è anche il titolo di un suo libro uscito nel 1998. Giovanni Sabbatucci insegna Storia contemporanea all’Università La Sapienza di Roma. Loreto Di Nucci insegna Storia contemporanea nella Facoltà di Scienze politiche dell’Università degli Studi di Perugia. Ha pubblicato Fascismo e spazio urbano.”,”ITAP-033-FL”
“DI CORI Paola”,”La donna rappresentata. Il corpo, il lavoro, la vita quotidiana nella cultura e nella storia.”,”Paola Di Cori, storica. Insegna storia contemporanea presso le Università di Urbino e di Torino.”,”DONx-078″
“DI GIACOMO Salvatore”,”Tutte le novelle.”,”Salvatore Di Giacomo nacque a napoli il 12/03/1860. Dopo alcuni esami di Medicina scoprì la sua vocazione letteraria e iniziò la collaborazione con giornali e riviste, pubblicando novelle e poesie. Frequentò i circoli artistici e culturali napoletani e collaborò con maggiori compositori della sua epoca, che musicarono molte delle sue liriche, fra cui la famosissima Marechiare. Fu poeta, autore di novelle e di teatro. Morì a Napoli, il 5 marzo 1934.”,”VARx-096-FL”
“DI GIACOMO Salvatore”,”Tutte le poesie.”,”Salvatore Di Giacomo nacque a Napoli il 12/03/1860. Dopo alcuni esami di Medicina scoprì la sua vocazione letteraria e iniziò la collaborazione con giornali e riviste, pubblicando novelle e poesie. Frequentò i circoli artistici e culturali napoletani e collaborò con maggiori compositori della sua epoca, che musicarono molte delle sue liriche, fra cui la famosissima Marechiare. Fu poeta, autore di novelle e di teatro. Morì a Napoli, il 5 marzo 1934.”,”VARx-097-FL”
“DI GIACOMO Salvatore”,”Tutto il teatro.”,”Salvatore Di Giacomo nacque a Napoli il 12/03/1860. Dopo alcuni esami di Medicina scoprì la sua vocazione letteraria e iniziò la collaborazione con giornali e riviste, pubblicando novelle e poesie. Frequentò i circoli artistici e culturali napoletani e collaborò con maggiori compositori della sua epoca, che musicarono molte delle sue liriche, fra cui la famosissima Marechiare. Fu poeta, autore di novelle e di teatro. Morì a Napoli, il 5 marzo 1934.”,”VARx-098-FL”
“DI GIOVANNI Eduardo M. LIGINI Marco”,”La strage di Stato. Controinchiesta.”,”Edoardo M. Di Giovanni (1031-1990) nato da una famiglia siciliana di avvocati le cui tracce risalgono al 1589. I suoi antenati sono sempre stati personaggi scomodi: antiborbonici, antipiemontesi, antifascisti. Il nonno Eduardo era un deputato fondtore del Partito socialista in Sicilia. La mamma, Maria Verga, è nipote di Giovanni Verga il grande romanziere di Vizzini. Il padre Salvatore è stato un gappista a Roma; Eduardo dodicenne faceva, a sua insaputa, la stafetta partigiana. Avvocato difese militanti praticamente di tutta la sinistra. Marco Ligini (1940-1992), animatore del Comitato di controinformazione, che aveva avviato l’analisi sull’aggressivo arcipelago fascista romano e sui suoi collegamenti con gli apparati di sicurezza fin dall’uccisione dello studente Paolo Rossi nell’aprile del 1966.”,”TEMx-013-FL”
“DIA Mamadou”,”Lo sviluppo economico dell’Africa.”,”Mamadou Dia ‘attuale’ (1962) presidente del Senegal.”,”AFRx-002-FGB”
“DIACONO Paolo”,”Storia dei langobardi.”,”Nelle sue cronache Paolo Diacono racconta anche di eventi metereologici catastrofici (pag 53, pag 92) “”Della Liguria, seconda provincia dell’ Italia e delle due Rezie. Stimo che non sia fuor di proposito se parlerò brevemente anche delle altre provincie dell’ Italia. La seconda provincia è la Liguria, così detta dal raccogliere i legumi, di cui è molto abbondante. Si trova in essa Milano e Ticino, che, con altro nome, si dice anche Pavia Si estende sino ai confini dei Galli. Tra essa e la Svevia, patria degli Alemanni, che è posta a settentrione, si trovano fra le Alpi due provincie, cioè la Rezia prima e la Rezia seconda, dove si vede che abitano i Rezii.”” (pag 33)”,”ITAG-205″
“DIACONO Paolo, a cura di Lidia CAPO”,”Storia dei Longobardi.”,”A cura di Lidia Capo. Lidia Capo insegna storia delle università alla Sapienza Università di Roma. Ha studiato la cronachistica veneziana e veneta del Medioevo; quella italiana del tempo del Barbarossa; e quella francese dell’epoca di Carlo I d’Angiò. Paolo Diacono, storico (Cividale del Friuli tra il 720 e il 724 – Montecassino 799 circa). Di nobile famiglia longobarda, monaco dapprima nel convento di Civate presso Como, poi di Montecassino (…), ben visto e ben voluto dai re longobardi; dopo la caduta del regno longobardo entrò in contatto con Carlomagno per ottenere la liberazione di un suo fratello, reo di ribellione. Visse poi alla corte franca, e ritornò a Montecassino verso il 786. Autore di una Historia romana (…) e dei Gesta episcoporum Mettensium, modello delle cronache vescovili posteriori, il suo nome è però legato soprattutto alla Historia Langobardorum, racconto vivo della storia del suo popolo (…) che è la maggior fonte per la conoscenza di quell’epoca”” (dall’Enciclopedia Treccani). ‘La Storia dei Longobardi è uno dei capolavori della storiografia di ogni tempo. Nelle oscure popolazioni discese dal Nord, alle quali deve la sua origine, Paolo Diacono scorge una forza potenziale, quasi priva di contenuto, che si adatta alla tradizione romana, e la rinnova dall’interno. La sua fedeltà alla propria gente si concilia, in equilibrio perfetto, con l’amore per la storia romana e cristiana, la cultura e la lingua che ha appreso’ (dal sito della Fondazione Lorenzo Valla).”,”STMED-105-FSD”
“DI-AICHELBURG Ulrico”,”L’ ereditarietà. Fatti e misfatti.”,”””Premesso che tutto ciò che siamo ha sempre una base genetica, è difficile valutare la quota genetica dell’ omosessualità, essendo questa inclinazione amorosa verso un individuo dello stesso sesso o omofilia, determinata da più fattori biologici, psicologici, familiari, sociali. Infatti si può essere eterosessuali con occasionale omosessualità, eterosessuali con frequente omosessualità, egualmente eterosessuali e omosessuali, omosessuali con occasionale eterosessualità, omosessuali con frequente eterosessualità, interamente omosessuali. Studiando famiglie con omosessuali, e coppie di gemelli uno dei quali era omosessuale, non si è giunti a conclusioni univoche. La probabilità di avere un fratello omosessuale è quattro volte più alta per gli omosessuali (20%) che per gli eterosessuali: è possibile che abbiano condiviso le stesse esperienze infantili ma è altrettanto probabile che condividano gli stessi geni.”” (pag 55)”,”SCIx-246″
“DI-AICHELBURG Ulrico”,”Manuale d’igiene.”,”Contiene tabella e grafico su mortalità per tubercolosi in Italia per fasce d’età triennio 1930-32 (pag 25) In un anno sono morte in Italia 3839 persone per tifo, 1966 per morbillo, 236 bambini al primo anno di vita per difterite…. Per tubercolosi dovrebbero essere 29.000 (pag 24)”,”SCIx-017-FV”
“DIAMANTI Ilvo”,”Mappe dell’Italia politica. Bianco, rosso, azzurro… e tricolore.”,”DIAMANTI Ilvo è professore di scienza politica e comunicazione politica presso l’Università di Urbino. Scrive su Repubblica. “”Ciò non significa che FI (Forza Italia) sia l’erede della Dc. Diverrso e più composito, come abbiamo visto, è il suo elettorato; ancor di più il suo impianto territoriale. Tuttavia, la Dc, in primo luogo, e i partiti di governo, in testa il Psi, hanno contribuito a fornire a FI la classe dirigente locale e, in minore misura, nazionale [Baccarin 2000]. Dei 210 parlamentari (senatori e deputati) eletti nel 2001 nelle liste di FI, infatti, 80 provengono da altri partiti; 46 (il 22%) dalla Dc”” (pag 135)”,”ITAP-178″
“DIAMANTI Ilvo”,”Bianco, rosso, verde…e azzurro. Mappe a colori dell’Italia politica.”,”Ilvo Diamanti è professore di Scienza politica e Sociologia politica all’Università di Urbino. Sul quotidiano la Repubblica tratteggia mappe della politica e della società. Tra le sue pubblicazioni; con Donzelli La Lega e Il male del Nord; con il sole 24 ore Politica all’italiana. Fino agli anni ’80 la mappa politica dell’Italia appariva sostanzialmente stabile, imperniata su due subculture precise e ben radicate sul territorio, che facevano riferimento alla Chiesa e al mondo cattolico nelle zone bianche, alle associazioni e alle reti di solidarietà del movimento operaio nelle zone rosse. Poi, a partire dagli anni ’90, si sono verificati cambiamenti rapidi e sostanziali, la scomparsa della zona bianca, l’affermarsi, negli stessi contesti, di una zona verde, colorata dalla Lega, il ridimensionarsi della zona rossa nell’Italia centrale, il declino della destra al Sud. l’avanzata dell’Italia azzurra, in modo diffuso, in tutto il paese.”,”ITAP-012-FL”
“DIAMANTI Ilvo RODOTA’ Stefano ZAGREBELSKY Gustavo, con Lucia ANNUNZIATA”,”L’Italia post-populista.”,”Diamanti: “”In effetti “”populismo”” è una definizione talmente indefinita che, se facciamo il catalogo dei significati che gli sono stati attribuiti negli ultimi anni e dei soggetti a cui è stato applicato, non si salva nessuno”” (pag 10)”,”TEOP-292″
“DIAMANTI Ilvo LAZAR Marc”,”Popolocrazia. La metamorfosi delle nostre democrazie.”,”Ilvo Diamanti è professore ordinario di Scienza politica all’Università di Urbino Carlo Bo, dove ha fondato e dirige il Laboratorio di studi politici e sociali (LaPolis), e direttore scientifico di Demos. Collabora con il quotidiano ‘La Repubblica’. E’ autore di ‘Un salto nel voto. Ritratto politico dell’Italia di oggi’ (con F. Bordignon e L. Ceccarini) (2013). Marc Lazar è professore di Storia e sociologia politica all’Istituto Sciences Po di Parigi dove dirige il Centre d’histoire, e presidente della School of Government della Luiss. Si occupa di storia delle sinistre europee e di storia politica italiana. Tra le sue più recenti pubblicazioni in italiano, ‘La Francia di Macron’ (con R. Brizzi, Il Mulino, 2017). Per Laterza è autore di ‘Democrazia alla prova’ (2007). “”Il poujadismo rappresenta la terza grande ondata di populismo, stavolta nella Francia della Quarta Repubblica (9). Questa ondata è sinonimo di un’accelerazione della modernizzazione, che minaccia molte professioni tradizionali di artigiani, commercianti e piccoli imprenditori, che si considerano oberati dal fisco. La decolonizzazione, la forza del Partito comunista francese (Pcf) e dei gollisti che si scagliano contro le forze moderate che dominano il Parlamento, l’instabilità dei governi, i giochi parlamentari e vari scandali contribuiscono a rendere deleterio il clima politico. L’Udca (Unione per la difesa dei commercianti e degli artigiani) e il suo responsabile Pierre Poujade, oggetto di un autentico culto della personalità tra i suoi iscritti, si mettono in mostra a partire dal 1953 con la loro rivolta antifiscale ed esprimono solidarietà verso i francesi d’Algeria, minacciati dal processo di decolonizzazione. Si politicizzano velocemente, mettendo insieme varie componenti della destra e dell’estrema destra e riprendendo le loro tematiche. Rigettano quindi il parlamentarismo e i responsabili politici, in particolare Piere Mendès France, alfiere della modernizzazione, che è oggetto di attacchi antisemiti. Scagliandosi contro le élite politiche, ma anche tecniche e culturali, valorizzano il popolo francese, produttore e lavoratore, il popolo dei piccoli centri, delle province e delle colonie. I poujadisti sono nazionalisti, xenofobi, antisemiti, ostili al mercato comune, e contrappongono il paese reale al paese legale. Si presentano alle elezioni del 1956, dove raccolgono due milioni e mezzo di voti (l’11,6 per cento dei voti espressi) e 52 deputati, fra cui il giovane Jean-Marie Le Pen”” (pag 67-68) [(9) Stanley Hoffmann, ‘Le Mouvement Poujade. De la défense professionnelle au populisme nationaliste (1953-1962)’, Les Presses de Sceinces Po, Paris, 2007]”,”TEOP-515″
“DIAMANTI Ilvo”,”Politica all’italiana. La parabola delle riforme incompiute.”,”Ilvo Diamanti (Cuneo 1952) è professore di Scienza politica e Sociologia politica all’Università di Urbino. Sul quotidiano la Repubblica tratteggia mappe della politica e della società. Tra le sue pubblicazioni; con Donzelli La Lega e Il male del Nord; con il sole 24 ore Politica all’italiana. Fino agli anni ’80 la mappa politica dell’Italia appariva sostanzialmente stabile, imperniata su due subculture precise e ben radicate sul territorio, che facevano riferimento alla Chiesa e al mondo cattolico nelle zone bianche, alle associazioni e alle reti di solidarietà del movimento operaio nelle zone rosse. Poi, a partire dagli anni ’90, si sono verificati cambiamenti rapidi e sostanziali, la scomparsa della zona bianca, l’affermarsi, negli stessi contesti, di una zona verde, colorata dalla Lega, il ridimensionarsi della zona rossa nell’Italia centrale, il declino della destra al Sud. l’avanzata dell’Italia azzurra, in modo diffuso, in tutto il paese.”,”ITAP-039-FL”
“DIAMBRINI PALAZZI Sandro”,”Il pensiero filosofico di Antonio Labriola.”,”””Dal concepire il materialismo come moto dialettico, derivano dunque parecchie conseguenze. Per la prassi è la nostra azione volontaria che determina i modi del nostro sviluppo; per la teoria della evoluzione invece noi semplicemente ‘subiamo’ una legge di sviluppo alla quale ci adattiamo. Il materialismo storico ‘non è dunque conciliabile con l’evoluzionismo’, perché non esiste uno sviluppo dello spirito all’infuori dei successivi terreni artificiali dai quali viene modificato. Il Darwinismo sociale, in quanto naturale evoluzione o spontaneo sviluppo della umanità, repugna alla concezione materialistica, dal momento che secondo questa «intuizione» l’umanità ha una storia che assai di rado è fatta di arbitrio ragionante, ma quasi sempre al contrario è determinata da occasioni esterne, in ordine alle quali, pone a se stessa le condizioni del proprio sviluppo. Questo sviluppo non è dunque ‘necessario’ in sé e per sé; ma condizionato e contingente. Il materialismo storico non è parimenti conciliabile con l’idea di progresso intesa qual legge immanente alle cose umane. Contraddice a questa concezione d’un progresso universale costante ed uniforme, la storia che è fatta anche di regressi (e Giambattista Vico si riferiva a questo aspetto degli accadimenti nel formulare la sua teoria dei corsi e ricorsi); che è fatta di discontinuità e disparità di sviluppo nel tempo e nello spazio, fra diversi popoli, dispersi nel tempo, in luoghi diversi. Ma chi già del materialismo storico ha assorbito la sostanza e cioè che tutta la realtà nel suo divenire è circostanziata, non può non repudiare il concetto di una filosofia storica a disegno, sia quella ad ordinamento provvidenziale di S. Agostino, o quelle pseudo scientifiche di Hegel e Darwin. Il progresso, quale serie graduata e continuata di stati umani o sociali, è relativo ed empirico. Non v’ha evoluzione naturale sincronica, ma piuttosto gli sviluppi dei popoli sono vari perché varie sono le condizioni artificiali dell’ambiente. Il progresso non è destino, fato, comando o legge, necessità; è movimento condizionato e limitato, e bisogna riconoscerlo anche se come lamentava il Lacombe «ci dispiace essere il giuoco del caso». Noi stessi siamo soggetti a questa casualità; onde noi marxisti non diciamo: «l’uomo è così»; diciamo soltanto: «l’uomo è così in quelle determinate circostanze». Ma se in tal maniera resta escluso il volontarismo di fronte alla evidenza di questo determinismo storico vario e complesso, parimenti resta confinato fuor del campo del Materialismo Storico, quel determinismo meccanico e causale che tutto il corso delle universali vicende, riduce ad automatico fatalismo. Negato l’idealismo, e con ciò la subordinazione assoluta della materia allo spirito, parve ad alcuni che il Materialismo Storico, volesse appoggiarsi sovra la inversione del rapporto negando ogni autonomia ed ogni efficacia alla vita dello spirito, ridotto a mera parvenza e riflesso del movimento delle cose. L’errore era spiegabile pensandosi da alcuni, per assonanza di nome, la nuova dottrina derivata dal materialismo metafisico. Se la materia procede con moto dialettico che le è proprio ed immanente, l’azione dall’uomo, la sua volontà nulla possono sul fatale andare delle cose. Antonio Labriola chiama questa maniera d’intendere il materialismo storico ‘una fatuità’, sebbene Enrico Leone il Rignano, Bernstein ed altri ancora l’abbiano inteso proprio così. Abbiamo già accennato che nella interpretazione di A. Labriola la dialettica reale non è unilaterale, ma essa comprende nel suo moto anche la coscienza umana secondo il concetto indicato da Marx; come rovesciamento della praxis, cioè di uno scambio di azione fra l’uomo e le combinazioni storiche (1). Orbene quando noi diciamo che la volontà dell’uomo non crea la sua storia, non intendiamo di dire che l’uomo la subisce semplicemente. La volontà, in quanto reagisce nel mondo materiale, anche per noi è un principio attivo che contribuisce allo sviluppo e di noi stessi e delle cose, perché concorre a modificare quelle condizioni storiche di circostanza e d’ambiente, da cui noi verremo nuovamente e diversamente circostanziati e condizionati. Non si nega una realtà alle ideologie, ai meditati disegni, ai piani politici; ‘si dice soltanto che essi non possono essere uno strumento di spiegazione’, perché sono precisamente quello che deve essere spiegato come derivato da un complesso di situazioni e di circostanze date storicamente. Non dunque determinismo causale delle cose tra loro e dell’uomo rispetto alle cose; perché dato il movimento dialettico i vari movimenti non si succedono nella relazione di causa ad effetto, come se l’antitesi fosse contenuta nella tesi: «Il momento della antitesi non è implicito nella tesi, ma ha una realtà sua senza la quale non si verificherebbe la loro unità nella sintesi» (2). Non determinismo meccanico ma ‘determinismo complesso’ in quanto il cangiarsi del terreno artificiale su cui l’uomo si sviluppa, anche e soprattutto per opera dell’uomo, continuamente modificato, diventa a sua volta condizione e limite del successivo umano sviluppo”” (pag 122-127) [Sandro Diambrini Palazzi, ‘Il pensiero filosofico di Antonio Labriola’, Bologna, 1922] [(1) A. Labriola, ‘Materialismo storico’, pag. 26; (2) R. Mondolfo, Mater. Stor. in F. Engels’, pag. 221]”,”LABD-097″
“DIAMOND Jared”,”Armi, acciaio e malattie. Breve storia del mondo negli ultimi tredicimila anni.”,”Jared Diamond ha iniziato la sua carriera scientifica occupandosi di fisiologia umana per poi passare alla biologia evolutiva e alla biogeografia. Insegna all’Univ della California a Los Angeles, è membro dell’Accademia nazionale delle scienze americana e ha ricevuto vari premi scientifici. Tra i suoi libri divulgativi: -Il terzo scimpanzé. BOLLATI. 1994 Con ‘Armi acciaio e malattie’ ha preso il Premio Pulitzer 1998 per la saggistica.”,”STOS-061″
“DIAMOND Jared”,”Il mondo fino a ieri. Che cosa possiamo imparare dalle società tradizionali?”,”Jared Diamond è professore di geografia all’Ucla. Ha pubblicato tra l’altro ‘Armi, acciaio e malattie’ vincitore di un premio Pulitzer.”,”STOS-015-FSD”
“DIAMOND Jared”,”Crisi. Come rinascono le nazioni.”,”Jared Diamond si è occupato di fisiologia e biologia evolutiva e biogeografia. È considerato il massimo esperto mondiale della flora e della fauna della Nuova Guinea. Docente di Geografia all’Università della California, è membro dell’Accademia Nazionale delle Scienze americaa. Ha pubblicato in Italia ‘Armi, acciaio e malattie’ (1998) e ‘Collasso’, ‘Il Mondo fino a ieri’, ‘Da te solo a tutto il mondo’ Esperienza autobiografica dell’autore per illustrare le differenze e le analogie tra crisi personali e crisi nazionali. A Boston, il 28 novembre 1942 scoppiò un incendio in un affollattissimo locale notturno chiamato ‘Cocoanut Grove’ la cui unica uscita rimase bloccata. 492 persone morirono per il fumo, le ustioni o travolte dalla folla in preda al panico e centinaia rimasero ferite. Altra crisi, questa volta nazionale è stata vissuta da Diamond in una Gran Bretagna in declino e in grave crisi (1956-1961) (smantellamento delle ultimi 5 corazzate, primi scontri razziali, indipendenza delle colonie africane, crisi di Suez, fine della Gran Bretagna come potenza mondiale in grado di agire in modo indipendente. A sessant’anni di distanza essa oggi è un mosaico di ciò che fu e di ciò che è diventata. Da impero si è trasformata in una società multietnica e per ridurre le differenze di classe ha adottato strumenti di welfare e un sistema scolastico pubblico di qualità, ma è incerta sul proprio ruolo in Europa (v. Brexit) anche se resta una delle sei nazioni più ricche del mondo. Questo libro affronta il tema della ‘crisi’, le sfide e le trasformazioni che nel corso di alcuni decenni hanno attraversato sette paesi: Finlandia, GIappone, Cile, Indonesia, Germania, Australia, Stati Uniti. Questo studio è ‘comparativo’ perchè guarda alle esperienze non di una sola nazione ma di sette paesi diversi per metterle a confronto.”,”BORx-021″
“DIAMOND Jared”,”Armi, acciaio e malattie. Breve storia del mondo negli ultimi tredicimila anni.”,”Jared Diamond ha iniziato la sua carriera scientifica occupandosi di fisiologia umana per poi passare alla biologia evolutiva e alla bio-geografia. Insegna all’Università della California a Los Angeles, è membro dell’Accademia nazionale delle scienze americana e ha ricevuto vari premi scientifici. Con ‘Armi acciaio e malattie’ ha preso il Premio Pulitzer 1998 per la saggistica. Tra i suoi libri di carattere divulgativo: ‘Il terzo scimpanzé’, Bollati, 1994. STORIA SOCIALE ANTICA RAPPORTO DIVERSITA’ CULTURA- DIVERSITA’ GEOGRAFIA ECOLOGIA RISORSE TERRITORIO COLTIVAZIONI AGRICOLTURA PRODUZIONE ALIMENTARE QUESTONE ADDOMESTICAMENTO ANIMALI ALLEVAMENTO LINGUISTICA GENETICA BIOLOGIA MALATTIE RELAZIONE AGRICOLTORI AGRICOLTURA PRODUZIONE ARTIGIANATO MANIFATTURA INDUSTRIA METALLI ARMI ARMAMENTI TECNOLOGIA, STILI DI VITA CACCIATORI-RACCOGLITORI E COLTIVATORI-ALLEVATORI NOMI CONQUISTA SPAGNOLA AMERICA CORTES GUERRE GRAN BRETAGNA MESSICO METALLURGIA PACIFICO POPOLAZIONE VILLAGGI ETA’ ANTICA PREISTORIA SCRITTURA”,”STAx-001-FMDP”
“DIAS Francesco”,”Galleria di emulazione per uso della gioventù.”,”Dias è l’uomo del sistema, fedelissimo del Re Ferdinando, funzionario del Fisco napoletano”,”GIOx-112″
“DIAZ José Antonio”,”Luchas internas en Comisiones Obreras. Barcelona 1964 – 1970.”,”DIAZ è stato uno dei fondatori delle CC.OO. a Barcellona. Partendo da materiale inedito (atti, analisi, scritti, manifesti, volantini, comunicati) spiega gli eventi interni all’ organizzazione. La nascita dell’ izquierdismo. “”I Giovani delle CC.OO. fu una organizzazione creata a Madrid come succursale delle CC.OO. degli “”adulti””, all’ inizio del 1967. Nel luglio dello stesso anno, un rappresentante di Madrid venne a Barcellona a proporre la stessa organizzazione ad una assemblea di giovani lavoratori, in Montcada. La proposta si consolidò, ma in tre mesi i giovani si scrollarono il paternalismo dei più anziani e cambiarono il nome iniziale, che supponeva dipendenza, per quello di Comisiones Obreras Juveniles (COJ).”” (pag 42)”,”MSPx-045″
“DIAZ DEL MORAL Juan”,”Historia de las agitaciones campesinas andaluzas. Córdoba. (Antecedentes para una reforma agraria)”,” La diffusione del pensiero socialista in Spagna. “”Gli insegnamenti socialisti invasero la Spagna attraverso le coste. Dopo gli scrittori peninsulari Florez Estrada e La Sagra, di tendenza e tono semi-socialista, furono Fourier e Cabet i primi riformatori europei che incorporarono nel pensiero spagnolo le proprie elaborazioni e utopie riguardo alla questione sociale. Un porto andaluso, Cadice, ricevette le prime influenze fourieriste attraverso don Joaquin Abreu; e un porto catalano, Barcellona, ricevette i primi elementi della dottrina di Cabet. Quindi, da lì a poco, Andalusia e Catalogna furono le direttrici del movimento operaio spagnolo.”” (pag 73)”,”MSPx-057″
“DIAZ Furio”,”Per una storia illuministica.”,”Furio Diaz affronta non solo rilevanti problemi e figure della storia illuministica, ma conduce anche un serrato dibattito con la storiografia internazionale sull’Illuminismo, toccando i più delicati problemi di metodo storiografico.”,”FILx-057-FL”
“DIAZ Furio SESTAN Ernesto BADALONI Nicola ROMAGNOLI Sergio DELLA-PERUTA Franco TOSCHI Luca, relazioni, comunicazioni di Antonio PIROMALLI Mikulas PAZITKA Giorgio SPINI Enrico MENDUNI Giovanni FALASCHI Leonardo LATTARULO Gaetano RAGONESE”,”Francesco Domenico Guerrazzi nella storia politica e culturale del Risorgimento. Convegno di studi, Livorno-Firenze, 16-18 novembre 1973.”,”Francesco Domenico Guerrazzi (1804-1873) è stato un politico, scrittore e giornalista italiano, noto per il suo ruolo nel Risorgimento e per i suoi romanzi storici. Nato a Livorno, studiò legge all’Università di Pisa e si avvicinò presto agli ideali patriottici, aderendo alla Giovine Italia di Giuseppe Mazzini. Carriera politica Guerrazzi fu una figura di spicco nei moti del 1848, diventando Ministro dell’Interno del Granducato di Toscana e successivamente Dittatore della Toscana nel governo provvisorio. Tuttavia, con il ritorno del Granduca, fu esiliato in Corsica per circa dieci anni. Opere letterarie: Come scrittore, Guerrazzi fu influenzato da Lord Byron, a cui dedicò la sua prima opera. Tra i suoi romanzi più celebri ci sono: La battaglia di Benevento (1827) L’assedio di Firenze (1863) Beatrice Cenci (1854) L’asino (1858) Nel 1861 fu eletto deputato nel Parlamento italiano, mantenendo una posizione critica nei confronti di Cavour. Morì nel 1873 nella sua azienda agricola a Cecina.’ (f. copilot)”,”ITAB-012-FMB”
“DIAZ-DEL-CASTILLO Bernal”,”La conquista del Messico.”,”DIAZ-DEL-CASTILLO Bernal fu un fedelissimo di CORTEZ, marciò al suo fianco durante le fasi della conquista messicana. Egli ci racconta minutamente ciò che fece e ciò che vide.”,”AMLx-029″
“DI-BELLA Franco”,”Corriere segreto.”,”DI-BELLA Franco è nato a Milano nel 1927 è laureato in giurisprudenza, cronista nel dopoguerra ha lavorato per i quotidiani dell’epoca e nella famosa “”scuola”” di Angelo ROZZONI al “”Tempo”” di Milano. E’ entrato al Corriere della sera nel 1952 facendo carriera fino a diventarne direttore. ‘1951-1981, misteri e retroscena del più grande giornale italiano. Dai diari di trent’anni del cronista che ne divenne direttore'”,”EDIx-087″
“DI-BELLA Franco”,”Storia della tortura.”,”Franco DI-BELLA (1928-1997) giornalista e divulgatore è stato direttore del Corriere della Sera dal 1977 al 1981. Tra i suoi libri ‘Corriere segreto’.”,”TEMx-058″
“DI-BELLO Anna a cura, saggi di Gianni FRANCIONI Marcello MUSTO Gian Mario BRAVO Marco VERSIERO Francesco GIASI Fabio FROSINI Francesca IZZO Giuseppe COSPITO Anna DI-BELLO Luca BASILE Biagio DI-GIOVANNI Gianfranco BORRELLI Giuseppe VACCA Marcello MONTANARI Diego LAZZARICH Salvatore IODICE”,”Marx e Gramsci. Filologia, filosofia e politica allo specchio.”,”Patrocinio dell’Istituto Fondazione Gramsci di Roma e dell’Associazione Italiana degli Storici delle Dottrine Politiche, Napoli 4-5 dicembre 2008 G.M. Bravo cita l’ Istituto di Studi sul Capitalismo di Genova a pag 31-32 sui volumi ‘militanti’ della corrispondenza Marx-Engels pubblicati da Lotta Comunista. Pag 60-61-63-64 “”Il Marx e l’Engels che si imposero fra il ’70 e il ’71 (e poi nell’anno seguente) furono essenzialmente politici. Da un lato descrissero gli avvenimenti – specie la guerra e i suoi riflessi, non solo europei ma anche americani – e da un altro lato furono ‘leaders’ e protagonisti dell’Internazionale, ebbero come referenti la classe operaia inglese, i movimenti repubblicani e poi sociali francesi, la socialdemocrazia tedesca nelle sue fasi inziali e i protosocialismi continentali di varia configurazione. Per contro, si scontrarono con eminenti avversari politici: dopo la sconfitta di Napoleone, con l’intera classe dirigente francese, sia con gli antichi cesaristi ed ex orléanisti sia con i dirigenti della neonata Terza repubblica sia, ancora, con i ceti governanti dell’intera Europa, dal Bismarck fondatore del ‘Reich’ germanico (febbraio 1871) a tutti i capi di Stato. Marx, soprattutto, venne rappresentato dagli avversari e dalla stampa continentale come il “”demonio””, il terrorista che sgomentava i pacifici e tranquilli popoli, evocando gli antichi “”spettri”” del comunismo e del socialismo e spingendo all’azione sediziosa e “”dinamitarda”” i “”petrolieri””: termine usatissimo, quest’ultimo, che evocava il fuoco che avrebbe distrutto la ‘civilisation’, la ‘Kultur’. Oltre a ciò, ci furono le articolate e informatissime esposizioni di Engels – qualche volta integrato da Marx – sulla guerra, con studi sistematici della o “”delle”” questioni militari, con l’analisi delle strategie messe in campo dagli eserciti contrapposti e del nuovo modello di belligeranza distruttiva, fatto valere soprattutto dalle “”pratiche guerresche”” dei generali tedeschi (F. Engels, La lotta in Francia (11 novembre 1870), in MEO, XXII, pp. 141-154)”” [G.M. Bravo, Marx ed Engels: ‘Commune’, socialismo internazionalista e nazionale] [(in) Marx e Gramsci. Filologia, filosofia e politica allo specchio, a cura di Anna Di Bello, 2011] (pag 35) “”Marx accettava la tematica dell’internazionalismo proletario, così come gli derivava dalle idee rivoluzionarie dell’89 della “”fratellanza””, passate attraverso le spinte dell’organizzazione internazionalista dei ‘Fraternal Democrats’ e le proteiformi sperimentazioni, o aspirazioni, che avevano condotto nel settembre 1864 alla fondazione dell’Associazione Internazionale dei Lavoratori, i cui Statuti furono in gran parte opera sua. Ma, come in tutta l’esperienza internazionalista che precedette la ‘Commune’, tale internazionalismo non coincideva esclusivamente con la visione della conflittualità di classe, dominante non solo nel Marx “”teorico”” bensì in tutta la tradizione inglese tradeunionista e del cosiddetto socialismo ricardiano della prima metà e degli anni centrali dell’Ottocento, ma era anche strettamente collegato alle tesi delle alleanze, da operarsi anche al di fuori della “”classe””, e dei rapporti da stringere con le multiformi componenti della democrazia “”progressiva””. Il socialismo – come era già accaduto, secondo Marx, nel ’48-’49 – anche come conseguenza della ‘Commune’ sarebbe stato in condizione di programmare una vera e propria “”politica di alleanze”” non solo con altri partiti ma anche con ceti diversi della società, specie nei distinti contesti nazionali”” (pag 41-42) [G.M. Bravo, Marx ed Engels: ‘Commune’, socialismo internazionalista e nazionale] [(in) Marx e Gramsci. Filologia, filosofia e politica allo specchio, a cura di Anna Di Bello, 2011]”,”GRAS-092″
“DI-BENEDETTO Vincenzo LAMI Alessandro”,”Filologia e Marxismo. Contro le mistificazioni.”,”I primi 7 capitoli di V. Di-Benedetto e gli altri 3 di A. Lami Gli autori (al 1981): Vincenzo Di Benedetto (1934) è ordinario di Letteratura greca all’Università di Pisa e professore di Filologia greca alla Scuola Normale Superiore. Ha pubblicato tra l’altro tre volumi su Euripide e uno su Eschilo (L’ideologia del potere e la tragedia greca. Ricerche su Eschilo’, Torino, 1978). Alessandro Lami (1949) è titolare di assegno presso la Facoltà di Lettere dell’Università di Pisa. Sofri e i due Marx “”Anzitutto, secondo il Sofri, «non esiste ‘il’ Marx che alcuni vorrebbero (o che tutti, ciascuno a suo modo, vorrebbero) mentre esistono ‘diversi’ Marx, corrispondenti non solo e non tanto a epoche diverse (il Marx giovane, quello della ‘Formen’, quello del ‘Capitale’, quello della vecchiaia), quanto a ispirazioni di fondo quasi sempre ‘compresenti’, in forma contraddittoria, nell’opera marxiana» (4). Ora, a parte questo compiaciuto auto-porsi del Sofri al di sopra della mischia, nel senso che egli è convinto di essere dotato di una consapevolezza relativistica che agli altri manca, confesso che, di primo acchito, mi riesce difficile trovare una corrispondenza tra l’opera effettiva di Marx e questo Marx sofriano, percorso da intime, compresenti contraddizioni. Ma per fortuna il Sofri fornisce un ulteriore chiarimento in proposito. «C’è un Marx – ancora secondo Sofri – che tende a stabilire le leggi generali dello sviluppo storico e c’è un Marx che si occupa essenzialmente della società capitalistica e del suo superamento rivoluzionario, che solo incidentalmente s’imbatte in altri tipi di società (l’«altro dal capitale») e affida allora le proprie osservazioni su di esse, ‘per lo più’, a quaderni di appunti, non destinati alla stampa». E «personalmente» il Sofri, anche se non si sente «di espungere il primo Marx» dichiara tuttavia che le sue propensioni vanno verso il secondo Marx, che gli pare si possa anche ritenere che «sia non solo il più produttivo per noi, ma anche il più ‘vero’» (5)”” (pag 16-17) “”Nelle ‘Forme’ Marx colloca il mondo greco-romano a un livello comunitario-primitivo che non trova riscontro nel ‘Capitale’. E pur tuttavia il fatto che Marx istituisca un rapporto stretto – non solo per la comunità antica ma anche per le altre – tra la forma della proprietà e le condizioni della produzione, la formulazione secondo cui la storia dell’antichità classica è storia di «città basate sulla proprietà fondiaria e sull’agricoltura», la concezione secondo cui la «terra costituisce la base della comunità», il modo come Marx vede la dissoluzione della comunità (con la schiavitù e la servitù della gleba che «falsificano e modificano le forme originarie di tutte le comunità e ne divengono persino la base») tutto questo dimostra che anche nelle ‘Forme’ la distinzione tra struttura e sovrastruttura gioca un ruolo essenziale. Certo, qui il quadro è più complesso, perché entra in gioco un presupposto che è la comunità naturale della tribù, nel senso dell’affinità di sangue, di lingua, di costume; e uno degli aspetti più affascinanti delle ‘Forme’ è proprio una tormentata tensione tra il dato dell’affinità della ‘stirpe’ e il particolare modo come la comunità si configura in relazione alle condizioni della produzione. Naturalmente, se il discorso di Marx sia assolutamente coerente, e, anche, se esso sia credibile alla luce di una verifica della realtà storica effettivamente accertabile (per quel che riguarda il mondo greco-romano esso è a mio parere condizionato da una documentazione troppo scarsa e selettiva) (7) tutto questo è un problema che può restare aperto. Ma non ci sono dubbi, mi pare, che il discorso che Marx conduce nelle ‘Forme’ non può essere dissociato, con una operazione piattamente semplificante, dal ‘principio’ del nesso struttura – sovrastrutture: sempre che, ben inteso, non si voglia pretendere un’applicazione meccanicamente semplicistica di questo ‘principio’ e non ci si ritragga, impauriti, di fronte a una articolazione più complessa, e più difficile, del discorso marxiano”” (pag 18) [(4) Cfr. marxismo mondo antico e Terzo mondo [in seguito ‘Inchiesta’], Napoli, 1979, p. 181; ((5) Cfr. Inchiesta, p. 182; (7) Rimando per questo ai capitoli II e III] [‘Filologia e Marxismo. Contro le mistificazioni’, di Vincenzo Di Benedetto e Alessando Lami, Liguori editore, 1981]”,”TEOC-803″
“DI-BERARDO Stefano”,”La poesia dell’azione. Vita e morte di Carlo Tresca.”,”Stefano DI BERARDO, Pescina L’Aquila (1984-) si è laureato in scienze politiche e relazioni internazionali presso l’Università degli Studi di Padova. “”Con l’alleanza tra Tresca e i comunisti ormai in frantumi, questi ultimi iniziarono ad aumentare la loro pressione sull’anarchico, come aveva consigliato Vidali. Di fronte alla dichiarazione dell’anarchico abruzzese che il comunismo sarebbe stato una nuova minaccia di oppressione per l’Italia, ‘Il Lavoratore’ reagì con disprezzo definendolo “”funambolo”” e dichiarando che in Italia solo i comunisti erano in grado di opporsi al fascismo (Nunzio Pernicone, Carlo Tresca. Portrait of a Rebel, Palgrave, 2005, p. 199). L’anno 1932 segnò un aumento delle accuse contro Tresca da parte dei comunisti, sia italiani che americani, sempre più ingiuriose. Un professore americano lo definì “”un individualista, proprietario di un giornale, in combutta con i nemici della classe operaia”” (Il Martello, 19 marzo 1932)”” (pag 277)”,”MUSx-278″
“DI-BIAGIO Anna a cura”,”Democrazia e centralismo. Stalin Trotsky Zinoviev Preobrazenskij Sapronov.”,”Timoteï V. Sapronov (1887-1939) Peintre en bâtiment, membre du Parti en 1911. Après la révolution il s’oppose “”sur la gauche”” à Rakovsky en Ukraine (1920) puis particpe à la fondation de la tendance “”déciste”” (Centralisme Démocratique), dont il est un des principaux dirigeants. En 1926, il rejoint l’Opposition Unifiée Trotsky-Zinoviev-Kamenev avec sa tendance. Au sein de cette opposition les décistes représentaient les partisans de l’orientation du “”nouveau parti””, sceptiques quant à la nécessité d’agir pour “”redresser”” le P.C.U.S. et le Komintern. Sapronov est exclu du P.C. en 1926, réintégré en 1927, de nouveau exclu et emprisonné en 1932. Il sera tué en prison. (fonte MIA http://www.marxists.org/francais/bios/sapronov)”,”RIRO-083″
“DI-BIAGIO Anna”,”Coesistenza e isolazionismo. Mosca, il Komintern e l’ Europa di Versailles (1918-1928).”,”DI-BIAGIO Anna insegna storia della Russia presso la Facoltà di lettere e filosofia dell’ Università di Firenze. E’ autrice di vari studi sulla storia della Russia del Novecento e dell’ Internazionale Comunista. Ha curato raccolte di scritti e di documenti conservati negli archivi di Mosca sulla politica estera sovietica. L’ analisi di Varga e Hilferding. “”Il 1° maggio 1924 l’ IKKI aveva convocato a Berlino i rappresentanti dei principali partiti comunisti europei, per esaminare il piano del comitato degli esperti delle potenze alleate sulla situazione finanziaria della Germania, già accettato dal governo tedesco. I partecipanti alla riunione, che vide il partito comunista inglese declinare l’ invito, si dichiararono unanimemente convinti che, ancora una volta, le potenze occidentali avrebbero dato prova della loro incapacità di risolvere la questione tedesca. Quel piano si sarebbe rivelato “”una seconda, più cinica pace di Versailles””, che avrebbe portato a compimento lo scopo perseguito dalla prima Versailles, quello di “”colonizzare”” la Germania. Le analisi proposte nel frattempo dall’ economista Evgenij S. Varga andavano in una direzione opposta. Cercando di evidenziare soprattutto le novità contenute nel piano del comitato degli esperti, egli giunse alla conclusione che la soluzione proposta per la questione delle riparazioni era suscettibile di rivelarsi efficace e conseguire un certo successo. In tal caso, si sarebbe inaugurata una nuova fase di “”stabilizzazione”” dell’ economia mondiale. Si trattava di una prognosi che correva grossi rischi di essere accusata di “”ultraimperialismo””, cioè di aver subito l’ influenza delle posizioni sostenute da Kautsky fin dal 1916 e che in seguito erano state riprese e rielaborate da Hilferding, alla luce dei più recenti sviluppi della situazione internazionale. Il ministro delle Finanze del governo Stresemann, in un saggio pubblicato nell’ aprile 1924, si era proposto di ripensare ai cambiamenti introdotti dalla guerra nel campo delle relazioni internazionali, alla luce dell’ ipotesi “”ultraimperialistica”” formulata da Kautsky nel 1916, che ora ai suoi occhi sembrava rivelarsi altamente profetica. Secondo Hilferding, la vittoria schiacciante riportata in guerra dagli anglo-americani faceva perdere di credibilità la prognosi comunista di un’ inevitabile nuova guerra imperialistica.”” (pag 148-149)”,”RUST-113″
“DI-BIAGIO Anna a cura; scritti di TROTSKY Lev ZINOVIEV Gregorij PREOBRAZENSKIJ Evgenij STALIN Josif SAPRONOV Timofej”,”Democrazia e centralismo. La discussione sul «nuovo corso» nel Partito Comunista Sovietico (ottobre 1923 – gennaio 1924).”,”Nell’estate del 1923 l’Unione Sovietica era stata investita da una ondata di malcontento popolare. Contrasti e discussioni, provocati nel partito sovietico dal profilarsi di un distacco crescente tra il governo ed i lavoratori, si tradussero in tendenze politiche all’interno del partito, fautrici di un mutamento radicale di uomini e di metodi di direzione. Erano le prime battute di uno scontro fra una ‘maggioranza’ ed una ‘opposizione’ che si sarebbe concluso nel 1927, con la sconfitta definitiva dei portatori di esigenze di democratizzazione nel partito sovietico. Con questa raccolta si è tentato di riprodurre i testi e gli interventi più significativi della ‘discussione pubblica’ apertasi nel partito comunista sovietico nell’autunno 1923 sui temi della ‘democrazia operaia’, come realizzare un regime di democrazia all’interno del partito comunista sovietico, in regime di dittatura del proletariato. tesi di Timofej SAPRONOV (SOPRONOV nell’indice del libro) (pag 111-120)”,”RIRO-081-FL”
“DI-BIAGIO Anna”,”Coesistenza e isolazionismo. Mosca, il Komintern e l’Europa di Versailles (1918-1928).”,”Anna Di Biagio insegna Storia della Russia presso la Facoltà di Lettere e Filosofia dell’Università di Firenze. É autrice di numerosi studi sulla storia della Russia del Novecento e dell’Internazionale comunista. Ha curato inoltre diverse raccolte di scritti e di documenti conservati negli archivi di Mosca sulla politica estera sovietica.”,”INTT-024-FL”
“DI-BIAGIO Anna”,”La lotta per la successione a Lenin.”,”La riforma di Lenin. La posizione di Stalin e di Trotsky. “”Nuove informazioni pervenuteci in seguito alla pubblicazione di materiali d’archivio ci consentono di vagliare in modo più circostanziato l’influsso dell’«ultima battaglia di Lenin» sulla genesi della frattura ai vertici del partito bolscevico nel 1923. Sappiamo ora che la Voliceva, una delle segretarie di Lenin, aveva inviato a Stalin la prima nota a lei dettata il 23 dicembre 1922, senza rispettare le indicazioni del «Vecchio», che aveva invece disposto la diffusione di questa nota solo in caso di sua morte. Stalin aveva fatto conoscere nota a Trotsky. Entrambi, su esplicita richiesta della Fotieva che si era accorta dell’«errore», si erano impegnati a non rivelare a nessun altro il contenuto della nota (26). In questa nota Lenin proponeva come è noto delle misure miranti ad introdurre una «riforma» della «struttura politica» del paese, che prevedeva innanzitutto un consistente aumento del numero dei membri del Cc. Le argomentazioni addotte a sostegno di questa proposta non erano dello stesso segno di quelle che avevano sostenuto l’idea dello ‘zamstvo’: occorreva migliorare l’apparato del partito, aumentando l’autorità del suo Cc con l’immissione di nuovi membri provenienti dalla «classe operaia», non più per la lotta al burocratismo nell’apparato statale, bensì per ammortizzare il peso e gli effetti negativi dei «conflitti» che regnavano tra i membri del Cc stesso. Lenin accantonava infine le obiezioni da lui ripetutamente sollevate in passato a proposito del progetto di Trockij sulla ristrutturazione del Gosplan e proponeva di conferire «carattere legislativo» all’operato di questo istituto (27). Siamo ora in grado di ipotizzare con un certo fondamento che Stalin, venuto a conoscenza di questa prima nota della ‘Lettera al congresso’, si sentì in dovere di eseguire quello che a prima vista sembrava un mandato del capo del partito, anche se formulato in modo vago, vale a dire andare «incontro» a Trockij, in una certa misura e a certe condizioni». In una lettera indirizzata al Cc il 6 gennaio 1923, il segretario si mostrò disponibile a raccogliere l’invito più volte formulato da Trockij affinché si rimediasse al «caos» che regnava nell’amministrazione dell’apparato economico, e a questo proposito formulò le sue proposte in merito: egli accoglieva l’istanza di procedere ad una unificazione degli organismi preposti all’amministrazione dell’industria, ma non nel senso auspicato da Trockij, bensì attraverso la fusione dello Sto con il collegio di vice già proposto da Lenin ed il Finkomiter, il comitato del Cc che sovraintendeva alla politica finanziaria del paese. Dopo aver escluso il Gosplan dal suo progetto di ristrutturazione, Stalin infine offriva a Trockij la carica di vice presidente del Sovnarkom e l’assegnazione di una vaga «cura speciale» del Vesencha, alla cui presidenza egli proponeva Pjatakov (28). Le obiezioni di Trockij riguardarono soprattutto l’inclusione del Finkomitet nella nuova unità ammistrativa dell’economia. In replica alle proposte di Stalin, si espresse in termini inequivocabili contro una supposta «dittatura della finanza» che il progetto di Stalin avrebbe instaurato nella politica economica del governo (29). Non è difficile cogliere il senso di questa accusa, se si considerano i dissensi sorti nell’ala del partito più sensibile agli interessi dell’industria sovvenzionata dallo Stato, in seguito alle misure di risanamento adottate dal Narkomfin per conseguire la stabilizzazione finanziaria, ispirate ai più puri criteri della finanza ortodossa (20). Molti elementi ci inducono a ritenere che Trockij, sin da questi primi mesi del 1923, fosse ritenuto un esponente degli ineressi di quel «nuovo strato sociale» che si era andato cristallizzando nel corso della ristrutturazione dell’industria di Stato, avvianta nella seconda metà del 1921 e portata a compimento nella prima metà del 1922. Si trattava di un nuovo gruppo di dirigenti e membri delle amministrazioni dei ‘trusty’, direttori delle imprese industriali, in cui erano andati a confluire sia i vecchi direttori d’impresa e specialisti del periodo prerivoluzionario, sia un nuovo strato di promossi tra i combattenti della guerra civile, provenienti dalle file bolsceviche. Costoro si erano già attirati le invettive del «Trud» e di Tomskij in particolare per la loro politica di forti compressioni salariali (31), mentre il giornale menscevico «Socialisticeskij Vestnik» non aveva mancato di notare le forti pressioni provenienti da questi «industriali rossi», affinché si introducessero un certo coordinamento, maggiori articolazioni e più elasticità nei rapporti tra organizzazioni di partito ed amministrazione dello Stato (32). L’accusa rivolta a Stalin ci dice molto sul proposito di Trockij di dar battaglia a favore degli ineressi di costoro, dopo che il Politjuro, l’11 gennaio, gli aveva affidato la preparazione delle tesi sull’«organizzazione dell’industria di Stato» da presentare all’approvazione del XII Congresso del partito (33). Il Gosplan che egli proponeva di rafforzare era già diventato un aspro oppositore del Narkomfin, soprattutto quando suoi collaboratori, spalleggiati dai colleghi dello Sto, avevano inziato ad avanzare proposte per superare il ristagno industriale che andassero nella direzione di una forte concentrazione industriale, massicci stanziamenti di bilancio a favore dell’industria pesante e il ricorso ad un aumento dell’onere fiscale sui contadini (34). L’altra proposta di Stalin che destò le rimostranze di Trockij fu quella relativa alal sua nomina a vice presidente del Sovnarkom: alla riproposizione di questa che era già stata una proposta di Lenin, Trockij oppose non più soltanto le sue riserve sull’istituto dello ‘zamstvo’, ma ammise con franchezza di ritenere quella nomina «una mia liquidazione in qualità di ‘rabotnik’ sovietico» (35). Mentre era in atto questa «corrispondenza» tra Trockij e Stalin, al Politjuro pervenne l’articolo di Lenin ‘Come riorganizzare l’Ispezione operaia e contadina’, che conteneva come è noto la proposta di creare un nuovo organismo, frutto della fusione tra una istituzione di partito, la Ccc, e un organo di Stato, quale era la Rki. Gli elementi di novità registrabili in questo testo, che per più aspetti si presentava come una nuova visione della «riforma» rispetto a quella contenuta nella nota del 23 dicembre, erano innanzitutto il fatto che ora non figurava più la proposta di un aumento numerico del Cc. In essa inoltre Lenin rendeva pubblici i suoi timori di una frattura del gruppo dirigente, fatti risalire a «fattori puramente personali e casuali» che condizionavano i rapporti tra i dirigenti» (36) (pag 353-354) [(26) “”Izvestija Ck Kpss””, 1990, n. 1, pp. 157-159; (27) V.I. Lenin, Polnoe sobranie socinenij, t. 45, cit., pp. 343-344; (28) Brani di questa lettera di Stalin furono riportati da Trockij in una lettera del Cc e della Ccc del 23 ottobre 1923 (“”Izvestija Ck Kpss””, 1990, n: 10, pp. 178-179; (29) ‘Kommunisticeskaja oppozicija’, cit, pp. 9-11; (30) Sull’aspetto finanziario della Nep, cfr. E.H. Carr, La morte di Lenin. L’interregno 1923-1924, Torino, 1965, pp. 28 sgg.; (31) “”Trud””, 12, 20 dicembre 1922; (32) ‘Socialisticeskij Vestnik’, n. 3, 31 gennaio 1923, p. 8; (33) ‘Pravda’, 12 gennaio 1923; (34) E.H. Carr, La morte di Lenin, cit., pp. 15 sgg.; (35) ‘Kommunisticeskaja oppozicija’, cit, p. 19; (36) V.I. Lenin, Polnoe sobranie socinenij, t. 45, cit., pp. 383-388; Id. Biografileskaja chrnoika, t. 12, cit., p. 549] inserire”,”LENS-295″
“DI-BIAGIO Anna”,”La lotta per la successione a Lenin.”,”””‘Il marcio compromesso’. Trotsky ricevette la famosa lettera con cui Lenin gli chiedeva di assumersi la difesa degli «indipendentisti» georgiani dinanzi al Cc in una posizione di relativo isolamento all’interno del Politbjuro, dopo che Zinoviev aveva già manifestato la sua intenzione di dar battaglia contro di lui. In un ‘memorandum’ allegato a quella lettera, Lenin esigeva come è noto la punizione di Ordzonikidze e la messa sotto accusa, in qualità di «responsabili politici», di Stalin e di Dzerzinskij, di colui che aveva spalleggiato Sokolnikov nella commissione sull’industria al ‘plenum’ di febbraio. Quale fu la reazione di Trotsky di fronte a questo inaspettato aiuto proveniente dal «Vecchio»? Le informazioni oggi disponibili ci consentono di ricostruire con più precisione ed esattezza di quanto sia stato fatto sinora questo momento drammatico e decisivo, ai fini di una risposta esauriente all’interrogativo più volte sollevato dalla ricerca storica sul perché Trockij non avrebbe dato battaglia contro Stalin, come Lenin gli aveva richiesto per iscritto. Nel momento in cui ricevette questo incarico, Trotsky condivideva almeno formalmente con tutti i membri del Politjuro la «piena responsabilità» della linea seguita sino ad allora per la formazione dell’Unione (52). Del resto, che Trotsky potesse erigersi a difensore delle istanze autonomistiche georgiane avrebbe dovuto risultare poco credibile per più ordini di considerazioni. Come è noto, l’esercito era stato lo strumento della riunificazione delle province dell’ex impero sotto insegne gran russe nel corso della guerra civile (53). Il progetto di Unione redatto da Stalin prefigurava il passaggio dalla fase militare alla fase economica di quella riunificazione. Questo passaggio era suscettibile di andare incontro per più aspetti alle idee di accentramento amministrativo professate dal Gosplan e da Trotsky sin dal 1921, mentre era destinato a costituire l’oggetto centrale del contendere tra Mosca e le istanze autonomistiche non soltanto dei georgiani, ma anche degli ucraini. Trotsky in sostanza non avrebbe avuto molte obiezioni da sollevare ai termini della denuncia formulata da Stalin, in una sua lettera a Lenin del 22 settembre 1922, sulla «mancanza di ordine» e sul «caos completo» che regnava nei rapporti tra centro e periferia e che paralizzava «ogni attività economica su scala panrussa» (54). Se si esamina l’insieme dei documenti relativi alla controversia sulla questione nazionale, ci si rende conto che Stalin condannò il «liberalismo nazionale» di Lenin soprattutto per la proposta da questi caldeggiata di istituire commissariati federali indipendenti delle finanze, degli approvvigionamenti, del lavoro e dell’economia, la quale avrebbe fatto compiere una decisiva «marcia indietro» – lo ammise lo stesso Lenin – al progetto di integrazione economica su cui Trotsky non avrebbe potuto restare indifferente”” (pag 361-362) [(52) Era questa la denuncia che figurava nella citata lettera dei membri del Politbjuro del 29 marzo 1923; (53) Cfr. H.E. Carr, ‘La rivoluzione’, cit., pp. 357 sgg.; (54) “”Izvestija Ck Kpss””, n. 9, pp. 198-199] inserire”,”TROS-308″
“DI-BIAGIO Anna”,”I bolscevichi e il sistema di Versailles (1919-1923).”,”””[Le] osservazioni di Cicerin contenevano molti elementi di verità, soprattutto se riferite alla prima occasione in cui Lenin si trovò a dover dar prova della sua «arte diplomatica», la conclusione della pace di Brest-Litovsk. «L’inimitabile realismo politico di Lenin – dirà Cicerin – ci salvò dagli errori di compagni più propensi a restar suggestionati dalle impressioni del momento» (11). Ma non si trattò solo di realismo politico. A determinare la decisione di Lenin di concludere una pace separata con la Germania concorse una convinzione profonda, che traeva origine dalle stesse analisi che prima del 1917 lo avevano portato ad ipotizzare che la guerra imperialistica sarebbe stata un fattore di accelerazione della rivoluzione. I bolscevichi dovevano la loro vittoria ad una speciale congiuntura internazionale in cui – sono parole di Lenin: «tutta l’immensa forza politico-sociale e militare dell’imperialismo mondiale contemporaneo era in quel momento divisa in due gruppi da una guerra intestina (…). Soltanto perché la nostra rivoluzione è capitata in questo momento propizio, allorché nessuno dei due giganteschi gruppi di predoni poteva fare a meno di gettarsi l’uno contro l’altro né poteva unirsi contro di noi; solo di questo momento dei rapporti politici ed economici internazionali poteva approfittare ed approfittò la nostra rivoluzione» (12). Ora, nel 1918, quelle stesse rivalità tra le potenze imperialistiche avrebbero potuto costituire una sorta di scudo protettivo per la Russia sovietica, «l’unica garanzia di pace, reale e non di carta (…) dell’isola socialista in mezzo al mare tempestoso dell’imperialismo» (13). I bolscevichi firmarono una «pace di Tilsit», sia per la mancanza di alternative alla «pace ad ogni costo», presente nel programma rivoluzionario dell’Ottobre, sia perché convinti che prima o poi sarebbero giunti i «rinforzi» del proletariato internazionale. Ma sin dall’aprile 1918 Lenin parve rendersi conto di quanto poco affidamento la giovane repubblica sovietica avrebbe potuto fare su quell’aiuto e soprattutto sulla rapidità con cui esso sarebbe giunto: «(…) finché non scoppia una rivoluzione socialista internazionale che abbracci più paesi, e che sia così forte da vincere l’imperialismo internazionale, fino a quel momento il primo dovere dei socialisti che hanno vinto in un paese solo (e particolarmente arretrato) è di non accettare battaglia contro i giganti imperialistici, di cercare di evitarla, di ottenere che la lotta degli imperialisti tra loro li renda ‘ancor’ più deboli, e avvicini ancor più la rivoluzione negli altri paesi (14)». A proposito della ‘peredyska’ leniniana, ovvero della lezione che Lenin trasse dai negoziati di Brest-Litovsk, è stata sottolineata soprattutto una componente, senz’altro importante per i successivi sviluppi della politica estera sovietica: una sostanziale visione catastrofica delle relazioni internazionali, che portava a considerare gli antagonismi tra le potenze un fattore di sicurezza per lo Stato sovietico e assieme una garanzia di successo della rivoluzione in altri paesi (15). Ai tempi della pace di Brest-Litovsk tuttavia, ciò che fondò la fiducia in Lenin nella possibilità di rinviare il confronto finale tra i due campi fu soprattutto un profondo scetticismo sulla capacità delle potenze europee di risolvere le loro «contraddizioni» anche dopo la fine del conflitto mondiale (16). Come è noto la pace di Brest-Litovsk provocò la prima seria spaccatura del gruppo dirigente bolscevico. E’ altrettanto noto che uno degli esponenti di rilievo del primo gruppo di opposizione del nuovo Stato sovietico fu Bucharin, che intervenne con una co-relazione al VII congresso del partito russo (marzo 1918) per proporre, in alternativa alla firma della pace, una «guerra rivoluzionaria contro l’imperialismo tedesco». Si trattava di una proposta altamente irrealistica, dettata da quell’estremismo rivoluzionario che animava ancora una gran parte dei dirigenti del partito sovietico. Nel suo discorso Bucharin tenne a contestare l’assioma illustrato da Lenin nella medesima assise, secondo cui «la crepa» esistente tra le due coalizioni in guerra fosse più profonda del «contrasto fra noi e il capitale» e potesse perciò costituire una garanzia di non intervento: «Ludendorff non ci darà nessuna ‘peredyska’» (17). Al di là della fiducia ancora forte nutrita dal dirigente bolscevico in una prossima vittoria della «rivoluzione internazionale», in queste sue prime prese di posizione emergevano elementi di una riflessione diversa sulle «contraddizioni inter-imperialistiche» come fattore fondamentale di sicurezza per la Russia sovietica. (…)”” [Anna Di Biagio, ‘I bolscevichi e il sistema di Versailles (1919-1923)’, (in) ‘Studi storici’, Roma, aprile-giugno 1986 (pag 456-457)] [(11) G.V. Cicerin, Lenin i vnesnjaja politika, in ‘Stat’i i reci po voprosam mezdunarodnoj politiki’, Mosca, 196, p. 277; (12) V.I. Lenin, PSS, XXXVI, p. 9; (13) Ivi, p. 168; (14) Ivi, p. 287; (15) A. Ulam, ‘Storia della politica estera sovietica’, cit., p. 117; (17) Sed’moj Ekstrennyj s’ezd RKP (b), 6-8 marta 1918: stenograficeskij otcet’, Mosca, 1962, pp. 27-29; sulla posizione di Bucharin all’interno del gruppo dei comunisti di sinistra cfr. S.F. Cohen, Bucharin e la rivoluzione bolscevica 1888-1938′, Milano, 1975, pp. 69 sgg.] [Lenin-Bibliographical-Materials] [LBM]”,”RUST-166″ “DI-BIAGIO Anna”,”Lev D. Trockij.”,”Anna Di Biagio ricercatrice presso il Dipartimento di Storia della Facoltà di lettere e filosofia all’Università di Firenze, è autrice di studi sulla storia politica della Russia sovietica. Ha pubblicato: ‘Le origini dell’isolazionismo sovietico. L’Unione Sovietica e l’Europa dal 1918 al 1928’ (F. Angeli, Milano, 1990). Ha collaborato inoltre alla cura dei ‘Protocolli delle Conferenze del Cominform’ editi negli Annali della Fondazione Feltrinelli, Milano, 1994. “”Con le sue istanze di una maggiore autonomia dell’apparato statale, agli inizi del 1923 Trockij si presentò come colui che avrebbe potuto diventare l’esponente degli interessi dei cosiddetti “”industriali rossi””. Si trattava di un nuovo gruppo sociale che si era venuto formando nel corso della ristrutturazione dell’industria di Stato, portata a compimento nella prima metà del 1922, che aveva visto la revisione dei principi del “”comunismo di guerra”” anche nell’industria manifatturiera, in particolare per quanto riguarda la sovvenzione diretta da parte dello Stato. L’introduzione di criteri commerciali nel finanziamento anche delle imprese statali era stata accompagnata dal reinserimento dei vecchi direttori di impresa e dall’impiego di una nuova leva di amministratori, formata da bolscevichi ex combattenti della guerra civile. Fu da questo ambiente che si fece strada la consapevolezza della necessità di liberarsi dalla tutela del partito, soprattutto nell’opera di selezione del personale e dei quadri tecnico-amministrativi, per poter realizzare il compito di favorire la ripresa industriale del paese. Le ‘Tesi sull’industria’ che Trockij redasse su incarico del Politbjuro e presentò al XII Congresso del partito (aprile 1923), lo qualificavano senz’altro come un difensore degli interessi dell’industria di Stato e dei suoi direttori. Egli dichiarò che l’avvio a ritmi rapidi dell’industrializzazione del paese, obiettivo prioritario del governo, doveva essere conseguito sia utilizzando le forme commerciali di distribuzione reintrodotte dalla Nep, sia operando una concentrazione e razionalizzazione industriale che prevedeva i necessari interventi chirurgici, quali la chiusura delle fabbriche improduttive, l’accettazione della disoccupazione aperta, una politica di compressioni salariali. I costi sociali di questa politica economica venivano presentati come inevitabili, ma Trockij escludeva qualsiasi intervento dei sindacati a difesa e a tutela degli interessi dei lavoratori. (…) L’esito del XII Congresso, il primo che si riunì senza la presenza di Lenin, non fu tuttavia quello sperato da Trockij”” (pag 71-72) [Anna Di Biagio, Trockij, Giunti Lisciani editori, Prato, 1995] Marco Saccardi: In ricordo di Anna Di Biagio: (…) E’ stata ricercatrice presso il Dipartimento di Storia dell’Università degli studi di Firenze dal 1981 al 1999, anno in cui ha ricoperto la carica di professore associato di Storia contemporanea. Dal 2002, era titolare dell’insegnamento di Storia dell’Europa orientale. Al di là del suo percorso lavorativo come docente, era considerata e riconosciuta dai suoi stessi colleghi come la massima esperta di storia della Russia e dell’Europa orientale nell’insegnamento universitario toscano e molto stimata a livello nazionale. Uno dei suoi lavori più importanti è il volume ‘Coesistenza e isolazionismo. Mosca, il Komintern e l’Europa di Versailles (1918-1928)’, nel quale viene accuratamente analizzata la politica estera del regime staliniano a partire dal 1928. (https://archivio.ilbecco.it/cultura/saperi/umanistica-e-sociale/item/1809-in-ricordo-di-anna-di-biagio.html)”,”TROS-373″ “DI-CAPUA Giovanni”,”Un libertario nelle istituzioni. Arturo Labriola dall’antifascismo alla Repubblica.”,”DI-CAPUA Giovanni pugliese, giornalista parlamentare, ha diretto l’Agenzia Radar e il settimanale La Discussione. Ha scritto vari libri tra cui ‘Come l’Italia aderì al Patto Atlantico’. “”Dai tempi del sindacalismo rivoluzionario all’ultima battaglia in consiglio comunale in unione con i comunisti e socialisti, Labriola fu per Napoli un grande personaggio’ (quarta di copertina) Guerra di Etiopia “”Dunque, l’espulsione di Labriola dal partito socialista all’estero avvenne in via preventiva, non giunse dopo l’intervento italiano in Etiopia (…). Nella notte del 2 ottobre le truppe italiane in Eritrea varcavano le frontiere etiopiche, dando inizio alla guerra, che veniva ufficialmente dichiarata soltanto l’indomani. Contemporaneamente Arturo Labriola, che era stato interventista nella guerra di Libia (1911) e in quella mondiale (1914-1918), ritenne che le sanzioni che stavano maturando a Ginevra contro l’Italia avrebbero avuto magari un carattere soltanto economico e finanziario, ma si mostrò anche preoccupato . e ne mise subito a parte il figlio Lucio, il quale era frattanto riuscito a tornare in Italia, a Portici – che potesse aprirsi un conflitto molto più vasto giacché “”queste cose si sa come cominciano e non si sa come finiscono””. Quindi scriveva all’ambasciatore italiano a Bruxelles una lettera così concepita: “”Nel momento in cui il mio paese trovasi impegnato in una azione grave e difficile ma gloriosa, mi permetto assicurare V.E. dei miei sentimenti di piena solidarietà col mio paese al disopra ed al di là di tutte le mie preferenze politiche. (…)”” (pag 20-21)”,”ITAP-180″ “DI-CHIARA Alessandro e MARTINETTI Piero, a cura”,”Il Vangelo.”,”Pietro Martinetti (1872-1943) insegnò Filosofia teoretica nell’Università di Milano. Lasciò la cattedra nel 1931 per non ottemperare al richiesto giuramento di fedeltà al fascismo. Si ritirò a Castellamonte, proseguendo la sua attività culturale con gli scritti e sulla pagine della ‘Rivista di filosofia’.”,”RELC-029-FSD” “DICKENS Charles”,”Storia dell’ Inghilterra.”,”Un’opera sconosciuta al pubblico italiano che mostra il grande romanziere sotto un aspetto nuovo ed attraente in una traduzione dal testo originale del 1863. “”Tennero consiglio i londinesi con Lord Scales, che comandava mille arcieri della Torre, e difese il Ponte, tenendo Giacomo e i suoi fuori della City. Preso così tale vantaggio strategico, venne consigliato da diversi dei grandi di usare l’ antico sistema per dividere l’ esercito di Giacomo, col fare le solite grandi promesse da parte dello Stato, con la ferma intenzione di non mantenerne neanche una. E il vecchio giochetto riuscì ancora a meraviglia: alcuni seguaci di Giacomo travavano accettabili le offerte condizioni, mentre altri le rifiutavano, dicendo che era tutto un tranello; e alcuni se ne tornarono subito a casa, mentre altri si trattenevano nei quartieri presi, leticando gagliardamente e sospettando l’ un dell’ altro. Giacomo, che era indeciso fra il combattere o accettare l’ offerto perdono, e che intanto, per non sbagliare, faceva entrambe le cose, vide alla fine che non c’era da avere nessuna fiducia nei suoi uomini, e che quasi certamente qualcuno avrebbe finito con tradirlo e col consegnarlo al governo, onde guadagnare la taglia di mille marchi, che era stata offerta per la sua cattura, Così dopo avere viaggiato coi suoi, sempre leticando, fino a Rochester, montò sopra un buon cavallo, e via a galoppo nel Sussex. Ma gli corsero dietro, e sembra con un cavallo ancora migliore, perché un certo Alessandro Iden, lo raggiunse, e dopo lunga battaglia lo uccise. La testa di Giacomo venne esposta sul ponte di Londra, con la faccia rivolta in direzione di Blackheath dove aveva issata la bandiera della ribellione, e Alessandro si godè la taglia promessa.”” (pag 310-311) Leticare = litigare”,”UKIx-099″ “DICKENS Charles, a cura di Giovanni MAURIER”,”Le due città.”,”Charles Dickens nacque a Landport nel 1812. Il padre, impiegato al ministero della marina mercantile, venne rinchiuso nella famosa prigione dei debitori di Londra e Charles, che aveva dieci anni, dovette andare a lavorare. Quando il padre infine fu liberato , trovò un posto in un quotidiano londinese ‘The True Sun’ nel quale fu assunto in seguito anche il figlio. Furono i ‘Quaderni del Circolo Pickwick’ (1839) a dagli celebrità. Continuò la sua attività di giornalista e si recò in America e in Italia. I suoi romanzi principali sono ‘Oliver Twist’ (1838, ‘David Copperfield’ (1850), ‘Le due città’, ‘Tempi difficili’, ‘Grandi speranze’. Morì a Londra nel 1870. ‘Le due città’ appartiene al periodo della maturità e costituisce l’ambizioso esperimento di realizzazione di un romanzo di massa. Par la prima volta Dickens sposta la narrazione sul continente e, ispirandosi alla ‘Storia della Rivoluzione francese’ del Carlyle, ambienta la vicenda a Londra e a Parigi, in pieno Terrore. Dickens dosa sapientemente il patetico e il comico anche negli eventi più sanguinosi scrivendo tra le pagine più belle della letteratura: Personaggi principali. ‘ “”Le due città”” di Charles Dickens è un romanzo ricco di personaggi memorabili. Ecco alcuni dei principali: Charles Darnay: Un aristocratico francese che rinuncia al suo titolo e si trasferisce a Londra. Sydney Carton: Un avvocato inglese che conduce una vita dissoluta ma ha un cuore nobile. Lucie Manette: La figlia di un medico francese, è una figura centrale di bontà e amore. Dr. Alexandre Manette: Il padre di Lucie, un medico che è stato imprigionato ingiustamente per molti anni. Madame Defarge: Una donna rivoluzionaria francese che cerca vendetta contro gli aristocratici. Questi personaggi intrecciano le loro vite in una storia di amore, sacrificio e redenzione ambientata durante la Rivoluzione Francese”,”VARx-041-FGB” “DICKÈS Christophe”,”Jacques Bainville. Les lois de la politique étrangère.”,”DICKÈS Christophe è laureato in storia e co-direttore di una società di comunicazione. E’ pure giornalista a Canal Académie prima radio accademica francofona su Internet, dove presenta ogni settimana ‘Un giorno nella storia’. Jacques Bainville scrittore, storico autore di una ‘Histoire de France’ e di un libro profetico ‘Les conséquences politiques de la paix’ (1919) nel periodo tra le due guerre previde l’ascesa di Hitler, l’Anschluss, l’invasione della Cecoslovacchia, il patto germano-sovietico, l’aggressione contro la Polonia e la nuova guerra europea. Ma non venne ascoltato. E’ morto nel 1936 prima della catastrofe della Francia. Apparteneva alla ‘famiglia politica’ di Action française ma le sue idee andavano oltre questo circolo. Bainville pensava che la politica fosse retta da leggi e che sia sempre opera degli uomini. Dall’esperienza di questi, e dalle grandi costanti della storia fosse possibile dedurre il futuro e premunirsi contro i pericoli che cela. (dalla 4° di copertina) “”La fermeté, la volonté et une vision “”de haut”” sont d’autant plus essentielles que la situation allemande est à bien des égards inquiétante. Le 21 mars 1921, un plébiscite décide de l’attribution de la Haute-Silésie à l’Allemagne, certes après une opération douteuse (13); mais, Bainville considére le résultast comme une alarme et le signe de l’influence du grand Etat allemand. Quand Walther Rathenau, ministre allemand des Affaires étrangères, est assassiné par l’associationd d’extrême droite antisémite Consul, il y voit la preuve d’un renouveau du nationalisme allemand et la confirmation de ses thèses sur la mauvaise volonté allemande à payer les réparations, puisque Rathenau incarnait précisément cette politique (14). L’Allemagne devient un pays où ce ne sont pas les groupes extrémistes de gauche qui commettent des attentats, mais ceux d’extrême droite qui bénéficient d’une molle répression alors que, parallèlement , les groupes indépendantistes et autonomistes sont violemment réprimés. Pour lui, cela ne fait que confirmer le fait que la République allemande est profondément nationale”” (pag 191)”,”RAIx-321″ “DICKINS E.P.”,”German for Advanced Students.”,”E.P. Dickins, Department of German University of Keele.”,”VARx-262-FL” “DICKINSON Frederick R.”,”War and National Reinvention. Japan in the Great War, 1914-1919.”,”Frederick R. Dickinson is Associate Professor of Japanese History at the University of Pennsylvania. Il Giappone si era ispirato al modello tedesco “”The Japanese did, of course, escape the human, financial, and physical costs accompanying the war in Europe. By the armistice of November 1918, Japanese war dead numbered less than two thousand, not even one percent of British fatalities at the battle of the Somme alone. Japanese reserves were not depleted but augmented during the war by the creation of new markets for Japanese arms, shipping, and textiles. And Japanese soil remained uncluttered by trenches, broken rifles, or rotting corpses. (….) But if Japan was spared the ravages of the Great War, she confronted, nonetheless, the same disturbing truth that faced the main belligerents: evidence that something had gone terribly wrong with the old order, that what in the nineteenth century had been viewed as progress might only have represented a “”botched civilization””. In 1917, President Woodrow Wilson deftly placed the United States on the winning side of momentous world change. Drawing upon America’s distinction as a nation born free of old world tyranny, Wilson defined humanity’s first total war as a product of the tyranny, particularly, of German militarism and imperialism. The United States, in this schema, stood for progress. It entered the war to “”end all wars”” to make the world “”safe for democracy””. The Japanese, on the other hand, suddenly found themselves on the wrong side of global change. This war a sober moment. For japan had been hailed in the latter part of the nineteenth century as the “”pioneer of progress in the Orient”” for her successful adoption of the trappings of Western civilization. By contrast, after the Allied defeat of Imperial Germany in 1918, Japanese elites discovered that they had, perhaps, followed the wrong national model. They had looked to Imperial Germany as the vanguard of modernity and had forged a state on the foundation of empire, arms, and authoritarian rule in imitation of Kaiser Wilhelm. Many of them had, in fact, viewed the outbreak of war in 1914 as an opportunity to fortify oligarchic rule against the growing momentum for democratic reform within Japan. As devastating as evidence of a failed civilization was to Allied leaders and publicists, the military defeat of the nation that had guided Japanese national development marked for many in Japan a calamity of equal magnitude. Woodrow Wilson’ redefinition of the world order threatened to “”destroy all order”” and damage the essence of Japan’s “”National Polity”””” (pag 3-4, introduzione)”,”QMIP-194″ “DICKMANN Jens-Arne”,”Pompei.”,”Jens-Arne Dickmann insegna Archeologia classica nell’Università di Heidelberg e dirige gli scavi e la documentazione della Casa dei Postumii a Pompei per conto dell’Istituto archeologico germanico di Roma.”,”STAx-042-FL” “DI-COCCO Enzo”,”Elementi di economia agraria.”,”La legge di Engel spiega perché la produzione agricola cresce meno delle altre produzioni (pag 275-277) Di Cocco ordinario di Economia e Politica agraria nell’Università di Bologna”,”ITAE-017-FV” “DIDEROT Denis”,”Potere politico e libertà di stampa.”,”Enciclopedia illuminismo potenza diritto rapprensentanti sovranità HELVETIUS RAYNAL GRIMM rivoluzione americana uomo autorità politica tirannia”,”FILx-021″ “DIDEROT Denis”,”Interpretazione della natura.”,”La concezione evoluzionistica di DIDEROT si salda al problema della condizione umana nella ‘Reputation d’ Helvetius’ ove vengono battute con slancio le strettoie del dogmatismo e del determinismo materialistico. La saldatura avviene attraverso la nozione dell’individualità intesa come ‘farsi’ incessante, intesa come qualcosa che riassume in sé ed assorbe totalmente elementi individuali subordinati. Anche in questo caso lo spunto iniziale è del MAUPERTUIS ma la finalità è del tutto diversa: risolvendo il determinismo del comportamento umano in modo storicistico, vedendone di volta in volta le componenti biologiche, culturali, sociali ed interiori, si salvano la dignità e la libertà dell’ individuo.”,”FILx-044″ “DIDEROT Denis”,”La politica.”,”Introduzione: Diderot e la politica. Osservazioni sull’istruzione di SMI ai deputati per la redazione di leggi. Confutazioni del libro ‘Sull’uomo’ di HELVETIUS. Lettera apologetica dell’Abate Raynal a Monsieur GRIMM. Apostrofe agli insorti d’America. (Il libro ha alcune parti comuni con quello, sempre della Editori Riuniti, intitolato: DIDEROT, Potere politico e libertà di stampa’, ndr)”,”FILx-045″ “DIDEROT Denis a cura di Paolo ALATRI”,”Paradosso sull’attore.”,”L’ acteur è l’ interprete dotato di forte personalità propria la quale s’impone sul personaggio e che perciò è adatto ad interpretare soltanto alcune parti; il comedien invice è più dotato di spirito mimetico e di capacità imitative e può interpretare le parti più diverse. Per DIDEROT il ‘comedien’ è superiore all’ ‘acteur’.”,”FILx-058″ “DIDEROT D’ALEMBERT D’HOLBACH TURGOT DE JAUCOURT MARMONTEL QUESNEY”,”Enciclopedia. I passi più significativi del testo fondamentale scelti e presentati da Albert Soboul.”,”L’enciclopedia è qualcosa di più di un compendio del sapere umano del XVIII secolo. Lo spirito degli enciclopedisti è lo spirito della borghesia francese in ascesa che esprime le proprie rivendicazioni di ordine sociale, economico e politico. L’E. esprime una borghesia ormai cosciente della propria egemonia intellettuale, la quale propone un nuovo modello ideologico incentrato su nuovi ideali, ragione e libertà, e in cui trovano posto interessi nuovi come l’economia politica e la tecnologia.”,”FILx-043″ “DIDEROT Denis”,”Potere politico e libertà di stampa.”,”Enciclopedia illuminismo potenza diritto rapprensentanti sovranità HELVETIUS RAYNAL GRIMM rivoluzione americana uomo autorità politica tirannia”,”TEOP-011″ “DIDEROT Denis, a cura di Yves BENOT”,”La politica.”,”E’ una scelta di scritti di Denis DIDEROT, dalle Osservazioni sull’ Istruzione di Caterina II alla Confutazione di Helvetius, dalla Lettera dell’ abate Raynal all’ Apostrofe agli insorti d’ America, BENOT ricostruisce l’ evoluzione, a volte tortuosa, del pensiero politico di DIDEROT nella Francia prerivoluzionari, le sue prese di posizione sui problemi di governo della Francia durante i ministeri TURGOT e NECKER, le sue critiche alle predilezioni dei ‘philosophes’ per il dispotismo illuminato.”,”TEOP-168″ “DIDEROT Denis”,”Vida de Seneca.”,”””Morto il serpente non è morto il veleno”” (cit da Diderot, Vita di Seneca, pag 113) “”Jean Jacques fu il più eloquente dei nostri scrittori””. Io preferisco un piccolo volume chec contiene l’ Elogio di Descartes, e il Marco Aurelio (di Thomas) e alcune pagine scelte della ‘Storia naturale’, a tutte le opere di Rousseau. Se fu eloquente, bisogna confessare che nessuno ha fatto un peggior uso dell’ eloquenza””. (pag 109)”,”STAx-155″ “DIDEROT Denis”,”Jacques il fatalista e il suo padrone.”,”””Jacques, insomma, è lo spirito dell’Enciclopedia, nella sua espressione rivoluzionaria. Ma è anche un personaggio ben definito: uomo del popolo, dalle idee semplici e nette, dalla sanità di spirito e di corpo, che lo rende fondamentalmente buono e rabelaisianamente serano. Il suo senso elementare della giustizia, la sua istintiva generosità , la sua audace disinvoltura, al di là di ogni sofisticheria, si traducono in azioni ben definite (…)””. Di fronte a lui, la figura del Padrone rappresenta una fragile antitesi: se Jacques simbolizza tutta l’umanità, il Padrone personifica solo una classe; egli non sa più né pensare né agire e al di fuori dai suoi gesti d’automa, dalle sue rare reazioni che denunciano in lui lo spirito di casta, egli è una marionetta nelle mani di Jacques””. (pag 21)”,”VARx-455″ “DIDEROT Denis”,”Pensées sur l’interpretation de la nature.”,”””Quoe sunt in luce tuemur / E tenebris”” Lucrezio, Rerum natura, lib. VI (« Nous voyons ce qui est dans la lumière à partir des ténèbres »)”,”FILx-549″ “DIDEROT Denis”,”Potere politico e libertà di stampa.”,”Enciclopedia illuminismo potenza diritto rapprensentanti sovranità HELVETIUS RAYNAL GRIMM rivoluzione americana uomo autorità politica tirannia”,”TEOP-001-FGB” “DIDEROT Denis, a cura di Yves BENOT”,”La politica.”,”E’ una scelta di scritti di Denis Diderot, dalle Osservazioni sull’ Istruzione di Caterina II alla Confutazione di Helvetius, dalla Lettera dell’ abate Raynal all’ Apostrofe agli insorti d’ America, Benot ricostruisce l’ evoluzione, a volte tortuosa, del pensiero politico di Diderot nella Francia prerivoluzionari, le sue prese di posizione sui problemi di governo della Francia durante i ministeri Turgot e Necker, le sue critiche alle predilezioni dei ‘philosophes’ per il dispotismo illuminato.”,”TEOP-003-FGB” “DIDEROT Denis, a cura di Franco Maria RICCI”,”Il nipote di Rameau.”,”Esaltato da Goethe e da Hegel questo è un perfetto “”antiromanzo”” che esprime attraverso personaggi, le contraddizioni del moderno spirito borghese.”,”VARx-031-FRR” “DI-DOMENICO Giovanni, collaborazione con Piero INNOCENTI”,”Teoria e pratica della redazione. Guida alla compilazione dei testi e alla loro preparazione per la stampa.”,”Distinzione tra prefazione e introduzione: prefazione: dovrebbe dare una serie elementi informativi sul libro, impostazione del lavoro, fonti, disposizione dei capitoli, destinatari e finalità dell’opera ecc. introduzione: dovrebbe presentare una più ricca tessitura critia, proponendosi come riflessione propedeutica del testo (pag 21)”,”EDIx-033-FV” “DIEHL Charles”,”Figure bizantine.”,”Michel-Charles Diehl nacque a Strasburgo il 04/07/1859. Dopo aver brillantemente studiato presso i licei di Strasburgo, Nancy e il prestigioso Louis-le-Grand di Parigi, nel 1878 fu accolto nella École Normale Supérieure a Parigi. All’inizio s’interessò particolarmente di archeologia classica, risultato primo alla ‘agrégation’ di storia, ottenne prima un alunnato alla École française de Rome dal 1881 al 1883, poi alla École française d’Athènes dal 1883 al 1885. Al suo ritorno in patria, la facoltà di Lettere di Nancy lo chiamò a ricoprire (in qualità di maitre de conférences) la cattedra di archeologia e storia greca, che tenne dal 1885 al 1899. Al 1888 risale la pubblicazione della sua tesi dottorale (Études sur l’administration byzantine dans l’exarchat de Ravenne) grazie alla quale cominciò a farsi notare anche nell’ambito degli studi bizantini. Quando nel 1899 il ministero dell’Istruzione Pubblica decise di fondare una cattedra di Storia bizantina alla Sorbona, venne affidata a Charles Diehl, tenuta fino al 1934. Si spense il 01/11/1944.”,”STAx-049-FL” “DIEMOZ Erika”,”A morte il tiranno. Anarchia e violenza da Crispi a Mussolini.”,”Erika Diemoz (Aosta 1979) ha conseguito il dottorato in Storia contemporanea all’Università di Genova. E’ stata borsista presso la Fondazione Einaudi di Torino e ‘visiting scholar’ alla Columbia University di New York. Attentato a Crispi condotto da Paolo Lega (1894) (pag 81)”,”ANAx-406″ “DIEMOZ Roberto”,”Dal decollo industriale alla crisi dello sviluppo. Il caso della Zanussi.”,”Roberto Diemoz nato a Roisan (Aosta) nel 1925 si è laureato in Scienze politiche. Dal 1969 al 1982 ha lavorato alla Zanussi nel settore vendite e esportazioni. Lamberto Mazza succede a Lino Zanussi dopo la sua tragica scomparsa nel 1968 e accelera vertiginosamente la politica delle incorporazioni e delle participazioni La Zanussi alla fine degli anni ’60 aveva la leadership in Europa nel settore degli elettrodomestici”,”ECOG-095″ “DIEMOZ Roberto”,”Dal decollo industriale alla crisi dello sviluppo. Il caso della Zanussi.”,”Roberto Diemoz nato a Roisan (Aosta) nel 1925 si è laureato in Scienze politiche. Dal 1969 al 1982 ha lavorato alla Zanussi nel settore vendite e esportazioni. “”Alla fine degli anni Cinquanta il boom stava esplodendo in Italia. Il miraggio dell’abbondanza diventava realtà per larghe fasce della popolazione. Posto cento nel 1953, l’indice del reddito da lavoro aveva superato nel 1961 il 40 per cento, e l’indice della produzione industriale il 70 per cento. L’undici gennaio del 1960 il “”Financial Times”” decretava l’oscar della lira, migliore divisa dell’anno. Il mito dello sviluppo costante e irreversibile si stava trasformando frettolosamente in un dogma. Il sindacato si scuoteva dal suo torpore con un pesante complesso di colpa per non aver saputo arginare i profitti padronali. Il centrosinistra alle porte sembrava arrivare al momento giusto per distribuire il benessere a tutti gli italiani. L’incontro ideale tra potenti come papa Giovanni XXIII, J. Kennedy e N. Krusciov, era per molta gente il preludio di una pace millenaria. I fatti di Genova e la fine di Tambroni parevano segnare il tramonto definitivo di un tipo di democrazia ingiusta e autoritaria”” (pag 36)”,”ITAE-043-FV” “DIENA Leone”,”Gli uomini e le masse. Saggio di ricerca su atteggiamenti di vita e di lavoro in una grande città industriale.”,”Leone DIENA è stato direttore del Centro di studi sociali della Società Umanitaria. “”Negli anni tra il 1903 e il 1920 la Società Umanitaria condusse varie indagini e inchieste, ancor oggi giustamente ricordate (1) (…) (1) Ricordiamo tra le tante, le inchieste di Schiavi e Montemartini su: la questione delle case operaie in Milano nel 1904, i lavoratori delle risaie (1904), la disoccupazione nella Bassa emiliana del 1906; le condizioni generali della classe operaia in Milano del 1907 e il bilancio alimentare di 51 famiglie operaie milanesi del Pugliese del 1920″” (pag 9) “”Questi operai in genere non leggono molto; ma i giornali, i settimanali, “”Selezione”” sono in molti a leggerli. In fatto di libri leggono piuttosto raramente romanzi. Molto più diffuse sono invece le letture impegnate.”” (pag 89)”,”MITT-115″ “DIETZGEN Josef a cura di Lucio COLLETTI”,”L’ essenza del lavoro mentale umano.”,”DIETZGEN nacque nel 1828 a Blankenberg (Colonia). Frequentò la scuola elementare a Uckerath e più tardi per breve tempo la scuola media a Colonia. Dopo aver lavorato alcuni anni nella bottega di un conciatore del padre, emigrò a varie riprese in America del Nord, ed una volta in Russia a Pietroburgo. Durante questo soggiorno in Russia, scrisse ‘L’essenza del lavoro mentale umano’ che venne pubblicata per la prima volta ad Amburgo nel 1869 dall’editore Otto Meissner. Rientrato in GERM continuò il suo mestiere alternando sempre il lavoro con lo studio. In questo periodo (dal 1869 in avanti) oltre ad articoli scrisse anche un certo numero di opuscoli tra cui ‘La religione della socialdemocrazia’ ‘La società borghese’ ecc.. Nel 1881 fu candidato socialista alle elezioni per il parlamento. Nel 1884 tornato in America”,”FILx-095″ “DIETZGEN Joseph”,”La resolucion positiva de la filosofia.”,”DIETZGEN Joseph (Germania 1822- Chicago 1888), operaio autodidatta considerato dalla tradizione marxista come l’ operaio-filosofo. Di lui ha parlato anche ENGELS a proposito della scoperta della dialettica materalistica.”,”FILx-221″ “DIETZGEN Josef, a cura di Paolo SENSINI”,”L’essenza del lavoro mentale umano e altri scritti [‘L’acquisizione della filosofia’].”,”Josef Dietzgen è nato il 9 dicembre 1828 a Blankenberg (Colonia). Dopo aver lavorato per alcuni anni nella bottega di conciatore del padre, emigra a varie riprese negli Stati Uniti e poi in Russia. Durante il suo soggiorno a San Pietroburgo (1864-1868) scrive ‘Das Wesen der menschlichen Kopfarbeit’ (L’essenza del lavoro mentale umano), che viene pubblicato per la prima volta ad Amburgo nel 1869. Rientrato in Germania, continua il suo mestiere alternando sempre il lavoro con lo studio. In questo periodo, oltre a vari articoli, redige anche un certo numero di opuscoli. Tornato in America del Nord nel 1884, partecipa alle impetuose lotte operie collaborando con varie testate rivoluzionarie. In questi anni scrive le ‘Streitzüge eines Sozialisten in das Gebiet der Erkenntnistheorie’ (Incursioni di un socialista nel campo della teoria della conoscenza), pubblicata a Zurigo nel 1887 e ‘Das Akquisit der Philosophie’ (L’acquisizione della filosofia). Muore a Chicago il 15 aprile 1888. “”Entusiasmato dalla lettura del primo volume del ‘Capitale’ apparso nel 1867, [Josef Dietzgen] si decise a scrivere il 24 ottobre 1867 a Marx, che non conosceva personalmente, per informarlo delle sue “”aspirazioni scientifiche”” e sottoporgli le proprie opinioni filosofiche. In questa densa lettera, Dietzgen, ricordata l’attenzione con cui aveva studiato ‘Per la critica dell’economia politica’ (12) e l’impazienza con cui aveva atteso il seguito, comunicava a Marx tutta la sua profonda ammirazione per la nuova opera, che esprimeva “”per la prima volta in forma scientifica, chiara e irresistibile, ciò che d’ora innanzi sarà la tendenza ‘cosciente’ dello sviluppo storico, quella cioè di subordinare alla coscienza umana la forza naturale, finora cieca, del processo sociale di produzione”” (13). Alla lettera, che conteneva anche un breve schizzo della propria filosofia, su cui Dietzgen chiedeva il parere di Marx, seguì l’invio del manoscritto dell”Essenza del lavoro mentale umano’; e l’opera, letta poi anche da Engels, costituirà argomento di uno scambio di impressioni e giudizi assai favorevoli tra i due fondatori del materialismo storico (14). Prova ne è il tono della risposta che Marx fece pervenire a Dietzgen poco più tardi: “”Quando mi sarò scrollato di dosso il peso dell’economia, scriverò una ‘dialettica’. Le vere leggi della dialettica sono già contenute in Hegel, sebbene in forma mistica. Bisogna eliminare questa forma…”” (15). Tornato in Germania nel 1869, a Siegburg, dove ricevette anche una visita di Marx nel settembre 1869 e in cui fondò poco dopo una sezione dell’Internazionale (16), Dietzgen vi rimase fino al 1884, scrivendo su questioni varie di economia e di filosofia per il “”Demokratischen Wochenblatt””, precursore del “”Volksstaat””, per il “”Vorwärts””, la “”Neue Gesellschaft””, il “”Sozialdemokrat””, la “”Neue Zeit”” e la “”New Yorker Volkszeitung””. Alcuni suoi saggi dedicati al primo libro del ‘Capitale’ e apparsi sul “”Demokratischen Wochenblatt”” (17), furono ricordati molto elogiativamente da Marx nel poscritto alla seconda edizione della sua opera principale”” (18). (…) Nel giugno del 1884, poiché sotto la spinta dell’industrializzazione della Germania e del regime di forte concorrenza la sua piccola impresa d’artigiano era andata a rotoli, Dietzgen fu costretto a emigrare per la terza volta in America risiedendo prima a New York dove diresse per qualche tempo il giornale “”Der Sozialist””, e poi, dall’inizio del 1886, presso il figlio Eugen a Chicago. Qui, secondo la colorita descrizione di Friedrich Adolph Sorge, che ebbe modo di conoscerlo e frequentarlo in quegli anni, “”questo vecchio signore dalla statura erculea e dall’aspetto simile a quello che si ritrova nelle statue degli antichi greci”” (19) prese parte alle lotte del partito socialista americano collaborando e in qualche occasione dirigendone anche il giornale; e qui scrisse nel 1886 anche le sue celebri ‘Streifzüge eines Sozialisten in das Gebiet der Erkenntnistheorie’ (Incursioni di un socialista nel campo della teoria della conoscenza) (20), nonché ‘Das Akquisit der Philosophie’ (L’acquisizione della filosofia, 1887), che costituisce probabilmente la sua opera migliore e che presentiamo ora per la prima volta al pubblico italiano, opera che verrà poi pubblicata postuma insieme ad alcune delle ‘Briefe über Logik’ (Lettere sulla logica), composte tra il 1880 e il 1883 (21)”” (pag 13-14) [Paolo Sensini, Introduzione][(in) Josef Dietzgen, L’essenza del lavoro mentale umano e altri scritti [‘L’acquisizione della filosofia’], Udine Milano, 2009] [(12) K. Marx, ‘Zur kritik der politischen Oekonomie’, Duncker, Berlin, 1859 (ora in MEW, vol. XIII, pp. 3-160; trad. it. MEO, vol. XXX, pp. 295-452 e 453-560), Marx scrisse questo testo dall’agosto 1858 al gennaio 1859. Il 29 gennaio 1859 lo mandò all’editore berlinese Franz Duncker per la pubblicazione. L’opera uscì nel giugno di quell’anno; (13) MEW, vol. XXXI, p. 634 (trad. it. MEO, vol. XLII, pp. 715-717); (14) Cfr. MEW, vol. XXXII, pp. 174, 195, 197-198 (trad. it. MEO, vol XLIII, pp. 188, 210-211, 213; (15) Lettera di Marx a Josef Dietzgen (a San Pietroburgo) del 9 maggio 1868, in MEW, vol. XXXII, p. 547 (trad. it. MEO, vol. XLIII, p. 592). Il 20 maggio 1868 Josef Dietzgen confermava, nella sua risposta a Marx, l’arrivo di una lettera di Marx datata 9 maggio 1868; in un’altra lettera del 22 maggio 1868, Dietzgen scriveva a Marx: “”La ‘dialettica’… che Lei, a sentire le Sue cortesi notizie ha intenzione di scrivere prossimamente…””; (16) Al Congresso dell’Internazionale tenutosi all’Aja dal 2 al 7 settembre 1872, a cui Dietzgen partecipava come delegato della sezione di Dresda, Marx lo presentò all’assemblea dei rappresentanti operai così: “”Ecco il nostro filosofo…””. (…); (17) Cfr. J. Dietzgen, ‘””Das Kapital””. Kritik der politischen Oekonomie von Karl Marx’, in “”Demokratischen Wochenblatt””, n. 31, 25 luglio 1868; n. 34, 22 agosto 1868; n. 35, 29 agosto 1868; n. 36, 5 settembre 1868; (18) Cfr. K. Marx, ‘Das Kapital. Kritik der politischen Oekonomie’, Zweite verbesserte Auflage, Otto Meissner, Hamburg 1872, pp. 817-818 (…) trad. it. Il Capitale, I, Editori Riuniti, Roma, 1967, p. 41. L’apprezzamento di Marx nei confronti dell’opera dietzgeniana era stato tale che, non riuscendo più a trovare fra gli appunti il suo indirizzo postale, aveva tentato a più riprese di riottenerlo: “”Ha forse ricevuto da lui [da Diezgen] l’indirizzo? – scriveva il 5 dicembre 1868 a Ludwig Kugelmann -. La mia coscienza (…) mi tormenta per aver lasciato Dietzgen tanto tempo senza risposta”” (MEW, vol XXXII, p. 579; trad. it. MEO, vol XLIII, p. 629; (19) Friedrich Adolph Sorge, ‘Le mouvement ouvrier aux Etats-Unis de 1886 à 1892’, in ‘Les temps nouveaux’, n. 2, novembre 1895, p. 335; (20 (J. Dietzgen, ‘Streifzüge eines Sozialisten in das Gebiet der Erkenntnistheorie’, Volksbuchhandlung, Hottingen-Zürich 1887; (21) J. Dietzgen, ‘Das Akquist der Philosophie und Briefe über Logik, speziell demokratisch-proletarische Logik’, Dietz, Stuttgart, 1895]”,”SOCx-256″ “DIETZGEN Josef, LEONETTI FIORANI Eleonora”,”La teoria di classe della conoscenza. Scritti di Joseph Dietzgen. Con un saggio su Dietzgen e Lenin di Eleonora Leonetti Fiorani.”,”A pag 235 riproduzione di una pagina dell’edizione tedesca di Dietzgen studiata da Lenin con sottolineature, barre a margine, indicazione ‘NB’ e altri segni a mano di Lenin Dietzgen negli Stati Uniti. “”Nel 1886 Dietzgen raggiunse il figlio Eugen a Chicago e prese parte agli storici avvenimenti dell’86. Lo stato di tensione a Chicago era assai forte e determinato dalle lotte operaie per le otto ore e per il diritto di organizzazione negli stabilimenti della McCormick Heverest. La violenza della polizia contro le manifestazioni operaie fu oggetto di un comizio del capo anarchico A. Spies all’Haymarket. La polizia chiamata dal sindaco caricò la manifestazione di protesta nonostante il suo carattere pacifico; durante gli scontri esplose una bomba. La repressione fu violenta: arresti di massa degli anarchici, assassinio legale di quattro dirigenti, Albert Parsons, George Engel, August Spies, Adolph Fischer, lunghe pene detentive per molti altri. La condanna a morte dei dirigenti anarchici, fatta in base alle loro idee, era un caso troppo chiaro di omicidio, perpetrato con la connivenza della legge, per non suscitare in America come in Europa l’indignazione dei socialisti. Dietzgen prese il posto degli anarchici che erano stati arrestati: si presentò infatti alla redazione del “”Giornale dei lavoratori”” di Chicago, diretto appunto da Spies, e ne divenne il redattore capo. Ritenne dunque giusto mettere da parte le differenze ideologiche e prendere il posto dei perseguitati, nonstante che questa non fosse la posizione assunta dai socialisti. Ne seguì una perquisizione della casa da parte della polizia. Seguirono anche aspre polemiche e Dietzgen tentò di mediare il contrasto tra socialisti e enarchici, insistendo su ciò che li accomunava. I contrasti che si erano già a tratti rivelati in Germania nella valutazione stessa del lavoro di Dietzgen, divennero più pesanti in occasione degli episodi di Chicago: il suo articolo sull’affare della bomba fu rifiutato in quanto contrastante con la posizione del Comitato esecutivo nazionale. La questione è complessa; se indubbiamente le osservazioni di Dietzgen sull’anarchismo lasciano perplessi, è indubbio che si trattò di un fenomeno in cui erano attivi gruppi di anarchismo tendenzialmente marxista, assai diversi da quelli individualistici; inoltre era importante la particolare situazione di Chicago e la scelta di posizione politica nell’occasione di quella lotta”” (pag 146-147) (Eleonora Leonetti Fiorani, Saggio su Dietzgen e Lenin) [(in) Josef Dietzgen, La teoria di classe della conoscenza. Scritti di Joseph Dietzgen. Con un saggio su Dietzgen e Lenin di Eleonora Leonetti Fiorani, Milano, 1975] (non ancora inserito in Isc) La tendenza del dietzgenismo (dopo la morte del padre) per opera del figlio Eugen Dietzgen (lacuna nel marxismo per mancanza teoria conoscenza) “”Dopo la morte di Dietzgen si sviluppò nella II Internazionale, col progredire del revisionismo, una tendenza particolare, il cosiddetto dietzgenismo. Questa corrente internazionale della socialdemocrazia, presente soprattutto negli Stati Uniti, in Germania e in Russia, giustificava il suo abbandono del programma rivoluzionario con una lacuna del marxismo, la mancanza di una teoria della conoscenza. Ad avvalorare tale posizione aveva contribuito particolarmente Eugen, il figlio di Dietzgen. P. Dauge, nel poscritto alla seconda edizione russa dell’opera di Dietzgen, ‘Akquisit der Philosophie’ (Ciò che la filosofia ha acquisito), parla di specifica posizione ed elaborazione di Dietzgen rispetto al materialismo dialettico. Ciò serviva a Dauge, come già alla critica borghese, per sostenere l’affinità di Dietzgen con l’empiriocriticismo e con l’immanentismo, in particolare Leclair. Contro Il dietzgenismo presero posizione Mehring, Plechanov e Lenin ponendo nuovamente Dietzgen all’interno del materialismo dialettico. Eugen Dietzgen aveva tradotto in tedesco gli articoli di Plechanov e Dauge in appendice a ‘Erkenntnis und Wahrheit’ (Conoscenza e verità), Stoccarda 1908. Franz Mehring, recensendo questi articoli per la “”Neue Zeit”” (1908, 19 giugno, appendice) aveva sostenuto l’interpretazione materialistica data da Plechanov. Ciò provocò un nuovo intervento di Eugen Dietzgen (‘Nochmals Dietzgen’ [Ancora Dietzgen], “”Neue Zeit””, n. 44, 1908) che intendeva proporre e sostenere addirittura la posizione del padre come possibile mediazione unitaria tra ortodossi e revisionisti: con una scelta di mezzo che proprio Dietzgen, alieno da ogni compromesso, aveva gratificato di tutto il suo disprezzo definendo il partito di mezzo “”il più abominevole””. La questione si presentava complessa in quanto interna al processo teorico-politico del revisionismo, dalla Bernstein-Debatte (dibattito sul marxismo aperto da Bernstein) all’austro-marxismo e alla teorizzazione di una vera e propria “”crisi del marxismo””. Il “”ritorno a Kant”” è una matrice costante di tale revisione che è innanzitutto politica e ha i suoi argomenti nella valutazione dei problemi economici e nelle scelte politiche dal parlamentarismo all’anarco-sindacalismo”” [Eleonora Leonetti Fiorani, ‘Saggio su Dietzgen e Lenin’] [(in) Josef Dietzgen, La teoria di classe della conoscenza. Scritti di Joseph Dietzgen. Con un saggio su Dietzgen e Lenin di Eleonora Leonetti Fiorani, Milano, 1975] (pag 165-166)”,”SOCx-257″ “DIEZ DEL CORRAL Francisco”,”Lenin, una biografia.”,”L’A ha scritto vari libri tra cui ‘Liberacion o Barbarie’ (1977), ‘La revolucion rusa’ (1988). Ha scritto articoli su Lenin e il maggio 1968 su ‘Historia 16′. “”Dopo il risultato negativo di Capri, la rottura, filosofica e politica, con il gruppo Bogdanov e Lunacharski è inevitabile. (Lenin, ndr) mostra di saperlo, in una lettera del 1° luglio, al bolscevico Voronski, uno dei suoi più stretti, collaboratore del Vperiod, che in quell’ epoca è tornato in Russia per svolgere il lavoro rivoluzionario clandestino: “”La causa reale”” della più che probabile scissione politica, dice Lenin, è che “”Bogdanov si sente offeso per le critiche ricevute riguardo il suo punto di vista filosofico””. (pag 217)”,”LENS-137″ “DIEZ-DEL-CORRAL Luis”,”Tocqueville. Formazione intellettuale e ambiente storico.”,”L’A, setacciando il carteggio, le opere, le testimonianze degli amici, ha dedicato alla figura di TOCQUEVILLE (1805-1859), grande esponente della tradizione liberale francese, un saggio che descriva il quadro della complessa formazione affettiva e intellettuale. DIEZ-DEL-CORRAL è uno dei più autorevoli storic del pensiero politico spagnoli. Tra le sue opere: -El liberalismo doctrinario -Tocqueville et la pensée politique des doctrinaires -El pensamiento politico europeo y la monarquia de Espana. In italiano: -Il ratto d’Europa. GIUFFRE’. 1966″,”TEOP-043″ “DI-FEBO Giuliana JULIÁ Santos”,”Il franchismo.”,”Giuliana Di-Febo è professore ordinario di Storia della cultura ispanica all’Università degli studi Roma Tre. Tra le sue pubblicazioni: Ritos de guerra y de victoria en la España franquista. Santos Juliá è professore ordinario di Storia sociale e del pensiero politico all’Universidad Nacional de Educación a Distancia di Madrid. Tra le sue pubblicazioni: Un Siglo de España Política y sociedad.”,”SPAx-007-FL” “DI-FEBO Giuliana”,”Ritos de Guerra y de Victoria en la España franquista.”,”Giuliana De Febo insegna Storia della cultura ispanica nell’Università di Roma Tre.”,”SPAx-006-FSD” “DI-FEBO Giuliana”,”Ritos de Guerra y de Victoria en la España franquista.”,”Giuliana De Febo insegna Storia della cultura ispanica nell’Università di Roma Tre.”,”SPAx-010-FSD” “DI-FIORE Laura”,”L’Islam e l’impero. Il Medio Oriente di Toynbee all’indomani della Grande guerra.”,”Laura Di Fiore è borsista della Fritz Thyssen Stiftung presso il Deutsches Historisches Institut in Roma (Istituto Storico Germanico di Roma)”,”VIOx-200″ “DI-FIORE Laura”,”L’Islam e l’impero. Il Medio Oriente di Toynbee all’indomani della Grande guerra.”,”Laura Di Fiore è borsista della Fritz Thyssen Stiftu ng presso il Deutsches Historisches Institut in Rom. Ha pubblicato varie opere tra cui ‘Movimenti e confini. Spazi mobili nell’Italia preunitaria’ (2013) con M. Meriggi.”,”VIOx-001-FC” “DI-FIORE Gigi”,”Controstoria della Liberazione. Le stragi e i crimini dimenticati degli Alleati nell’Italia del Sud.”,”Gigi Di Fiore, già redattore al ‘Giornale’ di Montanelli è inviato del ‘Mattino’ di Napoli. E’ autore pure di ‘Controstoria dell’Unità d’Italia’ e ‘Gli ultimi giorni di Gaeta’. Gli Alleati e gli affari della Mafia. “”Il 29 ottobre 1943, per riuscire a comprendere meglio la realtà dell’ordine pubblico e della sicurezza sull’isola, il capitano William Edward Scotten della Military Intelligence statunitense fu incaricato dal brigadiere generale Julius Cecil Holmes dell’ufficio Public Safety dell’Amgot di scrivere un rapporto su un tema significativo e complesso: «Problems of mafia in Sicily» (57). L’incarico sembrava espressione di non poca ipocrisia, ma l’ufficiale statunitense lo assolse con molto scrupolo e una buona dose di realismo. Con cinismo; riferì senza alcuno stupore che gran parte dei siciliani era certa sin da principio che le cariche amministrative sarebbero state affidate a personaggi affiliati alla mafia. Per sostenere la sua analisi, Scotten inserì nel suo scritto anche un lungo elenco di nomi di mafiosi ed esponenti del Mis con cariche politiche. Oltre a Don Calò, vi comparivano Angelo Cammarata, sindaco di Caltanissetta e Lucio Tasca, sindaco di Palermo (58). Scriveva Scotten: «Il terrore della mafia sta rapidamente tornando e, secondo i miei informatori, la mafia si sta ora dotando di armi ed equipaggiamenti moderni, il problema si moltiplicherà creando difficoltà alla Polizia». E ancora, a proposito dell’aspertto più delicato che stava molto a cuore all’ufficiale, quello dei rapporti tra mafiosi e governo alleato: «Molti siciliani si lamentano del fatto, ed è la cosa più inquietante, che molti nostri interpreti di origine sicialina provengano direttamente da ambienti mafiosi statunitensi. La popolazione afferma che i nostri funzionari sono ingannati da interpreti e consiglieri corrotti, al punto che vi è il pericolo che essi diventino un strumento inconsapevole in mano alla mafia» (59), Non c’era alcun dubbio in queste frasi: dopo lo sbarco, in Sicilia Cosa Nostra aveva trovato ossigeno e le condizioni ideali per rientrare in scena da protagonista. Arrivando ai suggerimenti per fronteggiare lo strapotere mafioso, il capitano Scotten non riuscì ad andare oltre vaghe e generiche ipotesi, descrivendo tre possibili soluzioni: azione diretta e violenta; tregua negoziata con i capimafia; rinuncia ad ogni tentativo di controllare la mafia, lasciandole spazi e margini di manovra. Alla fine, gli Alleati seguirono la terza via alla Ponzio Pilato, con l’alibi di essere solo di passaggio. Di fatto, in quel modo fu lasciata mano libera ai capibastone e ai loro interessi. L’ottanta per cento dei Comuni siciliani della provincia di Palermo finì sotto il controllo di mafiosi e separatisti (60). Il governo angloamericano lasciò al boss Vincenzo De Carlo la gestione degli ammassi di grano in gran parte della Sicilia. Occhi chiusi pure nei confronti del padrino Giuseppe Navarra, già medico e poi capomafia, destinato a diventare il primo referente del futuro boss Luciano Liggio, controllore assoluto di una società di trasporti e di una buona fetta del mercato nero sull’isola (61). I mafiosi si allargavano, con la benedizione silente degli angloamericani. Sullo sfondo, i rapporti strumentali della mafia con il movimento separatista cominciavano a farsi inquietanti”” (pag 42-43) [(57) Il rapporto è di appena sei pagine (…); (58) R. Roggero, ‘Oneri e onori: le verità militari e politiche della guerra di liberazione in Italia’ Greco & Greco editori, Milano, 2006, pp. 28-29; (59) Attilio Bolzoni, ‘Mafia e Stato la prima volta’, La Repubblica 14.3.2010; (60) G.C. Marino, ‘Storia della mafia, op. cit., p: 151; (61) S. Romano, op. cit, p. 303]”,”QMIS-335″ “DI-FORTI Filippo”,”Per una psicoanalisi della mafia. Radici, fantasmi, territorio e politica.”,”Secondo Erich Fromm “”la storia dell’uomo è cominciata con un atto di disobbedienza, ed è tutt’altro che improbabile che si concluda con un atto di obbedienza”” (pag 25) ‘Il mafioso è ribelle e non rivoluzionario; anzi rientra perfettamente nella società dei consumi’ (pag 25) Filippo De Forti opera a Palermo come psicologo e psicoanalista. Ha pubblicato varie opere tra cui ‘Aggressività e colpevolezza’ (Silva, 1969).”,”ITAS-243″ “DIGGINS John Patrick”,”The Rise and Fall of the American Left.”,”DIGGINS è pure autore di ‘The Proud Decades’ e di ‘The Lost Soul of American Politics’. E’ Distinguished Professor of History al Graduate Center della City University of New York.”,”MUSx-063″ “DIGGINS John P.”,”L’ America Mussolini e il fascismo.”,”DIGGINS John P. è nato a San Francisco, in California, ha compiuto i suoi studi nella Università di Berkeley e insegna all’ Università di Irvine, California. Specialista di storia degli intellettuali americani ha pubblicato articoli sull’ argomento su varie riviste. “”In previsione dell’ imminenza di un colpo di Stato comunista e della fine del governo parlamentare in Italia, Gompers salutava il fascismo come un movimento “”capace di azioni decisive su scala nazionale”” e come un sistema che stava “”rapidamente ricostruendo una nazione di nuclei che collaboravano al bene pubblico”” (pag 219)”,”ITAF-130″ “DI-GIOVANNI Piero”,”Mezzo secolo di umanesimo marxista.”,”Adam Schaff in ‘Il marxismo e la persona umana’ sostiene l’unitarietà del pensiero di Marx dice: “”Marx continua ad essere un filosofo ed un sociologo, l’analisi dei problemi rimane, per lui, l’obiettivo principale. Ed è proprio questa la circostanza che rende comprensibile il prevalere degli argomenti economici nell’opera sua. Avulsa da questo contesto, la teoria economica di Marx perde il suo peculiare significato e si svilisce; separata dal complesso organico del pensiero organico, è priva di mordente’ (‘Marxismo e persona umana’, p. 34) (pag 349) Giancarlo Bergami: ‘L’indulgenza di K. Marx per H. Heine’ “”Venuto alla luce all’incontro di due secoli («intorno alla mia culla scherzarono gli ultimi raggi lunari del secolo XVIII e i primi raggi mattutini del XIX»), partecipa delle correnti e tendenze opposte della Rivoluzione francese e della Restaurazione, al limite fra le concezioni di un liberalismo maturo e i germi della nascente democrazia proletaria, le tentazioni estetiche classicheggianti e il paternalismo corruttore della Santa Alleanza. Il quadro è complicato dalle angustie dell’educazione familiare nel giudaismo, da cui si libera nel 1825 con la conversione alla religione protestante, e dalle difficoltà pratiche che ne intralciano la carriera di scrittore e l’esistenza. Gli elementi richiamati non daranno vita a una sintesi chiarificatrice, con cui intendere la portata del superamento della dialettica idealistica realizzato nella critica di Marx della filosofia del diritto di Hegel. Erede delle conquiste illuministiche dei Lessing, Voss, Schiller e Goethe, egli resta invischiato nelle aporie e nei vizi di soggettivismo e antropologismo dello spirito tedesco alla fine della sua epoca borghese. L’analisi materialistica della religione, quale è condotta nelle riflessioni della ‘Germania’, è difatti un’idealizzazione della totalità del mondo di tipo spinoziano, una forma rinnovata di religione. In buona fede può allora sostenere: «Io non appartengo a quei materialisti che danno un corpo allo spirito; restituisco, piuttosto, lo spirito ai corpi, li spiritualizzo di nuovo, li santifico. E non appartengo neppure agli atei, che negano; io, al contrario affermo» (5). Di qui il rifiuto del romanticismo moderato e oscurantista con il ritorno al misticismo e al culto del Medioevo; e insieme prende di mira Federico Guglielmo IV, che vagheggia il Sacro Romano Impero e l’assolutismo feudale. Si spiega anche l’indulgenza per Heine di Marx, che ne conosceva con quelli di Goethe i versi a memoria e li citava volentieri, tradottasi nella collaborazione agli «Annali franco-tedeschi» del 1844 con il ‘Lobgesänge auf König Ludwig’, e in reciproche attestazioni di stima, a cui la poesia e la consuetudine familiare contribuiscono in misura notevole (6). (…) Tra nostalgie impossibili e significativi salti all’indietro si conclude la parabola di questo «avanzatissimo franco tiratore della rivoluzione borghese» (Hermann Wendel), che non nasconde una ripugnanza istintiva per la sovranità della «grande massa brutale», e teme che il ‘Libro dei canti’ cada nell’oblio e sia usato dal droghiere «per fare cartocci dove verserà il caffè o il tabacco da fiuto per le vecchie dell’avvenire». Poco interessato alla condizione dello sfruttamento e di schiavitù economica in cui è ormai tenuta quasi tutta l’umanità, condanna la «sciocca vertigine egualitaria» di una società in cui «ciascuno, insofferente della propria mediocrità, cerca di abbassare al livello comune tutte le doti più alte», lamentando che l’imposizione della «veste grigio-cenere dell’uguaglianza» elimini dalla vita «la tradizionale allegria, ogni dolcezza, ogni profumo e poesia», giacché «per la bellezza e il genio non ci sarà posto nella comunità dei nostri nuovi puritani, entrambi saranno scherniti e oppressi, peggio ancora che sotto il precedente regime» (9). Più affine a Saint-Just e Saint-Simon che a Marx, egli non esce fuori dell’orizzonte politico della piccola borghesia radicale, incapace alla fine di intervenire in modo costruttivo nel corso degli eventi del tempo o di risolvere in una scelta equilibrata remore ed apprensioni suscitate dalla vittoria futura del comunismo «avverso a ogni ‘mio’ interesse e inclinazione». Si comprende così la rinuncia alle ragioni della battaglia parigina, l’aspirazione all’annientamento di ‘Lazarus’ e delle ‘Hebräische Melodien'”” [Giancarlo Bergami, ‘La parabola politica di Heinrich Heine’, estratto da ‘Il Ponte’, n. 9 30 settembre 1973] [(5) Cfr. l”Avvertenza’ a ‘La scuola romantica’, in ‘La Germania’, cit., pp. 4-5; (6) Sul rapporto fra i due, oltre le considerazioni di L. Basso (cfr. ‘Heine e Marx’, “”Belfagor””, XI, n. 2, 31 marzo 1956, pp. 121-136), si veda la valutazione di P. Chiarini, che nell’Introduzione all’op. cit. sottolinea «l’estrema importanza per l’ulteriore sviluppo della produzione heiniana» dell’incontro con Marx, nel 1843-1844, ma «non nel senso univoco che esso la influenzasse decisamente orientandola nei sicuri binari di una posizione ideologica e politica ‘socialista’, ma da un lato per quel tanto che esso contribuì a collocare in una luce più cruda e più netta tutte le interne contraddizioni dell’autore (…), e dall’altro nella misura in cui valse a conferire più piena e tagliente consapevolezza alla sua critica della ‘ideologia tedesca’”” (pp. XVI-XVIII); (9) H. Heine, ‘Ludwig Börne’, la citazione è in ‘La Germania’, p. XXXV] (pag 1289-1291)”,”TEOC-687″ “DI-GIOVANNI George HARRIS H.S. a cura, saggi di K.L. REINHOLD G.E. SCHULZE J.G. FICHTE S. MAIMON J.S. BECK G.W.F. HEGEL F.W.J. SCHELLING”,”Between Kant and Hegel. Text in the Development of Post-Kantian Idealism.”,”George Di Giovanni is Professor of Philosophy, McGill University. H.S. Harris is Professor of Philosophy Emeritus, Glendon College, York University.”,”FILx-104-FL” “DI-GIOVANNI Alberto GUCCIONE Eugenio, a cura; saggi di D’ADDIO Mario DI-GIOVANNI A. GUCCIONE E. MORRA Gianfranco PALAZZO Antonio”,”Politica e sociologia in Luigi Sturzo.”,”Luigi Sturzo (1871-1959)”,”TEOS-025-FMB” “DI-GREGORIO Pinella”,”Oro nero d’ Oriente. Arabi, petrolio e imperi tra le due guerre mondiali.”,”DI-GREGORIO Pinella insegna storia contemporanea presso l’ Università di Catania. E’ autrice del volume ‘La Società generale elettrica della Sicilia’, (Palermo 1994). Si è occupata di economia siciliana, di storia delle risorse energetiche, di elites e di circolazione di modelli di rappresentanza fra Italia ed Europa. Fa parte del comitato di redazione della rivista ‘Meridiana’. “”Se mai ce ne fosse stato bisogno, a sottolineare il crescente interesse americano per l’Arabia Saudita, sulla via di ritorno dalla Conferenza di Yalta, il 14 febbraio 1945, Roosevelt si incontrò con il re saudita Ibn Saud, a Great Bitter Lake nel Canale di Suez. Sarebbe stato certamente fuori luogo che il presidente degli Stati Uniti deviasse il suo viaggio (…). Durante le cinque ore di colloquio il principale tema in discussione, secondo il rapporto dell’unico testimone, il console William Eddy, fu la fondazione di uno stato ebraico in Palestina. Non si sa se i due abbiano discusso di aiuti finanziari o di petrolio, ma il re saudita fece del suo meglio per informare il presidente sulla situazione finanziaria del suo paese. Riferendosi ai britannici che avevano sempre sostenuto che l’interesse americano per l’Arabia Saudita era transitorio, basato su una “”joint partnership”” di guerra, Saud chiese di conoscere quale fosse l’intenzione del governo degli Stati Uniti. (…) L’incontro fu di grande importanza per il sovrano saudita (…) nella visione regionale del regno saudita significava autonomia politica e tutela contro gli odiati regni hascemiti, Transgiordania e Iraq, creati dalla Gran Bretagna, che ne lambivano i confini, minacciandone l’indipendenza. Gli Stati Uniti avrebbero potuto rappresentare una seria alleanza alternativa””. (pag 213-214)”,”VIOx-156″ “DI-LAURO Raffaele”,”Corso di Storia e Politica Coloniale.”,” “”Quando il fascismo raggiunse il potere trovava la seguente situazione coloniale: 1. In Libia – per effetto della grande guerra – eravamo alla costa e ci trovavamo in grandi difficoltà 2. Nella Somalia del Nord l’esistenza dei Sultanati non solo rendeva alquanto difficile una compiuta opera di governo delle popolazioni indigene, ma impediva che si creasse una unità morale fra le popolazioni di tutta la Somalia Italiana 3. Le rivendicazioni coloniali italiane erano state dimenticate od osteggiate dai nostri alleati di guerra. Per quanto riguarda la Libia il Governo dell’Italia fascista si preoccupò di distruggere il ribellismo e di occuparla totalmente, fino agli estremi confini e di iniziare l’avvaloramento economico – nei limiti del possibile – della vasta Colonia mediterranea. Per quanto riguarda l’azione politico-militare del Fascismo in Libia, nulla di meglio mi sembra si possa fare che riprodurre quanto ha, in maniera magistrale, scritto il Gabelli per la ‘Revue Economique Internationale’ del maggio 1937. (…) E così il Gabelli enumera tutti i fatti più importanti della ininterrotta guerriglia che noi fummo costretti a sostenere in Libia dal 1923 al 1933 per imporre la nostra sovranità assoluta di fronte alle pretese della Senussia. Le operazioni del 29° parallelo, prima, le operazioni per la conquista del Fezzan, quelle per l’occupazione dell’oasi di Cufra, la cattura di Omar -El-Muctar conclusero la guerra di riconquista, e ci assicurarono il pacifico possesso di tutta la grande Colonia Mediterranea che è chiamata Quarta Sponda d’Italia e che oggi consideriamo come il bastione dell’Impero per la preziosità della sua posizione geografica che si rivelò chiaramente tra l’autunno del 1935 e l’estate dell’anno successivo”” (pag 246-247)”,”ITAF-395″ “DI-LAURO Raffaele”,”Come abbiamo difeso l’impero.”,”Il crollo di Giuba. La sostituzione di Pesenti. “”Ma quando Pesenti fu sostituito e rimpatriato via aerea, con tutta sollecitudine, si affermò autorevolmente negli ambienti responsabili del Governo Generale e del Comando Superiore che il provvedimento era dovuto alla manifesta incapacità del Pesenti, culminata nella perdita di El Uak e nella ignoranza del grave avvenimento da parte del Comando del Settore, per cui Addis Abeba conosceva dell’attacco e dal successo britannico del 18 dicembre solo attraverso Radio Nairobi. Infine la mancata ricognizione, il deficiente servizio informativo sul nemico, tutto redeva palese che il Pesenti non era affatot idoneo ad un cosè grosso e grave comando e la sua defenestrazione da parte del Vice-Re fu appresa con vera gioia da tutti i buoni combattendi dell’AOI (Africa Orientale Italiana, ndr). Ma v’à di più. Lo schiaramento stesso delle nostre truppe ed artiglierie nel Giabaland, preparato dal Pesenti, si ispirava ad un criterio di assoluta puerilità ed alla più sconcertante ignoranza delle principali norme della guerra moderna. Infine la creazione di reparti misti di somali è di ‘liberti’, cioè di indigeni non liberi ed appartenenti a caste dispregevoli e non guerriere e la imposizione ai somali dei più fieri ‘rer’ di un impossibile cameratismo con gli schiavi arruolati, costituirono elementi di estrema debolezza che influirono potentemente sulla campagna. Il Comandante del Settore Giuba fu impari al suo compito, per manifesta incapacità tecnica, per professionale inettitudine. Quando le Autorità britanniche del Northern Frontier procedettero all’arruolamento dei Turkana e di altri indigini di tribù bellicose, insofferenti e anche fuori legge, nella vasta zona fra Lago Stefania e Lago Rodolfo, si attennero ad una saggia esperienza nel reclutamento di indigeni africani (parlo di gente di colore naturalmente) per cui inquadrare militarmente dei negri in soggezione di schiavitù od anche soltanto dei liberi costituisce un grave errore. Errore gravissimo se poi si pretende di unire in uno stesso reparto liberi e schiavi; errore inconcepibile poi in tempo di guerra difficile”” (pag 217-218) “”L’audacia della strategia di Cunningham fu veramente sorprendente; egli avventurò verso oriente circa ventimila uomini, quattromila tra camionette e carri armati, duecento cannoni autotrasportati e cinquanta autocarri officina, sapendo che alle sue spalle avrebbero potuto apparire, provenienti dal nord ventimila uomini per tagliare le comunicazioni fra il Kenya e le truppe operanti! Se Gazzera avesse osato, quale diversa piega avrebbero potuto prendere gli avvenimenti. Le diecine di migliaia di somali dei nostri battaglioni, che non ressero all’urto dei carri armati, alle bombe degli aeroplani ed alle granate dei cannoni britannici e che perciò fuggirono verso i loro villaggi, si sarebbero ripresi, riordinati e la sorte dei rubicondi soldati del Generale Cunningham avrebbe potuto cambiarsi. Ma una campagna di guerra non può ricostruirsi sulla base di eventi che non si sono avverati, di audacie che non sono apparse e di fatti che non si sono verificati. Resta il fatto che con la presa di Afmadù, il Comando Britannico, scopriva tutte le sue carte offensive. Invero, se non avessimo avuto l’intenzione di forzare il Giuba e di invadere la Somalia, la presa di Afmadù non sarebbe spiegabile”” (pag 224)”,”ITQM-017-FV” “DI-LEMBO Luigi”,”Guerra di classe e lotta umana. L’ anarchismo in Italia dal Biennio Rosso alla guerra di Spagna (1919-1939).”,”Luigi DI-LEMBO è ricercatore presso la Facoltà di Scienze Politiche dell’ Università di Firenze, autore di vari saggi sul movimento libertario e sul movimento operaio. E’ redattore della ‘Rivista Storica dell’ Anarchismo’.”,”ANAx-159″ “DI-LEMBO Luigi”,”Guerra di classe e lotta umana. L’ anarchismo in Italia dal Biennio Rosso alla guerra di Spagna (1919-1939).”,”DI-LEMBO Luigi è ricercatore presso la Facoltà di Scienze politiche dell’ Università di Firenze, autore di numerosi saggi sul movimento libertario e sul movimento operaio. E’ redattore della “”Rivista storica dell’ anarchismo””. “”Si tratta di gente ben allenata a combattere, anzi quelli addestrati in maniera migliore, in gra parte composta dagli ufficali subalterni che avevano guidato i combattenti sul campo. Costoro avevano capito subito che Mussolini e i suoi non stavano colpendo alla cieca ma stavano facendo una guerra vera. Occorreva quindi fare poche chiacchiere e organizzarsi per quella guerra. In questo clima, il 27 giugno 1921, la sezione romana dell’ Associazione Arditi decide di costituirsi in una sezione di Arditi del popolo, appellandosi all’ unità dei lavoratori per battere le squadracce antiproletarie dei fascisti. E’ una vera e propria organizzazione militare, divisa in sezioni di almeno un battaglione di 40 uomini, divisi in reparti di 10, con un comando (elettivo) in ogni provincia e un comando generale a Roma. Gli Arditi del popolo adottarono come loro organo “”L’ Avanguardia sociale””, e politicamente si presentarono come organizzazione apartitica, anzi in polemica coi “”cosiddetti Partiti politici d’ avanguardia (…) non (…) capaci neppure di preparare una grandiosa manifestazione nazionale di protesta””. Del resto, l’ animatore degli Arditi del popolo era Argo Secondari, anarchico interventista, che aveva accanto, un altro anarchico individualista e interventista romano, Attilio Paolinelli””. (pag 130) “”Gli anarchici e l’ UAI furono gli unici a sostenere fin dall’ inizio gli Arditi del popolo”” (pag 132)”,”ITAD-095″ “DI-LEMBO Luigi BERTI Giampietro LA-TORRE Placido ANTONIOLI Maurizio ANTONELLI Tiziano SACCHETTI Giorgio FEDELE Santi BERNARDI Roberto BERTOLUCCI Franco GURRIERI Giuseppe e MUSARRA Natale PALOMBO Fabio IMPERATO Tobia MARABINI Tomaso ROSSI Marco”,”L’Unione Anarchica Italiana. Tra rivoluzione europea e reazione fascista (1919-1926).”,”Malatesta su Bordiga. “”Ancora nel 1924 Malatesta è protagonista di violente polemiche con due dirigenti comunisti che, ironia della sorte, passeranno di lì a poco nel limbo dei dissidenti. Ad Amadeo Bordiga egli rimprovera di voler sostituire una tirannia ad un’altra. “”… Ma allora; se trionfassero i comunisti, che ora picchiano e bruciano ed uccidono in nome dell’Itlia grande accorrerebbero nelle file dei comunisti e picchierebbero, brucerebbero, ucciderebbero in nome del proletariato; e l’ingegnere Bordiga si troverebbe nella stessa posizione in cui pare si trovi Mussoini …”” (22). Alfonso Leonetti, in una corrispondenza da Mosca per ‘L’unità’, aveva attribuito invece un commento offensivo da parte di Hermann Sandormiskij verso il vecchio anarchico: “”Credo che Malatesta non sia più responsabile della sua testa, per dire quello che egli ha detto su Lenin””. L’affermazione viene negata con tanto di precisazione scritta dall’intervistato che, anzi, nel solidarizzare con l’offeso, protesta perché il giornale comunista ha censurato il tema principale della conversazione, ossia la persecuzione dei compagni in Russia. Lapidari Malatesta riferisce l’accaduto sulle pagine di “”Pensiero e Volontà”” adottando un titolo tagliente: “”Una porcheriola comunista”” (23)”” (pag 121) [Giorgio Sacchetti, ‘Compagni di strada. Gli anarchici italiani e la questione delle alleanze (1914-1944) (rifacimento con integrazioni e aggiornamenti bibliografici del saggio ‘Gli anarchici italiani e la questione delle alleanze’, Rivista Storica dell’Anarchismo n. 2. 2004, pp.63-70 e della relazione inedita e col medesimo titolo presentata al convegno di studi ‘L’esperienza dell’Unione Anarchica Italiana dal bienno rosso alle leggi eccezionali, 1919-1926’ tenutosi a Imola il 10 ottobre 1999] [(22) Errico Malatesta, Comunisti e Fascisti, in ‘Pensiero e Volontà’, Roma n. 9, del 1 maggio 1924; (23) Cfr “”Pensiero e Volontà’, n. 16, 15 maggio 1924] Praticamente nel testo non viene citato se non di sfuggita il Partito comunista d’Italia”,”ANAx-442″ “DILEMMI Andrea”,”Il naso rotto di Paolo Veronese. Anarchismo e conflittualità sociale a Verona (1867-1928).”,”DILEMMI Andrea (Bergamo 1972) vive e lavora a Verona. E’ laureato in storia contemporanea (Bologna). Nel 2004 ha ottenuto la borsa di studio ‘Pier Carlo Masini’ con una ricerca biografica sull’anarchico veronese Giovanni Domaschi.”,”ANAx-294″ “DI-LEO Rita”,”Operai e fabbrica in Unione Sovietica nelle lettere alla ‘Pravda’ e al ‘Trud’.”,”Rita DI-LEO (Roma 1940) ha partecipato alla fondazione dei ‘Quaderni rossi’ e di ‘Classe Operaia’. Ha pubblicato ‘I braccianti non servono’ (Torino, 1962) e ‘Operai e sistema sovietico’ (Bari, 1970). Oltre ai saggi: ‘Dalla Nep al Piano’ nel volume collettivo ‘Socialismo, città, architettura. URSS 1917-1937’ (Roma, 1971) e ‘La teoria dell’organizzazione nell’URSS’ nella rivista ‘Sociologia dell’organizzazione’. Ha curato per l’ ISSOCO una ricerca sul rapporto Stato-sindacati nella legislazione sovietica e per l’ ISVET indagini sociologiche sulla condizione operaia all’Ovest e all’Est.”,”RUSU-058″ “DI-LEO Rita”,”Il primato americano. Il punto di vista degli Stati Uniti dopo la caduta del muro di Berlino.”,”Rita DI-LEO insegna Politica comparata nell’ Università La Sapienza di Roma. Ha pubblicato nelle edizioni Il Mulino: ‘Vecchi quadri e nuovi politici. Chi comanda nell’ ex-URSS’ (1993) e ‘Modelli istituzionali e riforma della Costituzione’ (con G. PITRUZZELLA) (1999).”,”USAP-031″ “DI-LEO Rita”,”I bolscevichi e “”Il Capitale””.”,”Il capitalismo non si caratterizza per la mancanza di un piano. “”Per mezzo della Nep la classe operaia avrebbe giocato la partita col capitale, considerandosi un elemento operante costitutivo del sistema, e le premesse al socialismo sarebbero state poste come risultati, scoperte e conquiste della lotta operaia, non di decisioni amministrative. “”Il capitalismo è un male di fronte al socialismo. Il capitalismo è un bene in confronto al periodo medievale, in confronto alla piccola produzione, in confronto al burocratismo che è legato alla dispersione dei piccoli produttori. Poiché non abbiamo ancora la forza di passare immediatamente dalla piccola produzione al socialismo, il capitalismo è, in una certa misura, inevitabile come prodotto spontaneo della produzione e dello scambio; e noi dobbiamo quindi utilizzare il capitalismo come anello intermedio tra la piccola produzione e il socialismo, come un mezzo, una via, un modo, un metodo per alimentare la forza produttiva”” (Lenin, La costruzione del socialismo, p.154). Le indicazioni di Lenin riguardo l’obiettivo fondamentale della Nep sono chiare. “”La rinascita del capitalismo significa la rinascita della classe proletaria, occupata nella produzione di beni materiali utili, e non a speculare, non a produrre accendisigari per venderli e a fare altri ‘lavori’, non molto utili ma inevitabili dato lo stato di sfacelo in cui si trova la nostra industria”” (ibidem, p. 130). Il capitalismo come produttore materiale della forza politica, indispensabile al partito nella rivoluzione anticapitalistica. Ed ancora, il capitalismo come base produttiva sociale contrapposta alla dispersione della piccola, arretrata produzione artigianale e manifatturiera. Ed infine il capitalismo come possibilità di controllo e previsione di rapporti di produzione e di scambio. “”E’ interessante rilevare che già Engels sottolineava, ventisette anni orsono, l’insufficienza di una analisi del capitalismo che, non tenendo conto della funzione dei trust, concludesse che il capitalismo è caratterizzato dalla mancanza di un piano. Là dove c’è un trust osserva Engels – non c’è mancanza di un piano. Eppure c’è il capitalismo. L’introduzione del piano non eviterà che gli operai siano schiavi, quanto ai capitalisti essi preleveranno i loro profitti in modo pianificato”” (Lenin, Opere, XXIV, p. 316)”” [Rita Di Leo, I bolscevichi e “”Il Capitale””, ‘Contropiano’, N° 2, maggio-agosto 1969] (pag 274-275)”,”RIRO-393″ “DI-LEO Rita, con saggi di MELCHIONDA Enrico MASSARI Maurizio CAPPELLI Ottorino”,”Vecchi quadri e nuovi politici. Chi comanda davvero nell’ex Urss.”,”Rita Di Leo insegna Istituzioni politiche e sociali dell’Europa Orientale e Sistemi economici comparati nell’Istituto Universitario Orientale di Napoli, dove dirige l’Osservatorio sull’Urss e sull’Europa orientale. Tra le sue pubblicazioni, Il modello di Stalin e L’economia sovietica tra crisi e riforme, 1965-1982. Enrico Melchionda è dottore di ricerca in Scienza della politica e collabora all’Osservatorio. É autore di Eltsin a Mosca. Maurizio Massari è diplomatico di carriera, dal 1987 al 1990 all’ambasciata italiana a Mosca. Ha pubblicato La grande svolta. Ottorino Cappelli è dottore di ricerca in Scienza della politica e collabora all’Osservatorio. Ha in corso di pubblicazione una ricerca sull’esperienza del parlamento sovietico.”,”RUSx-043-FL” “DI-LEO Rita”,”Occupazione e salari nell’URSS, 1950-1977.”,”Rita Di Leo insegna Istituzioni politiche e sociali dell’Europa Orientale e Sistemi economici comparati nell’Istituto Universitario Orientale di Napoli, dove dirige l’Osservatorio sull’Urss e sull’Europa orientale. Tra le sue pubblicazioni, Il modello di Stalin e L’economia sovietica tra crisi e riforme, 1965-1982.”,”RUSU-044-FL” “DI-LEO Rita”,”Il ritorno delle élites.”,”La tesi di Rita Di Leo è che il potere sociale delle élites economiche esercita ormai un’attrazione irresistibile ovunque anche nelle nuove potenze globali come la Cina, l’India e il Brasile. Rita di Leo, professore emerito di Relazioni Internazionali presso l’Università di Roma La Sapienza, dirige l’Osservatorio Geopolitico sulle élites contemporanee. Si è occupata principalmente della Russia e degli Stati Uniti. Ha al suo attivo molte pubblicazioni tra cui: ‘Chi comanda davvero nell’ex Urss’, Il Mulino, 1992 e ‘The Soviet Transition: from Gorbachev to Yeltsin’, London 1992. [‘Gli economisti hanno calcolato che l’1% della popolazione americana possiede oggi il 40% della ricchezza del paese. In questa ristrettissima super-élite rientrano gran parte dei senatori e dei deputati al Congresso, sia repubblicani che democratici, i più alti funzionari dell’amministrazione pubblica e i chief executive officer delle grandi imprese. Questo 1% – fa rilevare Joseph Stiglitz – ha condizioni e stili di vita (dimore, beni, cure, scuole, dotazioni, tecnologie) che lo tiene distante e persino inconsapevole delle carenze nelle infrastrutture civili, nei servizi e nell’istruzione del resto della popolazione. A Detroit il 47% degli abitanti è analfabeta, il 20% dei giovani americani è disoccupato, un adulto su 6 ha un lavoro precario e un cittadino su 7 ha bisogno di tessere alimentari. Il mercato del lavoro globale ha messo in concorrenza le forze di lavoro locali con quelle a basso costo di paesi lontani. E il sindacato non ha contrastato questa concorrenza perché nei tre ultimi decenni in cui cresceva il potere delle élites economiche veniva anche declinando la rappresentanza sindacale, soprattutto nel settore privato. Infatti il sindacato è presente in meno del 7% delle aziende private e nel 12-15% di quelle statali federali. (…) L’attuale distanza tra élites e masse negli Stati Uniti non ha precedenti: bisogna andare molto indietro nella storia europea per trovare qualcosa di simile, mentre il senso comune corrente vuole che gli uomini dell’economia rappresentino il potere del futuro”” (pag 100-101)]”,”TEOS-274″ “DI-LEO Rita”,”Il modello di Stalin. Il rapporto tra politica ed economia nel socialismo realizzato.”,”Rita Di-Leo, ha partecipato alla fondazione di ‘Quaderni Rossi’ e di ‘Classe operaia’. Ha pubblicato: ‘I braccianti non servono’ (Torino, 1962), ‘Operai e fabbrica in Unione Sovietica’ (Bari, 1973). Insegna economia dei paesi socialisti all’Istituto Universitario Orientale di Napoli (1977). Lenin. “”«L’anno scorso abbiamo dimostrato in modo lampante che non sappiamo dirigere l’economia» (1). Ad un anno dalla scelta della Nuova politica economica, il commento di Lenin, nel suo rapporto all’XI Congresso del partito bolscevico, era pessimista senza mezzi termini. La competizione con il capitale privato, intrapresa con la Nep, aveva visto infatti i comunisti perdenti perché incapaci di trasformarsi da rivoluzionari in amministratori, imprenditori, commercianti. Eppure, sottolineava Lenin, questa competizione era un compito assolutamente improrogabile. «Ecco il nocciolo della Nuova politica economica, tutta la sostanza – ne sono convinto – della politica del partito» (2). Dunque il problema che Lenin poneva al congresso come prioritario era quello di imparare a dirigere l’economia, a fare meglio del capitalista. Ma le sue speranze di successo erano scarse. “”E qui bisogna formulare chiaramente una domanda: in che cosa consiste la nostra forza e che cosa ci manca? Di potere politico ne abbiamo assolutamente a sufficienza (…). La forza economica che si trova nelle mani dello Stato proletario in Russia è assolutamente sufficiente per garantire il passaggio al comunismo. Che cosa manca allora? E’ chiaro: manca la cultura fra i comunisti che hanno funzioni dirigenti”” (3). Inoltre i comunisti “”sono una goccia d’acqua nel mare del popolo””, e l’idea di costruire la società comunista con le mani dei comunisti è assolutamente puerile””; quindi “”potremo dirigere l’economia soltanto se i comunisti sapranno costruire questa economia con le mani altrui, e nello stesso tempo impareranno dalla borghesia e le faranno seguire il cammino voluto”” (4). Queste citazioni sono tratte dal rapporto al congresso del 1922. (…) Le citazioni più sopra riportate mettono in dubbio l’interpretazione, che viene da più parti (7), di una ‘Nep’ leninista,diversa, altra rispetto all’impostazione poi seguita dai successori. La Nep leninista sarebbe insomma stata un audace esperimento per cui gli operai, benché forza politica dominante, dovevano tornare ad essere subalterni al capitale come meccanismo di produzione ma, dall’interno del sistema capitalistico, dovevano sperimentare un suo possibile superamento. Con la Nep, Lenin avrebbe teso in definitiva a creare la prima occasione storica perché il rapporto di produzione capitalistico fosse politicamente rovesciato: non più lavoro politicamente contrapposto al capitale e materialmente subordinato ad esso, ma esattamente il contrario, secondo una dinamica politica nuova, tutta da scoprire. Questa definizione della Nep leninista si appoggia su una serie di citazioni altrettanto puntuali delle precedenti (8). Ma qui non si tratta di scegliere qual è la più corretta. Piuttosto, c’è da puntualizzare il passaggio di Lenin dalle primitive illusioni sull’iniziativa Nep alla dura realtà emergente nel discorso al congresso. Lenin deplorava che i comunisti, essendo incolti, non sapessero dirigere l’economia, sostituirsi ai capitalisti, e fossero costretti, nella fase di apprendistato, ad appoggiarsi agli specialisti borghesi. Un’esortazione più volte ripetuta riguardava perciò l’esigenza di “”costruire il comunismo con mani non comuniste, [di] saper fare praticamente ciò che è necessario nel campo economico””. Non vi erano dunque due compiti distinti e qualitativamente diversi per il partito al potere; al contrario, chi esercitava questo potere doveva impegnarsi con tutte le forze ad imparare a gestire ‘anche’ l’economia. L’essenziale non stava più nella politica, aggiungeva Lenin, ma nella scelta di uomini capaci di far funzionare lo Stato e l’economia. Lo scopo immediato era di ottenere credibilità e dopo cinque anni di promesse, irrideva ormai ai decreti bolscevichi. L’isolamento politico era infatti il rischio maggiore: “”Nella massa del popolo noi siamo come una goccia nel mare e possiamo esercitare il potere soltanto quando sappiamo esprimere giustamente ciò di cui il popolo ha coscienza. Diversamente il partito comunista non guiderà il proletariato, e il proletariato non guiderà le masse al suo seguito, e tutta la macchina andrà in pezzi”” (9). Dopo la morte di Lenin, l’immagine della macchina del potere in pezzi perseguiterà il gruppo dirigente bolscevico, soprattutto quando nel periodo Nep le spinte pluraliste provenienti dagli ambienti dell’economia e della cultura arriveranno a prospettare una gestione del potere diversa da quella leninista”” [Rita Di Leo, ‘Il modello di Stalin. Il rapporto tra politica ed economia nel socialismo realizzato’, Milano, 1977] [(1) V.I. Lenin, ‘Opere’, vol. XXXIII, Editori Riuniti, Roma, 1976, p. 248; (2) Ivi, p. 249; (3), Ivi, p. 261; (4) Ivi, p. 264; (5) Una definizione del capitalismo come groviglio di contraddizioni viene ovviamente dall’approccio marxiano: dalla connotazione più celebre – la contraddizione tra forze produttive e rapporti di produzione, a quelle del Libro I e del Libro III del ‘Capitale’ che spiegano la crisi del sistema capitalistico. Ma ad ispirare è piuttosto la versione socialdemocratico- secondinternazionalista della crisi e del crollo capitalistico, invece di una riflessione aggiornata sui testi classici. Su quanto grande sia la divaricazione tra il Marx delle crisi secondo l’ortodossia, e Marx, vedi M. Tronti, ‘Le due transizioni’, in ‘Sull’autonomia del politico’, Feltrinelli, Milano, 1976; (6) Per il XII e il XIII Congresso, 1923 e 1924, vedi KPSS v. resoljucijach’ (Kommunisticeskaja partia Sovet’skogo Sojuza v resoljucijach i resenijach s’ezdov, Konferencij i plenumov CK), Moskva 1970, vol. II; (7) Vedi ad esempio: R. Di Leo, ‘Operai e sistema sovietico’, Laterza, Bari, 1970; (8) Nelle conclusioni del rapporto politico all’XI Congresso, dopo aver fatto il bilancio sul primo anno d’esperienza Nep, Lenin affermava: “”Innanzi tutto a proposito del capitalismo di Stato. ‘Il capitalismo di Stato è capitalismo – ha detto Preobrazenski – ed è soltanto così che lo si può e lo si deve intendere’. Io sostengo che ciò significa essere scolastici. Nessuno finora, nella storia dell’umanità, ha potuto scrivere un libro simile sul capitalismo, poiché è la prima volta adesso che noi viviamo questa cosa. Finora, libri appena un po’ sensati sul capitalismo di Stato sono stati scritti nel presupposto e nell’ipotesi che il capitalismo di Stato fosse capitalismo. Adesso le cose vanno in modo diverso, e nessun Marx e nessun marxista potevano prevederlo. E non si deve guardare indietro. Se voi vi mettete a scrivere di storia, lo farete a meraviglia; ma se vi mettete a scrivere un manuale, direte che il capitalismo di Stato è un capitalismo a tal punto un capitalismo inatteso, un capitalismo che nessuno aveva assolutamente previsto, poiché nessuno poteva prevedere che il proletariato avrebbe conseguito il potere in un paese tra i meno sviluppati e avrebbe cercato dapprima di organizzare una grande produzione e la distribuzione per i contadini, per poi, non essendo venuto a capo di questo compito a causa delle condizioni culturali, far partecipare il capitalismo alla sua opera”” ‘Opere’, vol., cit., p. 281; (9) Ivi, p. 276] [Lenin-Bibliographical-Materials] [LBM] (pag 15-17-19)”,”STAS-071″
“DI-LEO Rita”,”L’economia sovietica tra crisi e riforme (1965-1982).”,”Rita Di Leo, nata a Roma, insegna Istituzioni politiche e sociali dell’Europa Orientale e Sistemi economici comparati nell’Istituto Universitario Orientale di Napoli, dove dirige l’Osservatorio sull’Urss e sull’Europa orientale. Tra le sue pubblicazioni, Il modello di Stalin.”,”RUSU-090-FL”
“DI-LEO Rita”,”Operai e sistema sovietico.”,”Rita Di Leo, nata a Roma nel 1940, insegna Istituzioni politiche e sociali dell’Europa Orientale e Sistemi economici comparati nell’Istituto Universitario Orientale di Napoli, dove dirige l’Osservatorio sull’Urss e sull’Europa orientale. Tra le sue pubblicazioni, Il modello di Stalin. Ha partecipato alla fondazione di Quaderni Rossi e Classe operaia.”,”RUSU-141-FL”
“DILETTI Mattia”,”I think tank.”,”Mattia Diletti, dopo aver lavorato nella Georgetown University di Washington, svolge attività di ricerca nell’Università di Teramo e nell’Osservatorio GeopEC-Crs. E’ autore di “”Come cambia l’America. Politica e società ai tempi di Obama”” (con M. Mazzonis e M. Toaldo, Edizioni dell’Asino, 2009)”,”TEOP-297″
“DILIGENT Victor”,”Que es la sindicacion obrera? Sus principios. Su orientación. Sus consecuencias. Tomo I.”,”””La teoria più nuova che assimila il contratto di salario a un contratto di vendita, è allo stesso modo rifiutata dai cattolici sociali. A parte la questione della dignità dei lavoratori, contro di essa ci sono argomenti di ordine giuridico che non sembrano privi di forza.”” (pag 133)”,”SIND-064″
“DILIGENTI Emilio POZZI Alfredo”,”La Brianza in un secolo di storia d’ Italia, 1848-1945.”,”Emilio Giovanni DILIGENTI è stato assessore della Provincia di Milano e Presidente dell’ ANPI. POZZI è un giornalista.”,”ITAG-049″
“DILIGENTI Emilio POZZI Alfredo”,”La Brianza in un secolo di storia d’ Italia, 1848-1945.”,”Capitolo XIII. Cattolici, socialisti e la guerra, 1915-1918 [Politica estera alla villa Traversi; La crisi economica del 1913-1914; Leghe e bianche al Primo maggio; Lotte contadine e operaie nel periodo bellico; Il conflitto e l’agitazione socialista; Riboldi internazionalista] Capitolo XIV. Il Ppi, il Pcd’I, l’occupazione delle fabbriche. [Lutti e miserie del dopoguerra; Elezioni del 1919: l’86,7% ai due partiti di massa; «Affitto a denaro» e sviluppo della proprietà contadina; Lotte per i salari e disdette nella campagne; Il riflusso dell’ «ondata rossa»; Gramsci e la «mozione Riboldi»; Le tendenze dei primi comunisti brianzoli] Capitolo XV. In Brianza il fascismo segna il passo [La «battaglia delle disdette»; Resistenze alla riduzione dei salari; I Gavazzi chiamano le «squadre antisciopero»; 1922: comitato unico antifascista a Desio; Le leghe bianche contro lo «sciopero legalitario»; Da Milano bande armate a Monza; La crisi del Psi e le elezioni monzesi del 1923; Iniziative intimidatorie e azioni punitive; I fascisti chiedono la collaborazione dei popolari] Capitolo XVI. Sconfitta fascista alle elezioni del 1924 (…)”,”MITT-003-FP”
“DI-LISA Mauro”,”Strumento e macchina nel «Manoscritto 1861-1863» di Marx.”,”A proposito della pubblicazione del volume curato da P. Bolchini, K. Marx, ‘Capitale e tecnologia’, Editori Riuniti, 1980 “”Se queste mie schematiche considerazioni non sono state del tutto inutili, non dovrebbe risultare casuale che Marx affermi nei ‘Grundrisse’: «Qui lo sviluppo del macchinario non va esaminato nel dettaglio, ma solo sotto l’aspetto generale; in quanto nel ‘capitale fisso’ il ‘mezzo di lavoro’, dal suo lato materiale, perde la sua forma immediata e si contrappone materialmente come ‘capitale’ all’operaio» (27). Accordato il giusto rilievo a questa limitazione, possiamo rintracciare dei tentativi, appena accennati, di entrare «nel dettaglio». Così, dopo aver osservato che «analisi e applicazione di leggi meccaniche e chimiche derivanti direttamente dalla scienza» sono alla base della produzione mediante macchine nella grande industria, Marx, soggiunge: «Ma non è questa la via per cui è sorto il macchinario nel suo insieme, e men che meno la via per cui esso si sviluppa in dettaglio. Questa via è l’analisi – attraverso la divisione del lavoro -, che già trasforma sempre più in operazioni meccaniche le operazioni degli operai, cosicché a un certo punto il meccanismo può prendere il loro posto» (28). L’esigenza di distinguere tra un’infanzia e una maturità nello sviluppo del macchinario – l’intuizione che solo in una fase relativamente tarda l’innovazione muove dall’applicazione in un sapere formalizzato – uscirà rafforzata anche dai suoi successivi incontri di Marx con la storia della tecnica e dell’organizzazione materiale della produzione. I ‘Grundrisse’, però, si scontrano con la difficoltà di spiegare il passaggio dalla divisione manifatturiera del lavoro alla divisione del lavoro tipica della fabbrica capitalistica. La difficoltà viene aggirata – l’interesse essendo centrato sull’esito conclusivo, non sulle tappe che lo precedono – ricorrendo ad un dispositivo teorico (la meccanizzazione delle operazioni nella manifattura) che in seguito lo stesso Marx si incaricherà di disinnescare. Più fecondo è l’accento alle metamorfosi del mezzo di lavoro (29), da cui Marx trae lo spunto per un’analisi magistrale delle trasformazioni del modo di produzione: «Da nessun punto di vista la macchina si presenta come mezzo di lavoro del singolo operaio. La sua differentia specifica non è affatto, come nel mezzo di lavoro, di mediare l’attività dell’operaio nei confronti dell’oggetto; piuttosto quest’attività è posta in modo tale da mediare ormai soltanto il lavoro della macchina, la sua azione sulla materia prima – da sorvegliarlo e da preservarlo dalle interferenze» (30); l’uomo «si sposta accanto al processo produttivo invece di esserne l’agente principale» (31)”” (pag 87-88)”,”MADS-002-FB”
“DI-LISA Mauro”,”Antinomia del capitalismo e ruolo dello Stato in Marx.”,”Concetto di antinomia (in particolare nel manoscritto del 1861-63) “”L’uso marxiano del concetto di antinomia è certamente …. finire (pag 154-156)”,”MADS-020-FGB”
“DILLARD Dudley”,”La teoria economica de John Maynard Keynes. Teoria de una economia monetaria.”,”DILLARD Dudley professore di economia dell’ Università del Maryland (USA). “”Cosa dimostra l’ esperienza rispetto alla validità della tesi di Keynes che le opere pubbliche finanziate attraverso i prestiti aumenteranno l’ impiego in tempo di depressione, e qual è l’ interpretazione di Keynes di questa esperienza? (…) La maggior prova per la tesi di Keynes è l’ esperienza degli Stati Uniti tra il 1933 e il 1945. Durante la depressione del decennio del 1930, il Governo conservatore della Gran Bretagna respinse la filosofia del costo, mentre il New Deal negli Stati Uniti adottò la filosofia generale di Keynes. Lo sviluppo economico degli Stati Uniti tra il 1929 e il 1945 può essere riassunto brevemente a grandi scaglioni, come segue. La grande depressione che cominciò nel 1929 raggiunse il suo punto più basso nell’ inverno del 1932; seguì un’ espansione rapida tra il 1933 e il 1937; nel 1937, con circa 8 milioni di disoccupati tuttavia, si ebbe un forte arretramento; nel 1938 cominciò nuovamente l’ espansione e continuò nel periodo del riarmo, che cominciò nel 1940, periodo che sboccò nella enorme espansione della guerra che portò la produzione e l’ occupazione negli Stati Uniti a un livello così elevato nella rendita, la produzione e l’ impiego””. (pag 129-130)”,”ECOT-103″
“DILLON Michael”,”Xinjiang. China ‘s Muslim Far Northwest.”,”””Le organizzazioni pro-indipendenza nello Xinjiang dichiararono che tra l’ aprile e il giugno 1996, 4000 talibs, studenti dell’ Islam, furono arrestati e spediti fuori della regione in campi di prigionia a Qinghai””.”,”CINx-162″
“DILLON Dorothy”,”International communism and Latin America. Perspectives and Prospect.”,”””Representatives of Latin American Communist parties present at the Comintern Congress responded to the thoughts of their European colleagues, Fernando Lacerda, a delegate from Brazil, corrected Bukharin’s remarks to the effect that the Communist movement had now gripped Latin America for the first time. “”Not the Communist movement has manifested itself for the first time in Latin America””, declared Lacerda, “”but rather the Communist International has for the first time taken an interest in the Communist Movement of Latin America. In Mexico, Brazil, Argentina, Uruguay, Chile, and Guatemala, our Communist Parties have been in existence since 1920, that is, almost since the founding of the Communist International. Yet it is only now that the Communist International is beginning to take up questione relating to Latin-America. We hope that the Comintern is not going to relinquish its attention and that it will help us in developing our Communist Parties, which are still small today, into real mass parties”” (9). Communist leaders from other Latin American countries voiced similar sentiments”” (pag 4-5) [IPC, International Press Correspondence, VIII, 46 (Aug. 8, 1928), 819]”,”INTT-335″
“DILTHEY Wilhelm LORENZ Ottokar; a cura di Maurizio MARTIRANO”,”I principi della storiografia di Friedrich Christoph Schlosser. Friedrich Christoph Schlosser, di Wilhelm Dilthey; La storiografia filosofica. Friedrich Christoph Schlosser, di Ottokar Lorenz.”,”SCHLOSSER è lo storico del liberalismo tedesco. Con lui la storia penetrò nel campo di battaglia dei partiti. In vita subì attacchi da parte di von SYBEL. Ammirazione gli mostrarono i suoi allievi GERVINUS e HÄUSSER. SCHLOSSER è morto nel 1861.”,”STOx-067″
“DILTHEY Guglielmo”,”L’analisi dell’uomo e la intuizione della natura dal Rinascimento al secolo XVIII. Volume I.”,”La guerra dei contadini in Germania. “”Quale capovolgimento delle idee tradizionali in ogni parte del paese tedesco! Ecco il Carlostadio, lottatore infaticabile contro la nuova teologia luterana che s’andava formando e contro il miracolo luterano della eucaristia, confusionario, geniale, pieno di zelo contro il troppo più forte Lutero: già dal 1520 gli sembrava dubbio che i libri di Mosè dovessero realmente attribuirsi a lui e che gli Evangeli ci sieno giunti realmente nella loro forma genuina; nel 1521 consigliò agli studenti di Vittemberga di disertare le lezioni e andare a lavorar la terra col sudore del loro volto, come un Rousseau o un Tolstoi; e più tardi gettò via i suoi paramenti sacerdotali e lo si vide rigare vestito da contadino. Ecco Münzer, uomo di violenza anarchica: anche egli sosteneva contro Lutero la mistica, la vita apostolica con la comunione di beni, ma il nuovo regno della pace egli voleva fondarlo col ferro e col sangue. Nello scritto contro «la carne che se la vive mollemente a Vittemberga» egli assale Lutero nel suo punto più debole, rimproverandogli l’autodenigrazione contenuta nel dogma dei peccati e della volontà non libera; e beffeggia i nuovi artifici logici tendenti a tener soggetto il povero popolo mediante passi biblici intorno ai diritti divini dei sovrani”” (pag 103)”,”FILx-278-FF”
“DILTHEY Wilhelm, a cura di Gian Antonio DE-TONI”,”Introduzione alle scienze dello spirito. Ricerca di una fondazione per lo studio della società e della storia.”,”Wilhelm Dilthey (Wiesbaden nel sobborgo di Biebrich, 19 novembre 1833 – Siusi allo Sciliar, 1º ottobre 1911) è stato un filosofo e psicologo tedesco, rappresentante principale di un indirizzo filosofico post-hegeliano della seconda metà del XIX e inizio del XX secolo, che cerca di adoperare le categorie trascendentali di Kant nei campi delle scienze dello spirito, ossia delle scienze umane, Geisteswissenschaften, nonché delle scienze storiche compiendo una Critica della ragione storica, aprendo anche la strada di una «filosofia delle visioni del mondo» Weltanschauungsphilosophie, cioè una critica storica della ragione. (wikip) Pensiero e opere (wikip) È stato il fondatore dello storicismo tedesco. Nella sua prima opera “”Introduzione alle scienze dello spirito”” delineò le differenze dell’oggetto di indagine delle scienze dello spirito rispetto a quello delle scienze naturali. Riafferma l’importanza della storicità nella scoperta dell’influenza delle cause sociali sulla formazione dell’uomo e del mondo, e sostiene il primato e l’autonomia dei fatti nella storia. Diversamente dalle scienze naturali, che tendono a rivelare le uniformità del mondo grazie al loro oggetto che è esterno all’uomo e viene compreso attraverso la spiegazione di un fenomeno, le scienze dello spirito tendono a vedere l’universale nel particolare indagando all’interno dell’uomo, esse comprendono un fenomeno. Nell’opera “”Il contributo allo studio dell’individualità””, Dilthey definisce che l’oggetto del comprendere è l’individualità, che viene studiata attraverso l’utilizzo dei tipi e delle loro relazioni interne.”,”FILx-282-FF”
“DI-MAGGIO Marco MASTROLILLO Gabriele a cura; saggi di Serge WOLIKOW Guida SAMARANI e Sofia GRAZIANI Giuseppe MOTTA Alexander HÖBEL Alexander Gianluca FIOCCO Gabriele SIRACUSANO Marco DI-MAGGIO e Sebastiano USAI Paola LO-CASCIO Corentin LAHU Gabriele MASTROLILLO Ettore COSTA Brigitte STUDER Jean VIGREUX Maria Grazia MERIGGI Luca GORGOLINI Luca KOCCI Giorgia SPOSINI”,”L’ Internazionale Comunista come network globale (1919-1943).”,”Pubblicato 14.7.2022 pdf I saggi pubblicati sono in tre lingue (italiano, francese, inglese) Tra i vari saggi: – Guido Samarani e Sofia Graziani, ‘Il Partito comunista cinese e il Comintern (1921-1927)’ (pag 29-46) – Giuseppe Motta, ‘La questione nazionale in Europa centro-orientale’ (pag 47-68) – Alexander Höbel, ‘Il Comintern e l’Europa occidentale (1919-1935)’ (pag 69-90) – Gabriele Mastrolillo, ‘The Comintern seen by International Trotskyist Movement’ (pag 205-222) – Jean Vigreux, ‘Le Komintern et les paysans’ (pag 263-284) – Maria Grazia Meriggi, ‘L’internazionale sindacale rossa e le sezioni nazionali: fra centralizzazione e autonomia’ (pag 285-306) – Luca Gorgolini, ‘Il Comintern, l’Internazionale Giovanile Comunista e la FGCD’I (1919-1926)’ (pag 307-332)”,”INTT-356″
“DI-MAJO Alberto”,”Grillo for president. Che cos’è, da dove viene e cosa vuole veramente il MoVimento 5 Stelle.”,”DI-MAJO Alberto (1976) giornalista, è attualmente responsabile del servizio politico de ‘Il Tempo’. Laureato in filosofia, ha un suo blog e ha già scritto: ‘Andate a lavorare! I mille coloriti insulti degli italiani contro i politici’ (Scipioni, 2012).”,”ITAP-174″
“DI-MARCO Michele a cura; scritti di COMENIO LOCKE ROUSSEAU KANT PESTALOZZI FROEBEL LAMBRUSCHINI GABELLI LOMBARDO-RADICE FERRIERE DEWEY MARITAIN HESSEN MAKARENKO”,”Educazione scuola e società. Antologia di scritti pedagogici.”,”Comenio (1592-1670) riformatore educatore ceco nato in Moravia.Studiò a Herborn e poi a Heidelberg, divenne rettore della Moravian School of Prerau e minister al Fulnek, ma perse tutta la sua proprietà e biblioteca nel 1621, quando la città fu presa dagli Imperiali. Spostatosi a Lissa in Polonia qui scrisse la sua Didactica Magna e altre opere. Scritti di COMENIO LOCKE ROUSSEAU KANT PESTALOZZI FROEBEL LAMBRUSCHINI GABELLI LOMBARDO-RADICE FERRIERE DEWEY MARITAIN HESSEN MAKARENKO “”La gita è un elemento insostituibile per la formazione del gusto scientifico.”” (pag 276) “”Il lavoro manuale come mezzo educativo””. (pag 357) “”I vantaggi che il lavoro arreca allo sviluppo del corpo, della psiche, del senso morale e sociale””. (pag 358)”,”GIOx-035″
“DI-MARCO Giuseppe Antonio”,”Dalla soggezione all’emancipazione umana. Proletariato, individuo sociale, libera individualità in Karl Marx.”,”DI-MARCO Giuseppe A. insegna filosofia della storia all’Università Federico II di Napoli. E’ autore delle monografie: ‘Marx, Nietzsche, Weber. Gli ideali ascetici tra critica genealogia comprensione’ (1984), ‘Thomas Hobbes nel decisionismo giuridico di Carl Schmitt’ (1999), ‘Studi su Max Weber’ (2003). “”Così, la teoria della caduta tendenziale del saggio di profitto conferma quanto detto da Marx nei ‘Manoscritti economico-filosofici del 1844’: “”L’operaio diventa tanto più povero quanto maggiore è la ricchezza che produce, quanto più la sua produzione cresce di potenza e di estensione”” (K. Marx F. Engels, Werke. Erster Teil, 1973 trad. it. N. Bobbio, Manoscritti economico-filosofici del 1844, 1969). Perciò, sotto il dominio del capitale l’enorme ricchezza è fondata sulla povertà. Ecco perché il saggio di profitto scende, è inversamente proporzionale al saggio di sfruttamento, che invece sale””. [Giuseppe Antonio Di Marco, Dalla soggezione all’emancipazione umana. Proletariato, individuo sociale, libera individualità in Karl Marx, 2005) (pag 85-86) “”Le macchine si presentano così come la forma pià adeguata del capitale fisso, e il capitale fisso, se si considera il capitale nella relazione con se stesso, come la forma più adeguata del capitale in generale”” (Marx, Grundrisse). Ecco a questo punto la contraddizione: “”il capitale fisso è inchiodato alla sua esistenza di valore d’uso determinato””, essendo le macchine qui solo il valore d’uso del capitale riferito a se stesso.”” (pag 65)”,”MADS-560″
“DI-MEO Antonio”,”Storia della chimica.”,”DI MEO è professore a contratto di storia della scienza e della tecnica all’ Università di Macerata.”,”SCIx-229-FL”
“DI-MICHELE Vincenzo”,”Alla ricerca dei dispersi in guerra. Dal fronte greco a El Alamein fino alla Russia: i familiari dei caduti raccontano le loro storie.”,”‘Dal Don a Nikolaevka, da Tobruk al fronte jugoslavo fino a Cefalonia, non c’è solo la storia dell’autore, ma anche quella di tante altre famiglie che hanno raccontato le loro vicende e le problematiche affrontate durante la ricerca del proprio caro disperso in guerra. Migliaia e migliaia di ragazzi mandati a combattere in guerra si salvarono grazie all’aiuto della popolazione locale e altri, come gli alpini in Russia, si avventurarono in una dolorosa ritirata. Moltissimi soldati però morirono nei campi di concentramento. Da Suzdal a Tambov, da Micurinsk a Nekrilovo, da Oranki a Krinovaja, fino ai campi di prigionia di Tashkent e Pakta Aral nelle regioni del Kazakistan e Uzbekistan, vengono narrate attraverso le testimonianze dei reduci le sofferenze patite dai prigionieri italiani nei lager sovietici’. Vincenzo Michele (1962) ha pubblicato pure ‘Io prigioniero in Russia’, ‘Mussolini finto prigioniero al Gran Sasso’ e altri volumi. ‘Nel 1945 appena terminata la guerra, le mogli, in cerca dei loro mariti dapprima si accalcarono speranzose alle stazioni dei treni con al seguito figli e foto in mano. Poi, in preda alla disperazione, rovistarono elenchi, fecero il giro delle parrocchie e diffusero voci a chiunque pur di avere qualche notizia. Purtroppo non si presentò nessuno se non degli impostori che specularono sulle loro disgrazie'”,”QMIS-346″
“DIMITRI Francesco”,”Comunismo magico. Leggende, miti e visioni ultraterrene del socialismo reale.”,”Francesco Dimitri (Manduria, 1981) vive a Roma dal 1999, dove studia Scienze della Comunicazione all’Università La Sapienza. Collabora con l’Osservatorio Corpo e Società e si occupa di magia, ufologia, yematiche antropologiche e cultura pop. É coautore del libro Dies Iraq e sceneggiatore del Colossaeum Comics Group.”,”RUSS-049-FL”
“DIMITROV Gheorghi”,”Il processo di Lipsia.”,”DIMITROV, Georgj Michailovic (Radomir, Sofia 1882 – Mosca 1949), leader comunista bulgaro. Operaio tipografo, divenne membro del comitato centrale del Partito operaio comunista nel 1909. Nel 1923, dopo il fallimento di un’insurrezione comunista da lui organizzata, fu costretto a lasciare il paese. Arrestato a Berlino con l’accusa di complicità nell’ incendio del Reichstag (1933), si guadagnò una grande notorietà a livello mondiale grazie alla sua abile difesa, nella quale accusò il regime nazista di aver organizzato l’incendio e il processo per scopi politici. Assolto, Dimitrov si stabilì in Unione Sovietica. Fu segretario generale (1935-1940) del Comintern e membro (1937-1945) del Soviet Supremo dell’ URSS. Nel 1946 divenne primo ministro della Repubblica popolare di Bulgaria e mantenne la carica fino alla morte. Nel 1947 fu tra i fondatori del Cominform. (ENC) “”Dimitrov, Georgj Michailovic,”” Enciclopedia Microsoft(R) Encarta(R) 99. (c) 1993-1998 Microsoft Corporation. Tutti i diritti riservati.”,”GERN-022 TEMx-008″
“DIMITROV Gheorghi”,”Lettres notes et documents datant de ma detention et du proces de Leipzig.”,”1921, Dimitrov, accompagna Kabacev (personalità eminente, nominato dall’internazionale Comunista come proprio delegato al congresso del partito socialista italiano), assiste alla scissione della frazione di sinistra (Gramsci-Bordiga) e alla fondazione del Partito Comunista d’Italia (Teatro S. Marco 21 Gennaio 1921). (da cronologia a lato)”,”GERN-085″
“DIMITROV Giorgio M.”,”La Terza Internazionale.”,”””Il fascismo non è una forma di potere statale, la quale, come ha per esempio affermato Otto Bauer, “”sta al disopra di ambedue le classi, quella del proletariato e quella della borghesia””. Non è, come afferma il socialista inglese Breylsford, “”la piccola borghesia insorta, che si è impadronita della macchina dello Stato””. No. Il fascismo non è un potere al di sopra delle classi, come non è il potere della piccola borghesia o del “”lumpen-proletariat”” sul capitale finanziario. Il fascismo è il potere dello stesso capitale finanziario. E’ l’ organizzazione del terrore contro la classe operaia e contro la parte rivoluzionaria dei contadini e degli intellettuali””. (pag 3-4)”,”INTT-187″
“DIMITROV Georgi, a cura di Silvio PONS”,”Diario. Gli anni di Mosca (1934-1945).”,”DIMITROV (1882-1949) nel 1919 fu tra i fondatori del Partito comunista bulgaro. Diresse a Berlino dal 1929 al 1933 l’ Ufficio del Comintern per l’ Europa Occidentale. Arrestato nel marzo 1933 con l’ accusa di aver organizzato l’ incendio del Reichstag si difese al processo di Lipsia diventando un simbolo dell’ antifascismo. Dal febbraio 1934 fu a Mosca, dove divenne segretario generale del Comintern dal 1935 al 1943. Dopo lo scioglimento del Comintern fu leader della Bulgaria ‘socialista’. “”22 giugno 1941. – Alle 7 di mattina mi hanno chiamato con urgenza dal Cremlino. – La Germania ha attaccato l’ URSS. E’ iniziata la guerra. – Nel gabinetto incontro Poskrebysev, Timosenko, Kuznecov, Mechlis (di nuovo in uniforme militare), Beria (che dà per telefono varie disposizioni). – Nel gabinetto di Stalin si trovano Molotov, Vorosilov, Kaganovic, Malenkov. – Stalin rivolto a me: Ci hanno attaccato senza avanzare alcuna pretesa, senza esigere alcuna trattativa, ci hanno attaccato vigliaccamente, come banditi. (…) – Sorprendente calma, fermezza, sicurezza in Stalin e in tutti gli altri.”” (pag 320)”,”RUST-106″
“DIMITROV ERCOLI (TOGLIATTI) KRUPSKAIA FISCHER PONOMAREW”,”Il complotto contro la rivoluzione russa. Gli insegnamenti del processo di Mosca contro il centro terrorista di Trotsky e Zinoviev.”,”Il linguaggio dello stalinismo: “”Trotsky, Zinoviev, Kamenev, e tutta la loro banda di assassini, hanno agito di concerto con il fascismo tedesco, hanno concluso, un’ alleanza con la Gestapo. Ecco perché il paese è stato così unanime nel reclamare la fucilazione di questi cani arrabbiati.”” (pag 80) Pagine e pagine contro Bauer: “”Otto Bauer dichiara, che mai lo Zinoviev gli riuscì simpatico, e non nutrì mai nessuna simpatia per la politica attuale di Trotsky. E così prosegue: “”Ma, qualunque sia il nostro sentimento circa gli uomini che Stalin voleva distruggere con questo processo e che, per quanto ha potuto, ha moralmente spezzati, e fisicamente rovinati, come è possibile che noi crediamo in realtà questi uomini capaci di aver commesso i delitti dei quali vengono accusati?””. E di retorica in retorica, questo tema è svolto e ripetuto fino alle seguenti parole: “”Dove sono le prove di questa condanna inaudita? Le uniche prove concrete risiedono soltanto ed esclusivamente nelle confessioni degli accusati (…)””””. (pag 88)”,”RUSS-181″
“DIMITROV Georges”,”Au procès de Leipzig. – Le grand lutteur prolétarien’ par André Marty.”,”””Dalle prime udienze, il processo ha portato al mondo tre rivelazioni: 1. Ha rivelato il coraggio calmo di un comunista. Con la sua argomentazione, Dimitrov ha demolito giorno per giorno la macchinazione poliziesca e messo in fuga Goering! (…) 2. Lipsia ha mostrato quale deve essere l’ atteggiamento di un comunista di fronte ai giudici di classe. Dimitrov si è difeso, senza compromessi e senza furfanterie, senza collorcarsi una sola volta sul terreno personale. Ha difeso il Comunismo, l’ Internazionale Comunista. (…) 3. Ancor più, Dimitrov ha utilizzato il tribunale fascista come tribuna per rivolgersi agli operai e ai popoli del mondo intero.”” (pag 50)”,”MGEK-083″
“DIMITROV Georgi (DIMITROFF)”,”Über die Gewerkschaften.”,”Sulla neutralità dei sindacati. “”Die Neutralität der Gewerkschaften war immer eine rein bürgerliche Idee. Under der Maske der politischen Neutralität bemühten sich die Bourgeoisie und ihre Agenten in der Arbeiterbewegung (die “”weitherzigen”” Sozialisten und alle möglichen “”Arbeiterfreunde”” und Sozialreformatoren), die Arbeitergewerkschaften vom Klassenkampf des Proletariats abzubringen und sie in Werkzeuge zur Aufrechterhaltung der Herrschaft des Kapitalismus zu verwandeln. In Wirklichkeit waren die Arbeitergewerkschaften ‘niemals’ und ‘in keinem Lande’ neutral’. (pag 113)”,”INTT-217″
“DIMITROV Giorgio”,”Dal fronte antifascista alla democrazia popolare.”,”‘La socialdemocrazia ha così aperto la strada al fascismo…’ (pag 15) Dono di Zucchiati”,”RUST-159″
“DIMITROV Giorgio”,”Il processo di Lipsia.”,”DIMITROV, Georgj Michailovic (Radomir, Sofia 1882 – Mosca 1949), leader comunista bulgaro. Operaio tipografo, divenne membro del comitato centrale del Partito operaio comunista nel 1909. Nel 1923, dopo il fallimento di un’insurrezione comunista da lui organizzata, fu costretto a lasciare il paese. Arrestato a Berlino con l’accusa di complicità nell’ incendio del Reichstag (1933), si guadagnò una grande notorietà a livello mondiale grazie alla sua abile difesa, nella quale accusò il regime nazista di aver organizzato l’incendio e il processo per scopi politici. Assolto, Dimitrov si stabilì in Unione Sovietica. Fu segretario generale (1935-1940) del Comintern e membro (1937-1945) del Soviet Supremo dell’ URSS. Nel 1946 divenne primo ministro della Repubblica popolare di Bulgaria e mantenne la carica fino alla morte. Nel 1947 fu tra i fondatori del Cominform. (ENC) “”Dimitrov, Georgj Michailovic,”” Enciclopedia Microsoft(R) Encarta(R) 99. (c) 1993-1998 Microsoft Corporation. Tutti i diritti riservati.”,”GERN-010-FV”
“DI-MONACO Roberto”,”Produttività e retribuzione variabile nelle aziende di credito. Applicazione dell’articolo 45 del nuovo contratto simulazioni sui dati di bilancio 1982-1989 e previsioni.”,”Il dottor Roberto Di Monaco è ricercatore presso l’Ires, Istituto di ricerche economiche e sociali Lucia Morosini di Torino.”,”SIND-021-FL”
“DIMSDALE Thomas J.”,”I giustizieri del Far West. Un resoconto esatto e imparziale della caccia, processo, cattura ed esecuzione capitale della banda di Henry Plummer, unitamente alla cronaca della vita e dei delitti di molti criminali e ‘desperados’, il tutto disseminato di scene di vita negli accampamenti dei cercatori d’ oro del Far West; essendo questa l’ unica opera degna di fede sull’ argomento mai presentata finora al pubblico.”,”Il professor DIMSDALE era un colto e stimato cittadino inglese, ex-allievo di Oxford, giunto in Virginia City dal Canada nell’ estate del 1863. Malato di tisi aveva raggiunto le montagne nella speranza della guarigione. Divenne sopraintendente alla pubblica istruzione e primo direttore del Montana Post il primo quotidiano di una certa importanza pubblicato nei confini del territorio. Morì nel 1866 all’ età di 35 anni compianto da tutti coloro che lo conobbero.”,”USAS-075″
“DINA Angelo STEFANELLI Renzo D’ARMENTO Vito AGOSTI RONZA Paola PRATO Roberto FRANZINA Emilio VALDEVIT Silvio SAVELLI Rodolfo REYNERI Emilio LIVORSI Franco, contributi di,”,”Contro l’ organizzazione capitalistica del lavoro.”,”responsabile Stefano MERLI”,”MITT-105″
“DI-NAPOLI Cataldo”,”L’Eurocomunismo tra storia e cronistoria.”,”DI-NAPOLI C. è nato a Caserta nel 1931 e risiede a Roma ove insegna nella scuola media (Istituto Pio XII). Ha scritto pure ‘I Meridionali al Nord Italia’”,”MEOx-087″
“DI-NAPOLI Alfredo”,”Isabella di Castiglia.”,”Barbara Biscotti già curatrice per il Corriere della Sera della collana ‘I grandi processi della storia’ è una storica del diritto romano e insegna presso il Dipartimento di Giurisprudenza dell’Università Milano-Bicocca. E’ membro corrispondente dell’Ehess. Alfredo Di Napoli, titolare della cattedra di Storia della Chiesa all’Istituto Superiore di Scienze Religiose di Bari e Cultore di Storia moderna presso l’Università del Salento, è autore di opere sulla storia europea e sul dialogo ecumenico e interreligioso.”,”SPAx-155″
“DINESEN Wilhelm”,”Paris sous la Commune.”,”W. Dinesen (1845-1895) giovane aristocratico danese, a 25 anni decide di entrare nell’esercito francese, nel momento in cui le truppe di Bismarck entrano in Francia. Il suo gusto per le cause nobili lo spinge a mettere al servizio di questo paese la sua scienza militare e il suo anti-germanesimo, erede della disastrosa ‘Guerre de Duchés’. Ferito davanti a Belfort, raggiunge Parigi il 17 marzo 1871 alla vigilia della proclamazione della Comune. Diventa così un testimone, pur se distaccato, della primavera tragica e della “”settimana di sangue””. Qualche giorno dopo la fine dei combattimenti rientra in Danimarca. Ripartirà quasi subito nel 1872 per l’America del Nord dove stabilirà relazioni amichevoli con piccole comunità di indiani, Sioux e Pawnee. Rientrato nel 1879 nel suo paese natale si impegna nell’attività letteraria e politica e viene eletto deputato nel 1892. La sua seconda figlia sarà la futura Karen Blixen. Si suiciderà nel marzo 1895. Dinesen dimostra di avere uno sguardo acuto sulla Comune, e di essere preoccupato dell’imparzialità e della verità”” (retrocopertina) Nella bibliografia cita il libro di Edmond Lepelletier, Histoire de la Commune de 1871, Paris, 1911-1913 La guardia nazionale porta fuori città i gendarmi e i poliziotti arrestati e li libera. Questi raggiungono Versailles. “”Le 18 mars, la garde nationale en capture un certain nombre (gendarme et policiers, ndr), rien que soixante sur la Butte-Montmartre; elle les garda prisonniers quelque temps jusqu’à ce qu’un beau jour le Comité, envahi par un sentiment de noblesse, fit emmener gendarmes et policiers hors de la ville et les laissa plantés là, en les prévenant que s’ils revenaient, ils seraient fusillés. Evidemment, ils se hâtèrent de rejoindre Versailles”” (pag 183)”,”MFRC-156″
“DINGELSTEDT Fjodor”,”Questioni agrarie in India.”,”DINGELSTEDT Fjodor (1897-1936?), studente in sociologia, bolscevico nel 1914, organizzatore del partito a Kronstadt, commissario durante la guerra civile, poi professore dell’ Istituto Forestale, autore di un’ opera su ‘La questione agraria in India’, membro dell’ Opposizione unificata. Espulso e deportato, parecchie volte condannato, organizzatore di uno sciopero della fame, sparisce nei campi di concentramento.”,”INDx-063″
” DINGELSTEDT F.N.”,”Introduzione a ‘La questione agraria in India’ (1928)”,”Dingelstedt era stato segretario di Trotsky durante la guerra civile (fonte Broué). “”“Literary” activity, as the Russians called it, was important. Many deportees wrote, not to pass the time, but because they finally had the chance to do so. There was for example in circulation a “Critique of the Draft Programme of the Comintern”, much admired by Trotsky, written by Dmitri Lapin [65], of whom we know nothing. We know that Sosnovsky wrote an Agrarian Policy of Centrism, Smilga a book about Conquests of the Proletariat in Year XI of the Revolution, Preobrazhensky a Sociology of the Capitalist World. We know about many works and projects: Dingelstedt [66], who had done a thesis on the land question in India, was now working on the social structures of that country; Radek had started a major biography of Lenin; Smilga was working on the theories of Bukharin and his “school”; Preobrazhensky was doing research on the medieval economy, V.B. Eltsin on the French Revolution; Vilensky-Sibiriakov [67] returned to the study of China and Boris S. Lifshitz was studying the cycles of capitalist economy.”” (Broué, fonte marxists.org) 66. [RH] F.N. Dingelstedt (1890–1938): agitator at Kronstadt in 1917, student at Institute of Red Professors, director of Leningrad Forest Institute; one of most brilliant of younger generation of Left Opposition; organised strikes and hunger strikes at Vorkuta, where he was shot in 1938. Trotsky in storia della rivoluzione russa: ‘The Vyborg Committee held meetings of thousands of workers and soldiers, which almost unanimously adopted resolutions on the necessity for a seizure of power by the soviets. An active participant in this agitation, Dingelstedt, testifies: ”There was, not one meeting, not one workers’ meeting, which would have voted down such a resolution from us if there had only been somebody to present it.“ The Mensheviks and Social Revolutionaries were afraid in those first days to appear openly before audiences of workers and soldiers with their formulation of the question of power. A resolution of the Vyborg workers, in view of its popularity, was printed and pasted up as a placard. But the Petrograd Committee put an absolute ban upon this resolution, and the Vyborg workers were compelled to submit.’ E ancora: “Defeatism” was not invented by a hostile press under the protection of a censorship, it was proclaimed by Lenin in the formula: “The defeat of Russia is the lesser evil.” The appearance of the first revolutionary regiment, and even the overthrow of the monarchy, did not alter the imperialist character of the war. “The day of the first issue of the transformed Pravda,” says Shliapnikov, was a day of rejoicing for the defensists. The whole Tauride Palace, from the business men in the committee of the State Duma to the very heart of the revolutionary democracy, the Executive Committee, was brimful of one piece of news: the Victory of the moderate and reasonable Bolsheviks over the extremists. In the Executive Committee itself they met us with venomous smiles. . . . When that number of Pravda was received in the factories it produced a complete bewilderment among the members of the party and its sympathisers, and a sarcastic satisfaction among its enemies…. The indignation in the party locals was enormous, and when the proletarians found out that Pravda had been seized by three former editors arriving from Siberia they demanded their expulsion from the party.“ Pravda was soon compelled to print a sharp protest from the Vyborg district: ” If the paper does not want to lose the confidence of the workers, it must and will bring the light of revolutionary consciousness, no matter how painful it may be, to the bourgeois owls.“ These protests from below compelled the editors to become more cautious in their expressions, but did not change their policy. Even the first article of Lenin which got there from abroad passed by the minds of the editors. They were steering a rightward course all along the line. ” In our agitation,“ writes Dingelstedt, a representative of the left wing, ” we had to take up the principle of the dual power . . . and demonstrate the inevitability of this roundabout road to that same worker and soldier mass which during two weeks of intensive political life had been educated in a wholly different understanding of its tasks.“ (The History of the Russian Revolution) (marxists.org)”,”INDE-006″
“DINI Vittorio”,”Il governo della prudenza. Virtù dei privati e disciplina dei custodi.”,”Vittorio Dini è docente di Storia della filosofia e Direttore del dipartimento di sociologia e di scienza politica dell’Università di Salerno. Ha pubblicato saggi su Feuerbach e Marx, Adam Smith, Spinoza.”,”TEOP-029-FMB”
“DINI Francesca a cura, testi di Silvestra BIETOLETTI Rossella CAMPANA Francesca DINI Piero PACINI Eugenia QUERCI Carlo SISI Ilaria TADDEI”,”Boldini e gli italiani a Parigi. Tra realtà e impressione.”,”Francesca Dini è nata a Montecatini Terme, ma vive a Firenze. E’ stata allieva di Mina Gregori. Nel 1989 ha pubblicato la monografia ‘Federico Zandomeneghi’. I suoi studi vertono principalmente sui macchiaioli e su questo tema ha curato varie mostre. 3 417139 SBN CLOUD”,”ARTx-009-FDR”
“DI-NICOLA Giulia Paola DANESE Attilio”,”Silone, percorsi di una coscienza inquieta.”,”‘La rapidità della carriera costituisce un caso a sé: nel 1919 è direttore di ‘L’Avanguardia’, con un discreto stipendio; nel 1920 entra nel comitato centrale dell’Unions Socialista romana; nel 1921 diviene uno dei fondatori del Partito Comunista Italiano e s’impegna nell’organizzazione dei giovani comunisti; nel 1922 è membro dell’Internazionale giovanile comunista””. (pag 171) “”Tra il 1919 e il 1922, Secondino comincia ad affrontare frequenti viaggi a Berlino, dei quali si possono immaginare le scomodità, i controlli, le difficoltà della lingua, dovento attraversare Germania, Polonia, Lituania e Lettonia. Silone conosce le personalità più in vista del comunismo internazionale, quali Karl Radek, Nikolaj Bucharin, Zinoviev (di cui si divertiva a fare caricature)”” (pag 173) Biografia. Ignazio Silone (Secondino Tranquilli) nacque a Pescina nella Marsica (L’Aquila) il 1° maggio 1900. Orfano di genitori e senza fratelli (ad eccezione di Romolo il minore) nel 1915 a causa del terremoto (28 mila morti) della Marsica. Proseguì gli studi in istituti religiosi a Roma grazie all’aiuto di Don Orione. Non giunse alla laurea per dedicarsi alla politica nella fila del partito socialista. Dal 1917 capeggia le prime Leghe rosse dei contadini abruzzesi. Diventa direttore del settimana socialista e pacifista “”L’Avanguardia”” e poi redattore del ‘Lavoratore’ di Trieste. Al Congresso di Livorno (1921) aderisce al Partito comunista divenendo dirigente della Federazione giovanile. Con il fascismo, è attivista clandestino accanto a Gramsci, il Italia e all’estero. Viene incarcerato più volte ed espulso da vari paesi. Il partito lo invia a Mosca con Togliatti ma entra in dissenso con i metodi di Stalin. Nel 1930, durante le purghe staliniane, si stacca dal movimento comunista e si dedica all’attività letteraria e alla politica antifascista, socialista ed europeista. Rientra in Italia nel 1944 sostenuto dagli americani e spsa Darina Laracy stabilendosi a Roma. Muore nel 1978.”,”PCIx-329″
“DI-NICOLA Andrea MUSUMECI Giampaolo”,”Confessioni di un trafficante di uomini.”,”Andrea De Nicola insegna Crimonologia all’Università di Trento. Conduce ricerche sulle migrazioni clandestine organizzate e sulla tratta di persone a scopo di sfruttamento Giampaolo Musumeci giornalista fotografo e videoreporter si occupa di conflitti, immigrazione e questione africane per radio tv e giornali italiani e internazionali.”,”CONx-272″
“DI-NOLA Alfonso M.”,”Maometto.”,”Alfonso M. di Nola, antropologo e storico delle religioni, docente prima all’Istituto Orientale di Napoli e ora alla Terza Università di Roma, ha curato una Enciclopedia delle religioni in sei volumi edita da Vallecchi. Ha scritto: Gli aspetti magico-religiosi della cultura subalterna italiana, Il diavolo, L’Islam, La morte trionfata, La nera signora.”,”RELx-004-FL”
“DI-NOLFO Ennio”,”Storia delle relazioni internazionali 1918-1992.”,”L’A (1930) professore ordinario di storia delle relazioni internazionali dal 1958, ha insegnato prima a Padova, poi a Roma presso la LUISS e poi a Firenze dove insegna tuttora presso la Facoltà di Scienze politiche ‘Cesare Alfieri’. Dirige la rivista ‘Storia delle relazioni internazionali’ ed è P della Società degli storici italiani. Ha pubblicato una ‘Storia del Risorgimento e dell’Unità d’Italia’ in tre volumi (Milano, 1959-65), ‘Mussolini e la politica estera italiana, 1919-1933’ (Padova, 1960), ‘Vaticano e Stati Uniti, 1939-1953’, ‘Le paure e le speranze degli italiani, 1943-1953’ (Milano, 1986).”,”RAIx-034″
“DI-NOLFO Ennio”,”Le paure e le speranze degli italiani, 1943-1953.”,”DI-NOLFO Ennio, ordinario di storia delle relazioni internazionali alla Facoltà di Scienze Politiche ‘Cesare Alfieri’ di Firenze, ha scritto di storia del Risorgimento, della politica estera di Mussolini, della diplomazia cavouriana. Ha recentemente pubblicato un volume dal titolo ‘Vaticano e Stati Uniti, 1939-1952’. Svolge una attività pubblicistica come commentatore di politica internazionale per quotidiani e settimanali. Dirige la rivista ‘Storia delle Relazioni internazionali’.”,”ITAR-019″
“DI-NOLFO Ennio”,”Storia delle relazioni internazionali 1918-1999.”,”Ennio Di-Nolfo nato nel 1930, professore ordinario di Storia delle relazioni internazionali, ha insegnato prima a Padova, poi a Roma presso la Luiss,e, in seguito, a Firenze, dove tuttora è docente presso la facoltà di Scienze politiche. Ha pubblicato: Storia del Risorgimento e dell’unità d’Italia, voll.VI-VII-VIII, Mussolini e la politica estera italiana, Europa e Italia 1855-56, Vaticano e Stati Uniti 1939-1953, Le paure e le speranze degli italiani 1939-1953.”,”RAIx-013-FL”
“DI-NOLFO Ennio RAINERO Romain H. VIGEZZI Brunello a cura; saggi di Brunello VIGEZZI Ennio DI-NOLFO Massimo DE-LEONARDIS Giorgio RUMI Giorgio GALLI Antonio VARSORI Bianca VALOTA CAVALLOTTI Romain H. RAINERO Giorgio PETRACCHI Stefano BIANCHINI Francesco CASELLA Stefano BIANCHINI Michele FRISIO Davide PINARDI Enrico DECLEVA Maria Luisa CICALESE Simona COLARIZI Ivano GRANATA Lucio CEVA”,”L’Italia e la politica di potenza in Europa (1938-40).”,”Saggi di Brunello VIGEZZI Ennio DI-NOLFO Massimo DE-LEONARDIS Giorgio RUMI Giorgio GALLI Antonio VARSORI Bianca VALOTA CAVALLOTTI Romain H. RAINERO Giorgio PETRACCHI Stefano BIANCHINI Francesco CASELLA Stefano BIANCHINI Michele FRISIO Davide PINARDI Enrico DECLEVA Maria Luisa CICALESE Simona COLARIZI Ivano GRANATA Lucio CEVA Contiene il saggio di Giorgio Galli ‘Il giudizio sull«Imperialismo» nella sinistra italiana (pag 91-103) Concetto di imperialismi democratici “”A prescindere ai riferimenti propri di un movimento di esiliati (le “”correnti antifasciste”” di Tasca; “”l’antifascismo”” di Saragat) importante ai fini della presente trattazione è la definizione di Francia e Inghilterra come «imperialismi democratici», nella quale l’aggettivo non modifica la centralità del sostantivo. A questi imperialismi democratici Saragat contrappone, con notazioni positive, lo «Stato proletario russo», definizione che egli adotta in questo periodo [1938, ndr] e che sostituisce i giudizi del 1930 (…) (Galli, p. 98)”,”ITQM-215″
“DI-NOLFO Ennio KECSKEMETI Charles JAITNER Klaus CARUCCI Paolo CHILOV Vlaceslav S. DELLA-VECCHIA Raffaele ROSSI Franco ASHTON S.R. AGOSTO Aldo PASTORELLI Pietro BULLEN Roger e PELLY Margaret CONTEL-BAREA Maria Concepcion DEGROS Maurice PETERSEN Jens SMINOVA Nina D. D’AMOJA Fulvio OUDIN-DOGLIONI C. SEDEK Marek FIORI Antonio CACCAMO Domenico MORI Giorgio e SEGRETO Luciano PETRACCHI Giorgio BONO Salvatore BOGGE Alfonso FLEURY Antoine FERRARIS Luigi Vittorio ROMANO Sergio DE-VERGOTTINI Tomaso SVOLOPOULOS Costantinos CACIOLI Manuela BITOSSI Carlo TIRELLI Vito DONTAS Domna TOLOMEO Rita MIGLIARDI O’RIORDAN Giustiniana GUIDA Francesco TRAJKOV Veselin ALCAIN Ignacio RUiz MURZAKU Thoma RUGGERI Stefania”,”Le fonti diplomatiche in età moderna e contemporanea. Atti del Convegno internazionale, Lucca, 20-25 gennaio 1989.”,”Contiene tra l’altro: – Fabio Grassi, Le relazioni consolari come fonti per la storia dell’emigrazione e del movimento operaio italiano all’estero (1861-1915) (pag 274-298) – Giorgio Mori e Luciano Segreto, Le fonti per la storia economica dell’Italia unita nei documenti diplomatici. Note ed approssimazioni (pag 299-317) – Sergio Romano, Memorialistica della seconda guerra mondiale e del dopoguerra (pag 394-403)”,”RAIx-002-FP”
“DI-NUCCI Loreto”,”Lo Stato-partito del fascismo. Genesi, evoluzione e crisi, 1919-1943.”,”DI-NUCCI L. insegna storia contemporanea e storia dei sistemi politici alla Facoltà di scienze politiche dell’Università degli Studi di Perugia.”,”ITAF-265″
“DINUCCI Gigliola”,”Una Federazione tra riformismo e sindacalismo: La Federazione Nazionale Lavoratori del Mare, 1901-1908.”,”””Comunque nell’isolamento della FNLdM giocava un ruolo non indifferente anche un altro elemento, connesso non tanto alle scelte dei suoi dirigenti quanto piuttosto alle modalità di svolgimento del lavoro dei marittimi, che, sul mare per la gran parte del tempo, rimanevano abbastanza estranei alle vicende organizzative e alle lotte dei lavoratori “”di terra”” con l’eccezione forse dei ferrovieri, per gli evidenti punti di contatto che esistevano tra le due categorie di addetti ai trasporti”” (pag 147)”,”MITT-340″
“DIOGENE LAERZIO, a cura di REALE Giovanni, collaborazione di Giuseppe GIRGENTI e Ilaria RAMELLI”,”Diogene Laerzio. Vite e dottrine dei più celebri filosofi.”,”Biografie dei curatori v. risvolto copertina Lo stile di Platone. “”Aristotele osserva che lo stile dei dialoghi di Platone è a metà tra la poesia e la prosa. Favorino, in qualche luogo, dice che Aristotele fu il solo a rimanere accanto a Platone mentre stava leggendo il dialogo ‘Sull’anima’, mentre gli altri si alzarono e se ne andarono tutti.”” (pag 339) Il metodo di Platone. “”Nel presentare le dimostrazioni delle proprie tesi, Platone si serve nella maggior parte dei casi del metodo dell’ induzione: non in un modo soltanto, per la verità, ma in duplice forma. Infatti, l’ induzione è un discorso che, per mezzo di alcuni asserti veri, inferisce in modo conveniente che è vero quello simile a se stesso. Ci sono due modalità di induzione: quella per opposizione e quella per conseguenza. (…)”” (pag 353) “”Questa è la modalità dell’ induzione mediante opposizione e scontro, di cui gli si è servito non per esporre dottrine, ma per confutarle. La modalità di induzione per conseguenza è duplice: l’una ricerca il particolare, facendo una dimostrazione per mezzo del particolare, l’ altra invece ricerca l’ universale, per mezzo dei particolari. La prima modalità è retorica; la seconda, invece, è dialettica””. (pag 353)”,”FILx-370″
“DIOGENE LAERZIO Diogene, a cura di Marcello GIGANTE”,”Vite dei filosofi. Volume I. Libri I-VII.”,”Dioniso una volta gli chiese perché i filosofi vanno alle case dei ricchi e i ricchi non vanno a quelle dei filosofi, ed egli [Aristippo] rispose: “”Perché gli uni sanno di che cosa hanno bisogno, gli altri non sanno””. Una volta Platone lo rimproverò per la sua vita sfarzosa, ed egli disse: “”Ti pare che Dionisio sia un uomo buono?””. E poiché Platone rispose affermativamente, egli disse: “”Eppure vive più sontuosamente di me; dunque, nulla impedisce di vivere ad un tempo sontuosamente e bene”””” (pag 72) “”Poiché un tale si vantava della sua erudizione, egli [Aristippo] disse che come coloro che mangiano moltissimo non sono più sani di quelli che portano alla bocca quanto è necessario, così non eccellono quelli che leggono molto, ma quelli che fanno utili letture”” (pag 72)”,”FILx-475″
“DIOGENE LAERZIO Diogene, a cura di Marcello GIGANTE”,”Vite dei filosofi. Volume II. Libri VIII-X.”,”Eraclito: “”Tutto si forma dal foco e in esso si risolve. Tutto diviene secondo una fatale necessità e le cose che sono si compongono in armonia per mezzo di ricorrenti opposizioni”” (pag 354) “”la vista è ingannevole”” (pag 354) “”Il divenire di tutte le cose è determinato dal conflitto degli opposti e tutte le cose dell’universo scorrono a guisa di fiume; il tutto è finito e costituisce un unico cosmo. Il cosmo si genera dal fuoco e di nuovo si risolve nel fuoco, periodicamente; questo processo, che sempre si ripete con costante alternanza nel corso perenne del tempo, accade secondo una fatale necessità. Degli opposti quello che porta alla genesi si chiama guerra e contesa, l’altro che porta alla conflagrazione si chiama concordia e pace, e il mutamento è una via in su e in giù, a cui si deve la formazione del cosmo”” (pag 355)”,”FILx-476″
“DION Michel”,”Etat, église et luttes populaires.”,”DION è incaricato di ricerca al CNRS e membro del Gruppo di sociologia delle religioni del CNRS e dell’ EHESS.”,”FRAD-040″
“DION Léon”,”I gruppi e il potere politico negli USA.”,”‘Dalla sintesi delle ricerche e degli scritti sull’ integrazione tra gruppi privati e agenti politici attraverso una continua apertura problematica sulla realtà socio-politica e sui metodi di studio si pone finalmente in modo non stereotipato il problema se la teoria dei comportamenti e dei processi politici si presenterà come un dittico con due poli: i gruppi e la leadership politica.’ Nato nel 1923, DION svolse studi all’ università di Laval di Quebec. Poi proseguì a Londra, a Parigi, a Colonia e a Zurigo. Dal 1960 è Direttore del dipartimento di scienze politiche all’ Università Laval. “”Ma il grado di adesione dei candidati ai programmi dei partiti varia secondo i regimi politici. Nei regimi di responsabilità ministeriale a struttura unitaria questa dipendenza può essere quasi assoluta, come in specie il caso della Gran Bretagna. Nei paesi a carattere federativo, benché i candidati debbano aderire ai programmi di partito, questo tuttavia si adatta ai particolarismi regionali o provinciali, in modo che i candidati di uno stesso partito possono, da una regione all’ altra avere opinioni diverse su certi punti talvolta importanti.”” (pag 49) aggiungere CANADA”,”USAS-139″
“DIONE Cassio”,”Storia romana. Volume terzo.”,”Considerato uno tra gli storici più importanti del cosiddetto “”periodo romano”” della letteratura greca, Cassio Dione è ancora poco noto fuori della cerchia degli specialisti. Nato a Nicea, in Bitinia, Cassio Dione visse a cavallo fra il II e il III secolo d.C., e militò con alterna fortuna nei ranghi delle alte gerarchie statali. Vide i regni di Commodo, di Settimio Severo, di Caracalla; conobbe le stravaganze e le efferatezze di Elagabalo; fu amico e consigliere di Severo Alessandro. Cassio Dione è uno storico coscienzioso e chiaro”,”STAx-129-FL”
“DIONE Cassio”,”Storia romana. Volume quinto.”,”Considerato uno tra gli storici più importanti del cosiddetto “”periodo romano”” della letteratura greca, Cassio Dione è ancora poco noto fuori della cerchia degli specialisti. Nato a Nicea, in Bitinia, Cassio Dione visse a cavallo fra il II e il III secolo d.C., e militò con alterna fortuna nei ranghi delle alte gerarchie statali. Vide i regni di Commodo, di Settimio Severo, di Caracalla; conobbe le stravaganze e le efferatezze di Elagabalo; fu amico e consigliere di Severo Alessandro. Cassio Dione è uno storico coscienzioso e chiaro.”,”STAx-130-FL”
“DIONISOTTI Carlo”,”Machiavellerie.”,”Carlo Dionisotti nato a Torino nel 1908 ha studiato in città conseguendo la laurea in lettere nel 1929. Ha insegnato nelle scuole medie e nelle Università. Ha pubblicato testi del Bembo, e tra l’altro il volume ‘Geografia e storia della letteratura italiana’. Ripresentando al pubblico l’edizione del Fiorini (commento del Fiorini) dei primi tre libri delle ‘Istorie fiorentine’, Delio Cantimori ebbe a fare il punto sui moderni studi riguardanti l’opera maggiore di Machiavelli storico. Cantimori ha definito i meriti, i limiti e lei inevitabili pecche di quel commento che bene si inquadra sullo sfondo della scuola fiorentina del Villari…’ (pag 365)”,”ITAG-006-FSD”
“DIOUF Mamadou a cura; saggi di Gyan PRAKASH Dipesh CHAKRABARTY Partha CHATTERJEE Gayatri CHAKRAVORTY SPIVAK Veena DAS Gyanendra PANDEY Shahid AMIN Partha CHATTERJEE Gyanendra PANDEY Nira WICKRAMASINGHE Frederick COOPER”,”L’ historiographie indienne en débat. Colonialisme, nationalisme et sociétés postcoloniales.”,”Saggi di Gyan PRAKASH Dipesh CHAKRABARTY Partha CHATTERJEE Gayatri CHAKRAVORTY SPIVAK Veena DAS Gyanendra PANDEY Shahid AMIN Partha CHATTERJEE Gyanendra PANDEY Nira WICKRAMASINGHE Frederick COOPER “”Prises dans leur totalité, ces histoires indiquent jusqu’à quel point les idées relatives au ‘pratap’ de Gandhi, ainsi que la réception de son message, ont puisé dans les croyances et pratiques populaires hindoues et dans la culture de l’environnement physique du monde paysan. Le fait que ces rumeurs fussent relatées dans l’hedbomadaire nationaliste local ne reflète-t-il pas que le parties qui les diffusaient avec zèle y trouvaient un certain intérêt? Il est vrai que ces rumeurs entrent dans nos sources au moment où un correspondant les communiquent au ‘Swadesh’. Mais l’on ne doit pas en conclure que ces rumeurs n’ont pas eu une existence propre antérieure et indépendante de leur publication. La preuve qu’elles circulaient dans tous les villages de Gorakhpur nous est fournie par la couverture et le démenti dont ils ont fait l’objet dans le mensuel antinationaliste ‘Gyan Shakti’. Il n’y a aucun doute que le fait ue le journal local ‘Swadesh’ ait relaté ces rumeurs a contribué à les faire circuler et à les rendre crédibles. Dans son étude de la peur dans le monde rural de la France révolutionnaire, Georges Lefèbvre note que les journalistes donnent aux rumeurs: “”une nouvelle force… en les couchant sur papier””.”” (pag 344)”,”INDx-094″
“DIOZZI Ferruccio”,”Amadeo Bordiga. Un ritratto politico.”,”Ferruccio Diozzi (Napoli, 1954), ‘information manager’, in diversi contesti organizzativi, saggista e studioso di problemi di storia del socialismo ha al suo attivo circa 250 pubblicazioni tra cui 5 libri. Ricopre o ha ricoperto cariche in diverse associazioni scientifiche ed è attualmente direttore di “”AIB Notizie””, rivista dell’Associazione Italiana Biblioteche. “”Il gruppo de ‘Il Soviet’ concentrava infatti i suoi sforzi sulla costruzione di una nuova organizzazione politica rivoluzionaria, anche se, almeno fino a un certo momento, lo stesso Bordiga ritenne possibile il rinnovamento del partito socialista. Una delle condizioni pregiudiziali per tale rinnovamento era però l’abbandono del terreno elettorale. L’astensionismo rappresentava una reazione all’elettoralismo dei vertici del Psi che avrebbe condizionato tutta la politica di Bordiga. Era il prodotto di una certa schematizzazione ideologica e della pretesa di dedurre la tattica politica dai principi marxisti, sottovalutando la necessità di mediare tra principi e situazioni concrete e avrebbe portato a uno isterilimento complessivo del bordighismo (12). (…)”” (pag 18-19) Dalla scheda bibliografica (ISC0): Amadeo Bordiga. Un ritratto politico’ è il libro pubblicato da Dante & Descartes che sarà al centro del dibattito nella Libreria Spartaco, in via Martucci 18 a Santa Maria Capua Vetere (Ce), venerdì 20 settembre alle 18, per il ciclo ‘Scrittori in carta e ossa. Una sera con”. L’autore, Ferruccio Diozzi, converserà con Paolo Mandato, Pio Forlani e Sergio Vellante. Modera Angelina Della Valle. Il pensiero e l’azione politica di Amadeo Bordiga sono rimasti per lunghi decenni poco conosciuti. L’allontanamento dalla guida del Partito comunista fu determinante per spingere nell’ombra una figura suggestiva della storia del Movimento Operaio e Socialista, italiano ed internazionale. Eppure, nel periodo che precede la grande guerra e poi sino all’avvento ed al consolidamento del fascismo, Bordiga fu un protagonista indiscusso, un socialista ‘radicale’, promotore della fondazione del Partito Comunista d’Italia in anni cruciali del secolo breve. Oggi, quando né di Bordiga né dei suoi grandi antagonisti si parla più, questo saggio si propone di rinnovare l’attenzione su una personalità politica di grande spessore, ricordandone il ruolo nella storia di un Paese troppe volte senza memoria. Altra presentazione: Alla Biblioteca Universitaria di Napoli il 5 febbraio, ore 16.00, presentazione del libro di Ferruccio Diozzi: Amadeo Bordiga. Un ritratto politico. Dante & Descartes, 2018. Ne discuteranno Gianni Cerchia, Nino Daniele, Ernesto Paolozzi, moderati da Raffaele De Magistris, a partire dal libro di Ferruccio Diozzi. [Giovanni Cerchia Docente di Storia Contemporanea – Università degli Studi del Molise; Nino Daniele Assessore alla Cultura e al Turismo del Comune di Napoli; Ernesto Paolozzi Docente di Storia della Filosofia Contemporanea Università degli Studi Suor Orsola Benincasa di Napoli; modera Raffaele De Magistris Direttore della Biblioteca Universitaria di Napoli] L’autore. Ferruccio Diozzi è nato il 5 dicembre 1954 a Napoli dove vive. E sposato e ha una figlia. Dopo gli studi classici ha conseguito la laurea con lode in sociologia. Dal 1977 ha lavorato in diversi contesti organizzativi (RAI-Radio 3; Comune di Genova, Assessorato al Personale; Scuola Superiore delle Pubblica Amministrazione). Dal 1983 è nel mondo delle biblioteche e dell’informazione: prima alla Biblioteca Universitaria di Napoli, poi, dal 1989, al CIRA, Centro Italiano Ricerche Aerospaziali, di Capua dove è responsabile del Centro Documentazione del CIRA, Centro Italiano Ricerche Aerospaziali. Ha ricoperto e ricopre incarichi in diverse associazioni culturali e professionali, tra le altre ‘Amici di città della Scienza’, di cui è socio fondatore e presidente. Docente in ambito universitario e scuole di alta formazione, è autore di circa 250 pubblicazioni scientifiche, tra cui sei libri, e ricopre o ha ricoperto cariche direttive e rappresentative in diverse associazioni professionali (direttore responsabile ‘AIB Notizie’, presidente nazionale AIDA, Associazione Italiana Documentazione Avanzata, membro del Comitato esecutivo nazionale AIB, presidente AIB Regione Campania). E stato esperto dell’Unione Europea nell’ambito del progetto ESCO (European Skills/Competences, qualifications and Occupations), finalizzato a costruire una semantica delle professioni e facilitare l’incontro tra la domanda e l’offerta di lavoro. (20 Settembre 2019)”,”BORD-172″
“DIPALO Francesco”,”Eraclito “”Vivere significa morire””. I frammenti sull’anima e la cosiddetta “”escatologia”” eraclitea.”,”””Ho indagato me stesso”” (fr. 101) Per una bibliografia completa di Eraclito fino all’anno 1984 si veda ‘Eraclito. Bibliografia 1970-1984 e complementi’ a cura di L. Rossetti F. De Martino e P. Rosati, Esi, Napoli, 1986 La legge dell’ impermanenza “”è il filosofo, colui che, avendo indagato se stesso e la natura, si erge a testimone del perpetuo trapassare di ogni cosa nel suo contrario. I più, affidandosi al tadizionale modus opinandi, si muovono in un mondo fantastico composto di esseri (?????) o di essenze (??????) immutabili, sostanziali. Gli uomini cercano una stabilità ontologica in grado di rassicurarli. Contra questa falsa ontologia si leva il filosofo (???? ?’ ????? ????????????), scuotendo le certezze dei più. “Tutto scorre” e una verità che fa venire le vertigini e lascia disorientati, senza punti di riferimento. Nulla permane immutato, ogni cosa finisce. La vita deve morire affinché possa vivere: non c’è scampo. Alla vecchia ontologia fondata sul “possesso” continuo e durevole di un bene (????? prima di valere per “sostanza”, “essenza”, significava gli “averi”, i “beni “, la “fortuna”, ossia ciò che è precipuo nella forma mentis della plebe inurbata che deve il proprio potere esclusivamente alla ricchezza accumulata), di cui è il principale avversario, l’uomo di ragione deve sostituire la nuova dottrina dell’eterno cangiamento cosmico e farsene custode vigile. Eroe, più del combattente valoroso, e chi dice di sì a questa vita in tutta la sua tragicità, non rifugiandosi vigliaccamente in rassicuranti oltremondi fantastici. Colui che è cosciente del ?????, vive momento per momento conformandosi al ritmo del fluire di tutte le cose, senza dover rincorrere l’attimo sfuggente. Egli è lì, presente a se stesso. Ma i più agiscono e parlano come se stessero dormendo (fr.73), rincorrono le proprie illusioni e non trovano mai se stessi. Venendo meno qualsiasi saldo appiglio esistenziale, ovvero ogni permanente sostanza (sia in senso ontologico che etico), il saggio lascia passare dinanzi a sé le cose individue, non si attacca a nessuna ?????: l’unica cosa che permane è la legge dell’impermanenza, sempre vera, sempre identica a se medesima (la nuova stabilità)”” Francesco Dipalo Ho studiato filosofia presso l’Università degli Studi di Roma ‘La Sapienza’ e mi sono laureato nel 1990, relatore il prof. Gabriele Giannantoni, con una tesi in storia della filosofia antica intitolata “”Vivere significa morire: analisi di alcuni frammenti eraclitei””. Sono socio della SFI – Società Filosofica Italiana di cui curo il sito web. Da alcuni anni mi interesso di Pratiche Filosofiche e Consulenza Filosofica, collaborando con riviste scientifiche del settore, sulle quali ho all’attivo decine di pubblicazioni. Dal 2004 svolgo la professione di Consulente Filosofico e ho promosso una serie di iniziative filosofiche (Caffè Philo, Dialogo Socratico, Seminari di gruppo) aperte al pubblico. Attualmente insegno filosofia e storia presso il Liceo “”I. Vian”” di Bracciano (Liceo Classico sezione X). Utilizzo la filosofia in pratica sia durante le lezioni ordinarie che in altre “”straordinarie”” occasioni (passeggiate filosofiche nel bosco, dialoghi socratici a tema, ecc.). A scuola provo a tener aperto uno “”sportello”” di consulenza filosofica rivolto ai grandi ed ai meno grandi.”,”FILx-006-FGB”
“DI-PASQUANTONIO Filippo”,”La nazionalizzazione dell’industria elettrica.”,”””Il lato critico decisivo delle nazionalizzazioni in Inghilterra è dato dall’ammontare degli indenizzi pagati ai privati. Fatta eccezione dei settori del gas e dell’elettricità, gli indennizzi corrisposti per le miniere di carbone e per le ferrovie furono eccessivi. Ciò ha posto degli oneri finanziari elevati a carico degli enti di gestione di tali industrie, oneri che si sommano a quelli relativi agli investimenti (…)”” (pag 217)”,”ITAE-429″
“DI-PERI Rosita”,”Il Libano contemporaneo. Storia, politica, società.”,”DI-PERI Rosita è professore a contratto di storia dei paesi islamici presso l’Università degli Studi di Torino e collabora con il Dipartimento di studi politici della stessa università. E’ membro dell’associazione SESAMO (Società per gli Studi sul Medio Oriente). “”Gli accordi di Ta’if hanno, tuttavia, ridisegnato un nuovo equilibrio confessionale che, nonostante i suoi limiti, ha consentito al Libano di superare un momento critico della sua storia. L’approccio non è nuovo: già a partire dall’emirato la storia di questo paese ha rappresentato un ‘continuum’ di varie e laboriose formule di coesistenza che, prese insieme, hanno funzionato per un considerevole periodo di tempo. Se si guarda a questo equilibrio, si può vedere come esso sia sempre stato caratterizzato da un bilanciamento di poteri locali, cui veniva data un’espressione formale: nel momento in cui il bilanciamento cambiava, il sistema collassava. In questo senso è possibile affermare che uno degli errori fondamentali commessi dalla classe dirigente libanese fu quello di non aver saputo costruire istituzioni in grado di tenere conto dei processi di cambiamento in corso a livello sociale, approntando soluzioni per affrontare la crisi.”” (pag 121)”,”VIOx-180″
“DIPPEL Horst”,”Storia degli Stati Uniti.”,”Horst Dippel è professore di British and American Studies all’Università di Kassel.”,”USAG-009-FL”
“D’IPPOLITO Bianca Maria”,”Il sogno del filosofo: su Dilthey e Husserl.”,”L’autrice affronta in questo libro il breve ma importante carteggio tra Dilthey e Husserl all’indomani delle severe critiche husserliane alla teoria diltheyana delel visioni del mondo… Wilhelm Dilthey (1833-1911) è stato un filosofo e storico tedesco, noto per il suo contributo allo storicismo contemporaneo. Nato a Biebrich, Renania, il 19 novembre 1833, Dilthey ha insegnato in diverse università, tra cui Basilea, Kiel, Breslavia e Berlino. Dilthey è famoso per aver cercato di distinguere le scienze umane (Geisteswissenschaften) dalle scienze naturali (Naturwissenschaften), proponendo una “Critica della ragione storica” e sviluppando una filosofia delle visioni del mondo (Weltanschauungsphilosophie)3. La sua opera principale è “Einleitung in die Geisteswissenschaften” (Introduzione alle scienze dello spirito), pubblicata nel 1883′ (copil.) Edmund Husserl (1859-1938) è stato un filosofo e matematico tedesco, noto come il fondatore della fenomenologia. Nato l’8 aprile 1859 a Prossnitz, in Moravia (oggi Prostejov, Repubblica Ceca), Husserl ha studiato matematica e fisica presso le università di Lipsia e Berlino, laureandosi con una tesi sul calcolo delle variazioni sotto la guida di Karl Weierstrass. Dopo aver lavorato come assistente di Weierstrass, Husserl si avvicinò alla filosofia grazie all’influenza di Franz Brentano, con cui studiò a Vienna tra il 1884 e il 18862. Successivamente, Husserl insegnò filosofia a Gottinga e a Friburgo, dove sviluppò e perfezionò la sua teoria fenomenologica. La fenomenologia di Husserl si propone di studiare le strutture dell’esperienza e della coscienza, cercando di descrivere i fenomeni così come appaiono alla coscienza, senza pregiudizi o assunzioni teoriche2. Tra le sue opere principali si annoverano “Ricerche logiche” (1900-1901) e “Idee per una fenomenologia pura e per una filosofia fenomenologica” (1913). (copil.)”,”FILx-001-FMB”
“DI-QUAL Anna”,”Eric J. Hobsbawm tra marxismo britannico e comunismo italiano.”,”Questo lavoro investiga sull’affinità elettiva tra Hobsbawm e l’Italia. Studia le relazioni tra Hobsbawm e gli intellettuali, il PCI, le case editrici italiane. Anna Di Qual, addottorata in studi storici presso l’Università di Padova, Venezia e Verona. Ha studiato biografie e memorie di partigiani comunisti (Aulo Magrini, 2007). Si è occupati di politiche della memoria e di usi pubblici del passato (‘Revisionismo leghista, 2014 e ‘Il tricolore benedetto’, 2016).”,”STOx-008-FGB”
“DI-QUIRICO Roberto”,”Le banche italiane all’estero, 1900-1950. Espansione bancaria all’Estero e integrazione finanziaria internazionale nell’Italia degli anni tra le due guerre.”,”Roberto Di Quirico (Montecatini Terme, 1964), si è laureato all’Università di Pisa nel 1993 con una tesi di storia economica sull’espansione all’estero della Banca Commerciale italiana negli anni venti. Nel 1998 ha conseguito il Ph.D. in Storia e Civiltà presso l’Istituto Universitario Europeo di Fiesole (FI) difendendo una dissertazione sul processo di internazionalizzazione del sistema bancario italiano negli anni tra le due guerre, è attualmente titolare di un assegno di ricerca presso il Dipartimento di Storia Moderna e Contemporanea di Pisa.”,”ITAE-156-FL”
“DI-RIENZO Eugenio”,”Un dopoguerra storiografico. Storici italiani tra guerra civile e Repubblica.”,”Eugenio DI-RIENZO insegna Storia moderna presso l’ Università di Salerno. Venuta meno, a partire dal 1925, l’ unità d’ intenti che coinvolse fino alla Grande Guerra intellettuale diversi (Volpe, Salvemini, Croce, Gentile) nel progetto di una disciplina storia a impianto nazionale, l’ organizzazione autoritaria degli studi attuata dal fascismo determinò uno scontro tra storici, presto degenerato in lotta armata nell’ ultimo scorcio del ventennio. Dopo il 25 aprile 1945, la resa dei conti con la dittatura portò all’ epurazione culturale, premessa di una nuova violenta (non cruenta) ‘guerra civile’ tra gli storici di varie correnti. Conformismo e trasformismo degli intellettuali. “”””Ci si scusa parlando di buona fede, di illusione, ma allora è difficile levarsi il segno di scarsa intelligenza e sensibilità storica, politica e anche morale, di fronte a certe manifestazioni di quel regime; oppure ci si scusa trovandoci in molti, i più, con una sorta di deteriore, non so bene se realismo politico o storicismo, ravvisando nel fascismo la forma intellettuale adeguata al popolo italiano in una determinata fase storica. Ma che razza di intellighenzia, di élite, di classe dirigente è questa che si conforma sempre, mosca cocchiera, al fatto compiuto? Cosa aspetta per diventare anche bolscevica (come infatti, molti, anticipando, hanno fatto)? (Sestan a Tristano Bolelli, 20 agosto 1953). Con eguale severità, Croce avrebbe stigmatizzato la stagione del trasformismo politico e intellettuale del nostro primissimo secondo dopoguerra, parlando di quei non pochi “”professori”” che “”diventarono corteggiatori e servitori del fascismo”” e che ora “”si sono convertiti in bolscevichi, o, come si chiamano, in marxisti”” e segnano “”i loro posti in una possibile rivoluzione, e, se questa non avverrà, niente di male, perché (diranno a loro scusa), chi vorrà rimproverarli dell’ essersi lasciati illudere dal sogno generoso di una redenzione sociale””. (pag 15)”,”STOx-097″
“DI-RIENZO Eugenio GIN Emilio”,”Le potenze dell’asse e l’Unione Sovietica, 1939-1945.”,”Eugenio Di Rienzo, direttore di ‘Nuova Rivista Storica’, insegna Storia Moderna presso l’Università di Roma La Sapienza. Tra i suoi lavori più recenti ricordiamo: ‘La storia e l’azione. Vita politica di Gioacchino Volpe’, 2008; ‘Napoleone III’, 2010, ‘Il Regno delle Due Sicilie e le Potenze europee, 1830-1861’, 2012. Emilio Gin è ricercatore di Storia Contemporanea presso l’Università degli Studi di Salerno. Tra le sue opere ricordiamo ‘Santa Fede e congiura anti-repubblicana’, 1999; ‘Sanfedisti, carbonari, magistrati del re. Il Regno delle Due Sicilie tra Restaurazione e Rivoluzione’, 2003; ‘L’ora segnata dal destino. Gli Alleati e Mussolini da Monaco all’intervento (settembre 1938 – giugno 1940)’, 2012. All’interno del volume viene molto citato il trio di ministri degli esteri Galeazzo Ciano – Molotov – Ribbentrop “”Il 27 luglio, queste favorevoli premesse consentivano al Commissario del Popolo per il Commercio interno ed estero, Anastas Ivanivc Mikoyan, di alzare la posta del gioco e di comunicare a Rosso che «per dare agli scambi italo-sovietici tutta la desiderata ampiezza, occorreva un chiarimento “”completo”” delle relazioni tra i due paesi e un “”accordo politico”” come era avvenuto fra URSS e Germania» (203). Questa mossa sembrava preparare il terreno al colloquio fiorentino del 28 ottobre 1940, durante il quale il ‘Führer’ informava Mussolini del suo piano tendente a «indirizzare il dinamismo sovietico verso le Indie, per ridimensionare le pretese nei confronti di Finlandia e Romania», in modo da completare il riavvicinamento della Russia all’Asse e ai suoi potenziali alleati con l’obiettivo di costituire un blocco anti-occidentale esteso anche all’Impero nipponico e alla Spagna. Il progetto di una «Coalizione planetaria», destinata a distruggere il predominio anglo-sassone, incontrava il pieno gradimento del Duce, il quale si dichiarava favorevole all’ipotesi, suggeritagli da Ribbentrop, di un formale protocollo d’intesa che doveva essere sottoscritto in un prossimo futuro tra Molotov e i Ministri degli Esteri della Germania, dell’Italia, del Giappone (204). Eurasia versus Oceania. La possibilità di realizzare questo grandioso disegno strategico faceva un importante passo avanti, il 15 novembre del 1940, quando Molotov di ritorno dalla capitale tedesca persuadeva Stalin della convenienza di far aderire l’URSS, come «Potenza non belligerante», a uno strettissimo accordo di collaborazione politica e di assistenza economico-militare con gli Stati aderenti al Patto Tripartito. Accordo che era stato abbozzato nelle grandi linee durante il recente ‘meeting’ berlinese (205), a conclusione di lunghe e complesse trattative iniziate il 25 settembre (206). Il 12 novembre, Ribbentrop aveva, infatti, comunicato a Molotov che, se Mosca avesse siglato una «dichiarazione di solidarietà con le Potenze dell’Asse», si sarebbero potute stabilire definitivamente le rispettive sfere d’influenza delle nazioni firmatarie dell’intesa. Il Giappone doveva espandersi verso l’Estremo Oriente, l’Italia verso il Mediterraneo e l’Africa settentrionale, la Germania verso quella centrale. Alla Russia erano garantite una sostanziale revisione della Convenzione di Montreux del 20 luglio 1936, per quello che riguardava il libero transito del proprio naviglio militare attraverso i Dardanelli, il Mar di Marmora e il Bosforo (207), e la possibilità di proiettarsi, senza intralci, in direzione del Mar Rosso, del Golfo Persico, del Mar Arabico fino al Golfo del Bengala (208). Nel corso dei colloqui, Hitler puntualizzava che il ‘Reich’ non nutriva alcuna ambizione territoriale sui territori russi, né sulla Turchia, né sulla Grecia, né sui Balcani, né sul Baltico, nei riguardi del quale «i suoi interessi erano puramente economici e diretti a prevenire un intervento britannico». Per quello che riguardava la Finlandia, il Führer approvava l’intenzione di Mosca di restringere i suoi recenti acquisti territoriali del marzo 1940 e quindi di ripresentare i termini della convenzione proposta a Helsinki nell’autunno del 1939, garantendo a Molotov che la nazione finnica sarebbe dovuta rientrare, in ogni caso, nell’«area di egemonia sovietica». La Romania, infine, dopo essere stata mutilata della Bessarabia e della Bucovina settentrionale, a favore dell’URSS, il 3 luglio 1940 (209), doveva usufruire della garanzia militare dell’Asse fino al termine del conflitto, mentre si escludeva la possibilità che la Russia potesse stabilire un protettorato sulla Bulgaria, in considerazione del fatto che le sue prerogative sul Mar Nero sarebbero state sufficientemente tutelate dal futuro controllo degli Stretti (210). Nella giornata successiva, Ribbentrop aggiungeva che quello che più premeva alla Germania era di «favorire tutte le possibili aspirazioni russe in direzione dell’India», in modo da colpire al cuore la potenza economica dell’Impero inglese (211). La «Quadruplice alleanza» avrebbe dovuto portare, infatti, alla creazione di un blocco geopolitico, capace di abbracciare l’Europa, l’Asia, l’Africa, dall’Atlantico al Pacifico, all’Oceano Indiano. Sarebbe così nata una ‘Welt Koalition’ invulnerabile sul piano militare, della quale persino il massimo sforzo della Gran Bretagna, con tutti i suoi ‘Dominions’, e degli Stati Uniti, con i Paesi dell’America Latina, non avrebbe potuto bilanciare la potenza. La Russia e il ‘Reich’, aveva comunicato Ribbentrop a Molotov, già nell’agosto del 1939, riportando testualmente una dichiarazione di Hitler, dovevano, infatti, prepararsi per tempo a porre le basi di «una difesa emisferica contro l’aggressione americana che si sarebbe sicuramente concretizzata tra il 1970 e il 1980 (212). (…)”” (pag 126-130) [(203) M. Toscano, ‘Una mancata intesa italo-sovietica nel 1940 e 1941’, cit., pp: 50-51; (204) Ivi, p. 71. Durante l’abboccamento, Hitler aveva però aggiunto che, mentre l’alleanza tra Germania e Italia era iscritta nell’ordine delle cose, quella con la Russia doveva restare confinata tra le necessità di ordine meramente strategico; (205) V. Volkov, ‘Quando Stalin voleva allearsi con Hitler. Le trattative fra Urss e Terzo Reich nel 1940’, in “”Ventunesimo Secolo””, 2, 2003, 3. pp. 9-33; (206) ‘Nazi-Soviet Relations. Documents from the Archives of the German Foreign Office’, cit., pp. 195 ss; (207) La Convenzione di Montreux, firmata da Turchia, Grecia, Romania, Francia, Gran Bretagna, fu poi sottoscritta anche dall’Italia, il 2 maggio 1938. (…); (208) ‘Captured German Documents throwing light on German-Soviet Relations’, cit., p. 12; (209) G. Caroli, ‘La Romania nella politica estera italiana, 1919-1965’, cit., pp: 274 ss. (…); (210) ‘Captured German Documents throwing light on German-Soviet Relations’, cit., pp. 13-14; (211) Ivi, p. 15; (212) Ivi, p. 3. Sulla determinazione di Hitler di evitare uno scontro prematuro con gli USA, prima della conclusione dell’alleanza nazi-bolscevica, si veda S. Friedländer, ‘Prelude to Downfall: Hitler and the United States, 1939-1941, Paragon House, London, New York, 1967]”,”QMIS-244″
“DI-RIENZO Eugenio”,”Il sistema della finanza pubblica dall’«ancien régime» alla rivoluzione in Marx.”,” Dibattito sulla transizione dal feudalesimo al capitalismo. “”A questo proposito – pur tenendo ben presenti le più recenti acquisizioni di Braudel e Wallerstein sull’argomento – non si può non partire, ancora oggi, dalla polemica Dobb-Sweezy. Se il feudalesimo era già morto prima che il capitalismo nascesse, ne consegue infatti che il periodo d’intervallo – la “”transizione”” del XVI secolo – non fu una semplice mescolanza di feudalesimo e capitalismo, ma qualche cosa di diverso e specifico. (…) L’interpretazione di Marx è che i due processi per così dire si sovrappongano (…)”” (pag 414-415) “”Ma se l’entusiasmo del giovane Marx per la ‘Grosse Revolution’ si infrange sotto gli occhi del Marx maturo, resosi conto di avere a che fare con un evento così ambiguamente contraddittorio nei confronti della nuova società capitalistica e con una sua descrizione in chiave di economia politica, riappare insistentemente, invece, nella sua meditazione tutta l’importanza del nodo finanza pubblica – circolazione monetaria – capitalismo cosè drammaticamente messo in evidenza dai teorici della finanza rivoluzionaria della fine del Settecento”” (pag 428)”,”STOx-321″
“DI-RIENZO Eugenio”,”Il «Gioco degli Imperi». La Guerra d’Etiopia e le origini del secondo conflitto mondiale.”,”Comitato direttivo Francesco CACCAMO Jordi CANAL Franco CARDINI Valdo FERRETTI Emilio GIN Eduardo GONZALES CALLEJA Salvatore CIRIACONO Francesco GUIDA Jean Clément MARTIN Luca SCUCCIMARRA Luciano ZANI, redazione Marcello RINALDI, Fabrizio RUDI, Ida Xoxa “”Se Chamberlain gioiva, anche il Duce, però si rallegrava per l’esito delle conversazioni di Palazzo Venezia (colloqui Chamberlain-Mussolini, ndr) che gli avevano consentito di cloroformizzare Francia e Inghilterra e di guadagnare, così, il tempo necessario per organizzare, da posizioni di maggior forza, l’offensiva revisionista contro l’ordine di Versailles. Offensiva la cui ‘ratio’ fu esposta, il 5 febbraio, nella ‘Relazione del Capo del Governo Benito Mussolini al Gran Consiglio del Fascismo’, partendo da una premessa di carattere squisitamente geopolitico. In quel preambolo Mussolini sosteneva che l’Italia non doveva proporsi «obiettivi continentali d’ordine territoriale europeo, salvo l’Albania». Egli insisteva, però, sulla necessità di conquistare, grazie all’intesa politica con la Germania, il libero accesso agli Oceani, negatole dalle vecchie Potenze marittime che, in possesso di formidabili posizioni strategiche, dal Tirreno all’Africa settentrionale, all’estremità meridionale del territorio iberico, potevano inoltre contare sul sostegno di fedeli satelliti nel Mediterraneo orientale e meridionale per assediare il nostro Paese nel suo stesso mare. (…) Arrivati alla rubrica del «che fare?», la montagna costruita dal Capo del governo italiano partoriva, però, un topolino. (…) Almeno provvisoriamente, dunque, un pallido raggio di sole era tornato a forare la coltre di nubi temporalesche che oscuravano il cielo delle relazioni italo-britanniche. Restava il fatto, però, che l’avanzatissima pianificazione dell”Operation Dodecanese’ aveva testimoniato come, a meno di un anno dallo scoppio del secondo conflitto mondiale, il Regno Unito fosse più preoccupato della crescente presenza politica e militare della «Nuova Roma» nel Mediterraneo e nel Mar Rosso e di una potenziale cooperazione italo-sovietica nell’Egeo e sullo scacchiere mediorientale che dalla minaccia tedsca. E ciò anche quando ormai la marcia di accostamento tra Regno d’Italia e Terzo ‘Reich’ aveva prodotto risultati forse irreversibili. L’Italia si era ormai, infatti, inoltrata nel cammino che l’avrebbe portata, con l’adesione al Patto d’Acciaio, al ‘kiss of death’ con il regime hitleriano. Si trattò di un itinerario, che comportò per la parte italiana gravissimi «timori e incertezze» (24), e che fu segnato sicuramente dalla colpevole superficialità di Ciano ma anche dalla malafede e dal sistematico inganno con cui Hitler e Ribbentrop irretirono il Duce e i suoi più stretti collaboratori in un’alleanza perversa e disastrosa (25). Fu quella un’alleanza che sottrasse progressivamente all’Italia quella funzione di “”ago della bilancia””, nell’Europa balcanica che, dopo l’agosto-settembre 1939, Palazzo Chigi invano cercò di rivendicare (26). Eppure quel «ruere in servitutem» nelle spire dell’iddra nazista non costituì un percorso obbligato e rettilineo che non prevedeva, da parte del governo di Roma, la possibilità di scelte radicalmente diverse, le quali, se compiutamente sperimentate e favorite dal successo, avrebbero potuto condurre, prima del 10 giugno 1940, a ben differenti esiti della dinamica internazionale. Per tutto il lungo periodo della non belligeranza, quando gli Alleati, insieme alla Turchia, erano ancora indecisi se considerare il nostro Paese come un futuro avversario, un benevolo neutrale o addirittura un possibile alleato (27), Mussolini continuò a pensare di poter ottenere il via libera alla «marcia verso gli Oceani», imbastendo con Londra e Parigi trattative che prevedevano, in cambio della promessa di non scendere in campo a fianco del ‘Reich’, concessioni in Tunisia e nel Corno d’Africa ma soprattutto la partecipazione dell’Italia alla gestione del Canale di Suez, la smilitarizzazione e non già l’acquisto della Corsica, l’internazionalizzazione di Gibilterra, la piena libertà di navigazione nel Mediterraneo (28).”” [(24) R. De Felice, Mussolini il duce. II. Lo stato totalitario, 1936-40′, pp. 467 ss.; (25) M. Toscano, ‘Le origini del Patto d’Acciaio, Firenze, Sansoni, 1948. (…); (26) E. Di Rienzo E. Gin, ‘Le potenze dell’Asse e l’Unione Sovietica, 1939-1945’, pp. 84 ss.; (27) Ivi, pp. 68 ss. Si veda anche D.C. Watt, ‘How War Come: The Immediate Origins of the Second World War, 1938-1939’, New York, Pantheon Books, 1989, pp. 545-550; 572-576; (28) E. Gin, L’ora segnata dal destino. Gli Alleati e Mussoini da Monaco all’intervento. Settembre 1938-giugno 1940; pp: 307-309; 337-338; 350-351; 356-366. Sugli aspetti diplomatici della neutralità italiana tra settembre 1939 e giugno 1940, si veda anche B.S. Viault, ‘Mussolini et la recherche d’une paix négociée (1939-1940), in ‘Revue d’Histoire de la Deuxième Guerre Mondiale, 22, 1977, 107, pp. 1-18; D. Bolech Cecchi, ‘Non bruciare i ponti con Roma: Le relazioni fra l’Italia e la Gran Bretagna e la Francia dall’accordo di Monaco allo scoppio della seconda guerra mondiale’, Milano, Giuffré, 1986, pp. 508 ss.; R. Quartararo, ‘Roma tra Londra e Berlino’, II, pp. 737 ss.; A. Cassels, ‘Reluctants Neutral: Italy and the Strategic Balance in 1939’, in B.J.C. McKercher – R. Legault (eds), ‘Military Planning and the Origins of the Second World War in Europe’, Westport, Praeger, 2000, pp. 37-58. Ancora utile è G. Vedovato, ‘Il conflitto europeo e la non belligeranza dell’Italia’, Firenze, Sansoni, 1943] (pag 167-168, 172-173)”,”RAIx-385″
“DI-RIENZO Eugenio”,”Un’altra resistenza. La diplomazia itailana dopo l’8 settembre 1943.”,”Eugenio Di Rienzo Professore onorario di Storia moderna presso l’Università La Sapienza di Roma, è diretto redella ‘Nuova Rivista Storica’. Tra i suoi lavori ‘Ciano. Vita pubblica e privata del “”genero del regime””, Salerno, 2018 e ‘Il Regno delle Due Sicilie e le potenze europee 1830-1861’ (2011), ‘Le potenze dell’Asse e l’Unione Sovietica, 1939-1945’ con E. Gin (2013). Capitolo. Resistenti e collaborazionisti. “”La drammatica situazione dei nostri diplomatici si chiarì, in tutta evidenza, infatti, il 16 settembre, quando, da Roma, una nuova agenzia di stampa, creata ‘ad hoc’ subito dopo la liberazione del Duce dalla prigionia sul Gran Sasso, diffuse il comunicato, ‘Benito Mussolini ha ripreso oggi la suprema direzione del Fascismo in Italia’, con il quale si ordinava a tutte le autorità civili, politiche, amministative di riprendere il loro posto e le loro funzioni, aderendo alla costituenda RSI, la cui nascita fu formalizzata di lì a sette giorni. Per quello che riguardava i nostri rappresentanti all’estero di ogni ordine e grado, il comunicato specificava che la mancata osservanza di quel foglio ordini avrebbe comportato la perdita l’immunità diplomatica e la loro detenzione, come «civili appartenti a Nazioni ostili», non solo in Germania e in Giappone. Quel trattamento si sarebbe esteso, infatti, anche alle Nazioni occupate dai due ‘senior partners’ del Patto Tripartito, a tutti i Paesi che avevano aderito a quel trattato di alleanza (Bulgaria, Repubblica slovacca, Romania, Stato Indipendente di Croazia, Ungheria), e agli Stati marionetta dell’Asse (État Français’ di Vichy, Governo di salvezza nazionale della Serbia, Norvegia, Stato Ellenico). Né migliore sorte sarebbe toccata al personale diplomatico italiano residente a Shanghai, nel ‘Manciukuò’, nei satelliti dell’Impero nipponico passati sotto il controllo di Tokyo all’inizio della travolgente offensiva delle armate di Hirohito nell’Indo-Pacifico”” (pag 91-92)”,”QMIS-367″
“DIRKS Nicholas B.”,”Castes of Mind. Colonialism and the Making of Modern India.”,”DIRKS Nicholas B. è Franz Boas Professor of History and Anthropology at Columbia University”,”INDx-098″
“DIRLIK Arif”,”Marxism in the Chinese Revolution.”,”DIRLIK Arif è Knight Professor of Social Science all’ Università dell’ Oregon. Ha molte pubblicazioni alle spalle: ‘Revolution and History: Origins of Marxist Historiography in China, 1919-1937’ ‘The Origins of Chinese Communism’, ‘Anarchism in the Chinese Revolution’ ecc. pag 50 il dibattito del 1927 Il dibattito del 1927. “”Le opposte visioni di questi tre gruppi definirono i limiti della controversia del 1927. O la Cina era fondamentalmente feudale con l’ imperialismo a sostenere (o perpetuare) la struttura sociale di classe in Cina; o la Cina era a predominanza capitalistica, con l’ imperialismo, per la sua vera natura, ad aiutare lo sviluppo delle forze capitalistiche nella società cinese (o, più spesso, a sostenere la borghesia); oppure la Cina non era né feudale né capitalista ma una società dove l’ ambiguità della struttura di classe aveva reso possibile che forze politiche parassitarie di natura feudale mantenessero il potere, con queste forze, allo stesso tempo, al servizio della causa dell’ imperialismo. Il dibattito fu iniziato dai sostenitori della terza via (…).”” (pag 50)”,”CINx-189″
“DIRLIK Arif”,”Anarchism in the Chinese Revolution.”,”DIRLIK Arif è professore di storia alla Duke University. E’ autore di ‘Revolution and History. Origins of Marxist Historiography in China’, e di ‘1919-1937 and ‘The Origin of Chinese Communism’. “”Tutti gli anarchici erano d’accordo che l’ obiettivo di una autentica rivoluzione era quello di trasformare la coscienza sociale e la vita nella sua quotidianità, allo scopo di creare attenzione al tema della concezione della società; il loro ruolo era appunto di “”incitare”” le masse all’ azione affinché acquisissero una loro coscienza. Wu Zhihui stimava ad un certo punto che la rivoluzione anarchica avrebbe richiesto circa “”tremila anni”” per compiersi (sebbene aggiungesse, pochi anni dopo, che se ogni anarchico fosse stato uno Shifu, ci potevano volere solo “”cinquecento anni””). Ci sarebbero volute anche molte, molte rivoluzioni per acquisire questo risultato. Gli anarchici negli anni Venti, diversamente dagli anni precedenti, non si potevano permettere più di accontentarsi di vaghe aspirazioni alla rivoluzione. La sfida comunista era di costringere gli anarchici a porre molta attenzione al tema concreto della rivoluzione. Mentre essi si opponevano alla strategia comunista della rivoluzione, gli anarchici dovevano mutare la loro strategia per provare la loro validità come alternativa ai comunisti. Ciò fu il più importante sviluppo dell’ anarchismo cinese negli anni Venti.”” (pag 233)”,”MCIx-025″
“DI-SANTE Costantino a cura”,”Italiani senza onore. I crimini in Jugoslavia e i processi negati (1941-1951).”,”DI-SANTE C. è ricercatore presso l’Istituto regionale per la storia del movimento di Liberazione delle Marche e responsabile della Biblioteca provinciale di storia contemporanea di Ascoli Piceno.”,”ITQM-144″
“DI-SANTO Gianni”,”Chiesa anno zero. Una rivoluzione chiamata Francesco.”,”Gianni Di-Santo, giornalista, scrittore, si occupa di informazione religiosa. Ha curato gli ultimi due libri di don Andrea Gallo per Piemme. ‘La rivoluzione della “”Chiesa del grembiule”” è cominciata’ ‘Geopolitica della Chiesa in fermento. Il futuro è in Cina’ (pag 72-)”,”RELC-400″
“DI-SCALA Spencer”,”Filippo Turati. Le origini della Democrazia in Italia.”,”DI-SCALA Spencer ha ricevuto il Ph.D. (dottorato di ricerca) dalla Columbia University in New York. Con l’assegnazione di due borse di studio Fulbright si è dedicato alla ricerca della storia del socialismo italiano a Milano. Attualmente è ordinario di storia contemporanea all’Università del Massachusetts a Boston.”,”MITS-368″
“DI-SCALA Spencer”,”Da Nenni a Craxi. Il socialismo italiano visto dagli U.S.A.”,”Spencer M. Di SCALA (1941) docente di storia alla Massachusetts University di Boston è autore di vari testi storici tra cui ‘Dilemmas of Italian Socialism: The Politics of Filippo Turati’. Notizie biografiche su “”Rodolfo Morandi, fulcro del Psi in Italia’ (pag 36-37) “”Nel novembre del 1931, Morandi e i giovani socialisti milanesi Lelio Basso e Lucio Luzzatto si incontrarono segretamente con Giorgio Amendola, delegato comunista, per verificare se fosse possibile un’alleanza con i comunisti e gli oppositori repubblicani. L’incontro culminò nella collaborazione con i comunisti, due anni prima che fosse formalmente firmato un patto di unità d’azione tra il Psi in esilio e il Pci, e nella pubblicazione clandestina di un giornale, “”Fronte Rosso””. L’anno seguente, Morandi lavorò per una piccola casa editrice milanese, trasformandola in un focolaio di antifascismo intellettuale. Entro il 1933, Morandi aveva messo insieme, a Milano, una rete segreta socialista, con filiali nelle maggiori città del nord e in alcuni centri più piccoli del Meridione. Dopo alcune trattative con i capi in esilio del Psi, Morandi annunziò, in un incontro segreto a Milano, la formale costituzione di un Centro interno socialista (Cis). Invitò i partecipanti, incluso i giellisti e i repubblicani, a unirsi a lui e al Partito socialista per fondare un’estesa organizzazione di resistenza socialista italiana. “”I nostri compagni””, scrisse Giuseppe Faravelli ad Angelo Tasca, suo punto di riferimento nella Direzione del Psi, “”seguendo il mio consiglio, si sono decisi a lavorare in maniera politicamente organica e coerente, cioè come Partito socialista (40)”” (pag 37) (40) Stefano Merli (a cura) La ricostruzione del movimento socialista in ITalia e la lotta contro il fascismo dal 1934 alla seconda guerra mondiale’, in Istituto Giangiacomo Feltrinelli, Annali, Anno Quinto, pp. 639-40. E’ questo l’archivio di Angelo Tasca nella biblioteca Giangiacomo Feltrinelli a Milano, con un’introduzione di Merli, pubblicato anche separatamente come ‘Documenti inediti dell’archivio Angelo Tasca’, Milano, 1963″,”ITAP-195″
“DISCEPOLI DI VERITA'”,”All’ ombra del Papa infermo. Giovanni Paolo II nelle spire della nomenklatura vaticana.”,”Altra opera dei ‘Discepoli di Verità’: ‘Bugie di sangue in Vaticano. Il triplice delitto della Guardia svizzera’, Kaos edizioni, 1999. Nell’ Opus Dei, il cervello clericale di Villa Tevere, a viale Bruno Buozzi (Roma), è informato su quanto avviene nella Chiesa a livello mondiale come praticamente nessun’altra organizzazione ecclesiastica. L’ ascesa dell’ Opus Dei a principale potenza ecclesiastica appare inarrestabile.”,”RELC-111″
“DISEGNI Manuel”,”Critica della questione ebraica. Karl Marx e l’antisemitismo.”,”Manuel Disegni (Torino, 1989) è giornalista e dottore di ricerca in Storia della filosofia. Ha pubblicato il saggio “”Die Aktualität des Ursprungs”” (L’attualità dell’origine), uno studio sulla conoscenza storica di Karl Marx e Walter Benjamin, pubblicato nel 2017 dall’editore Welt Trends. “”Gli economisti antisemiti del XX secolo costruirono il loro sapere intorno alla contrapposizione fondamentale tra ‘schaffendes’ e ‘raffendes Kapital’, capitale produttivo, nazionale, ariano da una parte e capitale predatorio, internazionale, ebraico dall’altra. Di questo dualismo economico, che già iniziava a prendere forma nella ‘Nationalökonomie’ del secolo precedente, il concetto marxiano di capitale rappresenta, nella sua struttura logica e sistematica unitarietà, la più puntuale confutazione. Per i regimi antisemiti del Novecento, la distinzione teorica fra i due tipi di capitale era funzionale al progetto di sopprimere la lotta di classe istigando tutti i ceti produttivi della nazione (lavoratori e industriali) a una reazione compatta contro i parassiti della finanza globale. Ma non si sente forse ripetere ancora oggi, da destra come da «sinistra», che la radice di tutti i nostri problemi starebbe nel predominio della speculazione finanziaria internazionale sulla «economia reale»? (49). Come se questa cosiddetta economia reale fosse già, di per sé, un sistema razionale, stabile, ed equo, come se tutte le crisi e le ingiustizie economiche di cui siamo testimoni fossero conseguenza di espedienti fittizi; come se l’indebitamento dei popoli e delle nazioni non fosse una funzione vitale e imprescindibile dell’espansione produttiva che quei medesimi popoli e quelle medesime nazioni ciecamente perseguono. Al contrario, insistendo sul carattere cristiano piuttosto che ebraico del capitale, Marx segnala che l’oggetto della sua critica non è tanto un modo di appropriarsi della ricchezza, quanto un modo di produrla. L’antisemitismo prende di mira i parassiti della società moderna; Marx il principio stesso della sua produttività. Incita i lavoratori di tutti i paesi a lottare e a scioperare – non contro qualche nemico reale o presunto del lavoro umano, ma contro la forma astrattamente «umana» del loro stesso lavoro. Spiega e dimostra che il potere che li opprime non è quello del denaro, il Dio unico e geloso di Israele, ma quello del capitale. Il Dio trino e amoroso dell’umanità universale. Il contributo critico di Marx alla riformulazione della questione sociale consiste principalmente nel porre la questione della ‘forma’ sociale della produzione, ossia della sua trasformabilità. Intende mostrare che ogni emancipazione reale, ogni trasformazione storica della società deve necessariamente passare attraverso la trasformazione del suo modo di lavorare. Nel far ciò non si stanca di mettere in guardia da teorie, utopie e programmi di tutti i colori politici che millantano altri tipi di ‘soluzione’ della questione sociale, tali da lasciare immutato il lavoro. L’antisemitismo moderno associa capitalismo e giudaismo attraverso il denaro come termine medio. Marx non insegna soltanto che il capitale è un sistema di produzione di merci assai più che un sistema di potere del denaro. Né si limita ad aggiungere che per un tale sistema è «il cristianesimo», non il giudaismo, la religione più confacente” (pag 398-399) [Manuel Disegni, ‘Critica della questione ebraica. Karl Marx e l’antisemitismo’, Bollati Boringhieri, Torino, 2024] [(49) C’è anche chi, non contento di propagare queste opinioni economiche, si spinge ad attribuirle, con tato di impudiche virgolette, a «Carlo Marx»: «Marx ci descrive così una società catturata dal “”feticismo del denaro”””, presa cioè dalla vertigine di volere accumulare soldi senza l’intermediazione della produzione materiale e del lavoro umano. Fino al punto di affermare che lo sviluppo del capitalismo finanziario può portare ad una condizione in cui ‘l’uomo cessa di essere schiavo dell’uomo per divenire schiavo della cosa-denaro’ – Anche chi ritiene superata la definizione di Marx (capitale fittizio) concorda sul giudizio che la finanza speculativa ha finito per volgersi contro lo sviluppo delle forze produttive e contro l’economia reale generando un conflitto crescente che va oltre quello tra imprenditore e operaio e contrappone la finanza globale a ‘gli individui realmente attivi nel processo di produzione, dall’imprenditore al dirigente all’ultimo lavoratore giornaliero’», Massimo D’Alema, ‘Keynote speech’, Second World Congress on Marxism, Peking University, Beijing, 2018, https//www.italianieuropei.it/en/ie-online/item,4037-second-world-congress-on-marxism-keynote-speech.html] ‘Marx (1818-1883) scrisse il saggio «Sulla questione ebraica» a Parigi nel 1844 e lo pubblicò sulla rivista «Annali franco-tedeschi». L’ edizione italiana più recente è uscita per gli Editori Riuniti nel 2018 e ripropone la vecchia traduzione di Raniero Panzieri. L’idea di fondo è che gli ebrei si possano emancipare solo nel quadro di una liberazione complessiva dell’ umanità dall’alienazione capitalistica’ (da Isco). Da Isco: ‘Esce il 26 gennaio in libreria il volume di Manuel Disegni, un giovane studioso di filosofia, dal titolo “”Critica della questione ebraica. Karl Marx e l’ antisemitismo””, pubblicato da Bollati Boringhieri. Si tratta di un lavoro impegnativo, nato da una tesi di dottorato, che in quasi cinquecento pagine risponde alla seguente domanda: il giovane autore tedesco, che nel 1844 scrisse “”Sulla questione ebraica”” (Bibliografia), era antisemita? Disegni non si limita ad argomentare il proprio punto di vista sul testo, ma propone una ricca e dotta disamina del pensiero di Marx e dell’ antisemitismo. (…) Volendo sintetizzare la sua proposta interpretativa, diremmo che secondo Disegni non solo Marx non è mai stato antisemita ma, al contrario, ha espresso «un tentativo di comprendere criticamente e contrastare politicamente il nuovo antisemitismo che andava prendendo forma nella Germania dell’epoca». Come è noto, il breve scritto “”Sulla questione ebraica”” nacque dalla volontà di Marx di rispondere al suo amico Bruno Bauer, che l’anno precedente aveva sostenuto una tesi molto chiara: convinto che in uno Stato laico la condizione necessaria per la piena uguaglianza degli individui fosse il superamento delle identità religiose, Bauer credeva che professare una religione, «a maggior ragione quella minoritaria ed esclusiva degli ebrei», significasse essere portatori di privilegi e interessi particolari, «estranei alla collettività e indifferenti alle sue sorti». Contro questa impostazione, Marx negò risolutamente che gli esseri umani potessero vivere liberamente nello Stato borghese. La Rivoluzione francese aveva sì liberato gli uomini dai privilegi della società cetuale, ma li aveva sottoposti alla libertà sancita dalla legge, in un mondo in cui l’alienazione conviveva perfettamente con l’eguaglianza politica: il citoyen pubblico e il borghese privato non si sarebbero mai incontrati. Il problema, allora, non riguardava gli ebrei o i cristiani, ma lo Stato liberale che, in cambio della libertà politica, trasformava i suoi cittadini in alienati. In realtà, come è stato sottolineato dallo storico austriaco Edmund Silberner nel 1949 (“”Was Marx an anti-semite?””) (Bibliografia), nella seconda parte del suo saggio, il giovane filosofo lasciò la critica dello Stato liberale per entrare nel vivo del problema. Se i socialisti utopisti Charles Fourier e Alphonse Toussenel assimilavano gli ebrei al capitalismo finanziario, Marx andò oltre e li identificò con il capitalismo tout court, descrivendoli come un popolo egoista, schiavo del denaro, simbolo di un mondo da superare, e in questo senso sostenne la necessità che la società si emancipasse dal giudaismo. (…) Fra l’altro, come hanno evidenziato George L. Mosse, Pierre Birnbaum, Jack Jacobs, la riflessione di Marx ispirò quella dei massimi teorici del socialismo europeo, e della Seconda Internazionale, convinti sostenitori della più radicale assimilazione degli ebrei negli Stati nazionali e sicuri che l’antisemitismo, considerato una questione interna alla borghesia, sarebbe scomparso con la rivoluzione socialista. Presentandosi al mondo come i veri eredi della Rivoluzione francese, i marxisti europei percepirono l’ebraismo come un’anomalia sociale che sarebbe stata superata dall’avvento di una nuova fase della storia. (…)'”,”MADS-838″
“D’ISOLA Isabella SULLAM Mauro FRASSANITO Gabriele BALDONI Guido BALDINI Giulia, antologia scritti di B.B. MÜLLER-HILL K. PATZODL e H. SCHWARZ H. FRIEDLANDER O. ROSENBERG G. LEWY M. REVELLI F. MANNA L. PIASERE J.D. ZATTA P. BRUNELLO C. CUOMO”,”Alla periferia del mondo. Il popolo dei rom e dei sinti escluso dalla storia.”,”Contiene tra l’altro, di H. Friedlander: ‘L’ostracismo nei confronti degli zingari’ (pag 127-131)”,”GERN-011-FV”
“DISPOT Laurent”,”La macchina del terrore. Genealogia del terrorismo.”,”Alla memoria di Herschel Grynszpan e della Rosa Bianca Laurent Dispot nato nel 1950, è giornalista e storico di formazione filosofica. Collabora a ‘Le Matin’ e a ‘Spirali’. Differenze tra il terrorismo compiuto in nome di una mitologia della semplicità, dinanzi all”iconoclastia della religione dello stato… Di un terrorista del ’33 che i libri li bruciava Dispot fa la parodia: “”Quando sento parlare di pistole estraggo i libri”” (quarta di copertina)”,”TEMx-098″
“DI-TONDO Franco”,”La rottura dei governi di unità nazionale. Il “”centrismo”” degasperiano e l’ azione dei comunisti e delle forze di sinistra per la pace, la democrazia e il lavoro. L’ VIII Congresso del PCI.”,”1953. La ‘legge truffa’. “”Alla competizione elettorale il PCI si presenta apparentato con altre liste: i socialisti, l’ Unione popolare i cui leaders sono Parri, allontanatosi dai repubblicani e Calamandrei, Codignola e Greppi distaccatisi dai socialdemocratici, l’ Alleanza democratica nazionale (gruppi di borghesia laica: Corbino, Nitti, Terranova). In un appello agli elettori, il partito comunista denuncia il fallimentare bilancio di cinque anni di governo clericale: (…)””. (pag 32)”,”PCIx-215″
“DI-TONDO Franco”,”Il partito dalle leggi eccezionali del fascismo alla seconda guerra mondiale.”,”””Il “”processone”” al Centro dirigente comunista. “”Il quadro complessivo della condanne comminate nel 1928 dal Tribunale Speciale è dunque, il seguente: 639 (circa il triplo di quelle inflitte nel 1927); anni di carcere 3404. Il maggior numero di condanne (è un documento dello stesso Tribunale a ragguagliarci) riguarda comunisti lombardi; seguono poi nell’ ordine i toscani, i laziali, gli emiliani, i piemontesi, ecc.. Tra i condannati figurano 762 operai e contadini e 139 intellettuali””. (cita fonte De Felice R. Mussolini il fascista, vol II, Einaudi Torino pag 469) (pag 16)”,”PCIx-216″
“DITTMAR Gérald”,”Dictionnaire biographique illustré de la Commune de Paris de 1871.”,”Biografie di L.A. BLANQUI C.V. BESLAY G.J.D. COURBET C.L. DELESCLUZE J. DOMBROWSKI E.F.D. EUDES L. FRANKEL F.C. GAMBON G.E. GENTON P.J.F. GROUSSET F. JOURDE P. LAFARGUE G.A. LEFRANCAIS N. LEMEL M.A. LEROY M. LISBONNE P.O. LISSAGARAY C.F.C. LONGUET L.A. LUCIPIA B. MALON L.G.E. MEGY N. MEILLET C.L. MICHEL J.B.E. MILLIERE T. MOILIN A.A. OKOLOWICZ H. PLACE E.E. POTTIER H.L. PRODHOMME F. PYAT A. RANC G. RANVIER E. RECLUS R.G.A. RIGAULT L.N. ROSSEL G..M. TRIDON E. VAILLANT J.L.J. VALLES E.L. VARLIN E. VERMESCH A.J.M. VERMOREL P. VESINIER W. WROBLEWSKI e altri.”,”MFRC-108″
“DITTMAR Gérald a cura; testi di Benoit MALON Gustave FLOURENS Eugène POTTIER Arthur ARNOULD Jules VALLES Charles LONGUET Paul VAPEREAU Charles DELESCLUZE Antoine ARNAUD Edouard VAILLANT Gabriel RANVIER Charles BESALY Jean-Baptiste CLEMENT Nathalie LEMEL Elisabeth DMITRIEFF André LEO Felix PYAT P.O. LISSAGARAY Théophile FERRE’ Louise MICHEL Gustave LEFRANCAIS Paul LAFARGUE RAMA”,”Anthologie de la Commune de Paris de 1871.”,”contiene tra l’ altro: ‘L’ Internationale’ e ‘Le Mur Voilé’ di Eugène POTTIER, ‘La Religion du Capital’ di Paul LAFARGUE testi di Benoit MALON Gustave FLOURENS Eugène POTTIER Arthur ARNOULD Jules VALLES Charles LONGUET Paul VAPEREAU Charles DELESCLUZE Antoine ARNAUD Edouard VAILLANT Gabriel RANVIER Charles BESALY Jean-Baptiste CLEMENT Nathalie LEMEL Elisabeth DMITRIEFF André LEO Felix PYAT P.O. LISSAGARAY Théophile FERRE’ Louise MICHEL Gustave LEFRANCAIS Paul LAFARGUE RAMA “”Nel 1789, il 13 luglio, all’ Hotel de Ville, Lafayette propone l’ adozione di una bandiera formata dall’ alleanza del bianco, colore della monarchia, con il blu e il rosso, colori del terzo stato parigino. Il blu era il colore dei maestri borghesi delle città, e il rosso il colore dei lavoratori. Il ‘bonnet phrygien’ (berretto frigio) del costume ufficiale dei contadini sotto Luigi XVI era rosso. Riassumendo, il bianco era il colore del re e dei suoi strumenti politici, la nobiltà e il clero, il blu quello dei privilegiati del regime dei maestri e dei ‘jurandes’ (aiutanti, ndr), il rosso quello dei lavoratori, ovvero l’ immensa maggioranza del popolo francese. Nel 1789 si è creduto di poter conciliare tutte le classi della società, e si è adottato il tricolore: ciò fu una contraddizione con il principio di uguaglianza di fronte alla legge (…). Nel 1848, come ha raccontato Louis Blanc (…) la bandiera rossa fu scelta spontaneamente e con una passione in cui si rivelava la profondità degli istinti popolari. (…) Oggi, la bandiera rossa sventola nell’ aria! (…)””. (pag 157-158, Journal Officiel de la Commune, 30 mars 1871)”,”MFRC-115″
“DITTRICH-JOHANSEN Helga”,”Le «militi dell’idea». Storia delle organizzazioni femminili del Partito Nazionale Fascista.”,”Fronte interno durante la 2° guerra mondiale (pag 209-210)”,”ITAF-005-FMB”
“DI-VITTORIO Giuseppe, a cura di TATO’ Antonio”,”Di Vittorio. L’ uomo, il dirigente. Antologia delle opere. Volume 3°: 1952-1957.”,”L’ opera di DI-VITTORIO negli anni Cinquanta, da umile bracciante pugliese a segretario generale della CGIL all’ interno del movimento operiao e contadino italiano. La prefazione al 1° volume è di Rosario VILLARI Intervento di Di-Vittorio all’ VIII Congresso del PCI, Roma, dicembre 1956. “”Compagni! In questo momento, tutti i reazionari d’Italia e del mondo, compresi i fascisti, parlano di libertà. E ne parlano in termini di contrapposizione al sistema socialista. Certo – e lo abbiamo detto – nel campo socialista sono stati commessi errori aberranti, di cui tutti sentiamo le angosciose conseguenze. Ma tutto il mondo socialista ha condannato apertamente quegli errori, al pari del nostro congresso, che sta lavorando appunto per preservare il nostro partito da ogni forma di burocratismo e di settarismo, come da ogni presunzione di poter disporre tutto dall’ alto e di poter costruire qualcosa di buono e di solido, senza un legame profondo e permanente con la classe operaia e con la massa del popolo””. (pag 396)”,”MITT-242″
“DI-VITTORIO Giuseppe”,”Il movimento operaio italiano e l’unità sindacale.”,”””Nessuna meraviglia, quindi, che la pellagra facesse strage fra i lavoratori della terra. Secondo dati ufficiali raccolti dal Riguzzi (‘Sindacalismo e riformismo nel parmense’, Ed. Laterza, Bari, 1929) relativi al periodo in cui riferiamo, nella provincia di Parma gli affetti da pellagra, dal minimo di 5,58 nel comune di Colorno, si elevavano al massimo incredibile di 44,80 ogni 100 abitanti, nel comune di Varzi. Nelle zone risicole gli affetti da febbre miasmatiche giungevano al massimo di 41,60 per ogni 100 abitanti! Oh, si! le grandi fortune della borghesia industriale, della plutocrazia finanziaria e dei grandi proprietari di terre, sono state formate con la fatica massacrante, con la miseria nera, con l’esaurimento e le deformazioni fisiche, con gravi malattie e con la morte prematura di intere generazioni di lavoratori italiani!”” (pag 5)”,”MITT-297″
“DIX Keith”,”What’s a Coal Miner to Do? The Mechanization of Coal Mining.”,”Keith Dix già membro dell’ Institute of Labor Studies, West Virginia University”,”MUSx-332″